Les Susceptibilito-hypocrito consensuels m’emmerdent!

Les Susceptibilito-hypocrito consensuels m'emmerdent! dans chronique du quotidien IDIOT

 

Plus je découvre le milieu bloguesque, plus je trouve celui-ci des plus consensuel et hypocrite. Dieu merci certains blogueurs et blogueuses sont originaux (ales) et entiers (ères) et ne tombent en aucun cas dans ce type de banalités. Non gentils consensuels, la vie n’est pas rose et ne ressemble pas à un vaste pré dans lequel paissent de doux moutons. On m’accuse de copier/coller; C’est vrai et je le revendique car ils sont de qualités et ne composent pas l’essentiel de mes articles.( Les articles de photographies que j’édite ne sont évidemment pas tous de moi mais permettent à bien de « biens-portants mais aussi à des personnes alitées ou sans moyen de voyager, de rêver à moindre frais, mes chroniques sont loin d’être tendres et sont écrites par votre serviteur ainsi que bien des critiques d’expositions, cinématographiques, événementiels et autres manifestations!) Entre les avides qui ne pensent qu’à une chose; Mettre n’importe qui en lien tant que cela rapporte moult commentaires et visites, ceux qui ont un cerveau de moineau, qui eux font du copier/coller de bas étage, ceux qui créent leurs propres commentaires, ceux qui ne prennent jamais parti et ceux qui mettent une et unique photo, vidéo ou phrase par article pour cumuler le nombre d’articles, je dois constater la « pauvreté généralisée » de la toile bloguesque. Certes je comprends que pour eux c’est un moyen d’échange et que cela comble une solitude ou autre manque mais votre serviteur n’a crée son blog que pour lui-même, pour se faire plaisir. La toile bloguesque permet en même temps de la faire partager mais si demain mes visites chutaient, je prendrai toujours autant de plaisir à éditer mes articles de qualité. Je ne suis pas prétentieux mais réaliste. Alors susceptibles, idiots de bas étages, crétins illuminés, vieux grognons ou frustrés de la vie, oui, il est préférable pour vous de passer votre chemin et d’aller chez vos congénères plus aptes à vous satisfaire, quand aux autres soyez toujours assurés d’être les bienvenus(es)!!!

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 



Edvige – Une polémique pour rien….

Edvige - Une polémique pour rien.... dans chronique du quotidien afp-photo-147530

 

Cela m’énerve de voir combien une grande majorité de nos concitoyens peut être crédule, idiote, désinformée et j’en passe. Toutes les bonnes âmes de notre chère et tendre patrie s’offusquent à la seule idée de voir ce fichier activé mais s’ils savaient ces ignares que ce fichier a été crée par la gauche en 1991, sous l’ère Cresson et Mitterrandienne, et a été remis au goût du jour à la suite de la fusion des RG et de la mise en conformité avec les directives européennes. Il ne faut pas faire peur ou crier au scandale. Ce sera sécurisé et il y aura une traçabilité : on saura qui l’aura consulté et, de toute façon, n’importe qui n’y aura pas accès.

De plus tous ces redresseurs de tords sont les premiers à s’autoficher de façon durable et définitive. Ils passent leur temps à utiliser un passe Navigo, une carte Bleue, des cartes de crédits, possèdent des blogs (Comme moi…eh oui!!!),  »tchatent sur des forums, consultent leur « navigateur internet », répondent à des sondages, commandent des produits ou des échantillons, utilisent des téléphones portables, msn messenger, font partie des « copains d’avant », de « facebook » ou autres mines d’or en matière de renseignement.

Si avec Edvige ils peuvent avoir l’assurance que les informations détenues resteront confidentielles, il en est tout autre chose avec leur « traçabilité volontaire quotidienne ». Chacun de ces organismes se fera un plaisir de revendre au prix fort les informations qu’ils détiennent et là c’est mille fois plus dangereux et incontrôlé. Alors je pense qu’il serait de bon ton de cesser cette polémique douteuse et injustifiée.

 Bien à vous,

Saint-Sulpice

 



Glyndebourne la bucolique!

Glyndebourne la bucolique! dans chronique du quotidien glyn_352

Rendez-vous dans la verdoyante campagne du Sussex, dans le sud de l’Angleterre, entre Londres et Brighton. Tous les étés depuis 1934, la bonne société se retrouve à Glyndebourne, autour du manoir de la famille Christie, pour jouir des plaisirs de l’art lyrique au milieu des prairies. Dans ce lieu bucolique et magique, la musique se déguste lentement, heure par heure. Récit d’une soirée d’opéra pas comme les autres, qui débute… en plein après-midi.

15 heures – Nappes et noeuds pap’

Glyndebourne se mérite. D’abord, il faut s’y rendre. La Rolls-Royce est recommandée. Sinon, pourquoi pas le train ? Comme de nombreux Londoniens, vous descendrez à Lewes, charmante petite ville chère à Virginia Woolf. Là, vous attendrez le coach (la voiture) du festival. Par une petite route escarpée, vous rejoindrez les automobilistes qui, déjà, patientent. A 15 heures pile (14 heures le week-end), les portes de Glyndebourne s’ouvrent. Surgissent alors des voitures une cohorte d’hommes en smoking et de femmes en robe du soir, armés de tables pliantes, plaids, nappes, paniers à victuailles, bouteilles, glacières et autres ustensiles indispensables à tout pique-nique qui se respecte. Avec ou sans chauffeur, avec ou sans porteurs. Si le temps est clément (contrairement à une légende injuste, il l’est souvent, à Glyndebourne comme dans toute l’Angleterre), ce beau monde s’installe sur les magnifiques gazons qui cernent le manoir, son théâtre et ses dépendances. S’il pleut, on déplie les tables à l’abri ou l’on trouve refuge dans l’un des trois restaurants qui jouxtent la salle de concert. De la pelouse, on profite d’une vue idyllique, avec les moutons de la ferme voisine comme seuls spectateurs et les vertes collines en guise d’horizon. On observe aussi le ballet des convives, qui, coupe de Pimm’s ou flûte de champagne à la main, se promènent le long de l’étang en attendant le lever de rideau. Un charme et un chic uniques.

17 h 5 – Place au spectacle!!!

glyn_358 dans chronique du quotidien

Notez la précision : le spectacle, à Glyndebourne, peut débuter à 15 h 40, à 16 h 55 ou à 17 h 5. L’important, c’est que le long interval, qui va durer près d’une heure et demie et permettre à tous de se restaurer, ait bien lieu, comme prévu, à 19 h 35. Ne demandez pas pourquoi : on vous répondra qu’il en va ainsi depuis toujours. En près de soixante-quinze ans, le festival a su établir de solides traditions. Qui aurait pu imaginer, en assistant aux premières représentations, avant la guerre, que Glyndebourne deviendrait une telle institution ? A l’origine, on trouve le projet d’un riche industriel amoureux d’opéra – et accessoirement de sa femme, chanteuse. John Christie se fait construire un petit auditorium de 300 places, où l’on donne, deux semaines durant, Les Noces de Figaro. Ce qui pouvait rester une simple fête entre amis devient vite le rendez-vous d’été de la gentry britannique. Toujours présidée, comme le Festival de Bayreuth, par les descendants du créateur, la manifestation se déroule désormais dans un magnifique théâtre moderne, salle de brique et de bois de plus de 1 000 places, qui a su préserver l’intimité chaleureuse propre à l’éthique du lieu. Elle a été inaugurée en 1994 et l’acoustique y est tout simplement parfaite. Tout comme la proximité du public avec la scène, idéale.

18 h 25 -Premier entracte

Ce n’est pas encore l’heure du pique-nique, mais du short interval. Quinze minutes pour se dégourdir les pieds. Parmi les spectateurs, deux groupes se forment. Il y a ceux qui finissent de préparer le repas et les autres qui, dans les travées, commentent le spectacle. Avec la crâne assurance, rarement déçue, de profiter, dans des conditions optimales, des meilleurs artistes du moment. Réputé pour la qualité de ses mises en scène, le festival a toujours proposé un savant cocktail de tradition et de modernité. Une forme de classicisme à l’anglaise, adaptée aux goûts du jour, qui s’est toujours gardé de verser dans quelque avant-gardisme abscons. Dès l’arrivée du chef d’orchestre Fritz Busch, fuyant l’Allemagne nazie en 1934, Glyndebourne a su attirer de remarquables directeurs musicaux. Depuis 2001, le jeune chef russe Vladimir Jurowski enchante les festivaliers et galvanise son orchestre, l’excellent Philharmonique de Londres. Sur le plateau, un choeur et une troupe de jeunes chanteurs en résidence se mêlent à quelques stars du chant, qui trouvent dans le Sussex des conditions idéales pour travailler en paix. « Pour un chanteur, confie un agent d’artistes, le confort que l’on trouve à Glyndebourne permet de répéter un rôle dans des conditions idéales. Et impensables dans une maison d’opéra traditionnelle, où tout va plus vite ! Les cachets sont parmi les plus bas du marché, mais la réputation mondiale du festival assure une telle publicité qu’il faudrait être fou pour refuser l’invitation.

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19 h 35 – Le bruit des couverts!!!

Nouvel entracte. L’heure de se restaurer a enfin sonné. Les bouchons sautent, les couverts (en argent, of course !) prennent place sur les tables et les nappes. Cette convivialité excentrique laisse chacun libre de pique-niquer à sa façon. Luxe des luxes, le temps a bien le temps de s’écouler. Dans l’enthousiasme toujours, et rarement sans alcool. A la reprise de l’opéra, à 20 h 55, les joues seront plus roses, les conversations plus bruyantes et les noeuds papillons… de travers.

21 h 40: Une soirée « snob » ?

Toutes les bonnes choses ont une fin et le spectacle vient de se terminer. Il faut rentrer, en Rolls ou en train. Comme chacun des 90 000 spectateurs qui vivent chaque année cette expérience unique. Avec six opéras et plus de 80 représentations par saison, de la mi-mai à la fin d’août, le Festival de Glyndebourne est désormais l’un des plus renommés au monde – et l’un des plus demandés, avec un taux de remplissage proche de 100 %. Il vous faudra patienter de longues années sur une liste d’attente pour devenir membre et obtenir vos places en priorité. Le tout pour un budget de 15 à 190 livres la place (environ 20 à 240 euros). Et tout cela sans une livre sterling du denier public : depuis les origines, la manifestation assure son développement grâce à ses ressources propres, hors de toute subvention. Seul point noir : le vieillissement du public. « Ce sera notre effort principal des années à venir : développer les actions éducatives et les incitations en tous genres pour attirer les spectateurs de demain », prévoit le directeur David Pickard. Qu’on se rassure : « Dans trente ans, le festival n’aura sans doute pas trop changé, prédit Pickard. Nous poursuivrons notre politique artistique haut de gamme, mêlant opéras connus et découvertes, et nous continuerons à prendre des risques sans recevoir de subsides de l’Etat. Tel est notre destin ! » Alors, « huppé », « snob », Glyndebourne ? Depuis 1997, un groupe d’anciens membres dissidents a fondé un festival concurrent, Grange Park Opera, dans le Hampshire. Plus élitiste, plus cher… mais pas forcément mieux !

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 



La bétaillère

 La bétaillère dans chronique du quotidien 7413-retards-uzal61

 

 

                    C’est dans les entrailles du sous-sol Parisien que niche « la bétaillère »! Vous aurez pour les esprits les plus vifs compris que je parle du RER (Rassemblement Étriqué pour Ruminants)! Moi qui travaillant depuis des années à Neuilly sur seine, résidant dans Paris intra-Muros ( Le veinard pensez-vous et vous avez raison!) et bénéficiant d’horaires plus qu’allégés, me faisait un plaisir d’aller tranquillement au travail en métro, en bus voire à pied, le tout en fonction de mon humeur du moment ou de la météo. Désormais votre serviteur travaille de l’autre côté de la Défense à Nanterre dans un cadre carrément moins bucolique et chic!

                    Eh oui voilà comment chaque matin que Dieu fait hormis le weekend, j’affronte les affres du RER entre Etoile et Nanterre préfecture (2 stations uniquement!). Quel jean-foutre (vulgairement parlant) vous direz-vous, le voilà qui s’émeut pour si peu, deux ridicules petites stations soit à peine 5 grosses minutes de RER! Vous avez raison, peccadille que tout cela mais merci mais non merci. Le RER trop peu pour moi! J’ai la parade ultime, la ligne 1 jusqu’à la Défense puis 15 minutes à pied! Pourquoi Saint-Sulpice nous raconte-t’il sa vie alors? Parce qu’il ne supporte pas cette bétaillère qu’il emprunte sur un court trajet, certe rapide, mais si bouchonné!

                    Des flots, des cohortes d’usagers prennent silencieusement l’assaut de ces rames peu seyantes aux couleurs du drapeau Français ( que je respecte) mais qui ne sont pas les coloris que j’affectionne le plus. Les quais sont démesurés, la foule souvent compacte. A l’intérieur des wagons la fournaise s’éprend de vous. tel une sardine en boîte ou un sapin d’élevage en période de reproduction avant Noël, je me retrouve collé à mes congénères qui pour certains dégagent de suaves effluves ‘aisseliennes’, pour d’autres d’entêtants parfums voire d’odorantes senteurs ‘piedestes’! les mines sont amorphes voire pathétiques. Si l’on juge le moral des Français sur leur attitude dans lesdits RER, c’est en effet extrêmement inquiétant!

                     Bref pour finir cette petite chronique quotidienne, je ne peux que vous plaindre chers usagers au long cours de devoir emprunter journalièrement cette usine ambulante!

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

 



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