Life in New-York – Fourth part

Life in New-York - Fourth part  dans Photographies du monde d'autrefois

20 May 1962, Manhattan, New York, New York, USA — Actress Marilyn Monroe sings « Happy Birthday » to President John F. Kennedy at Madison Square Garden, for his upcoming 45th birthday.

 

 

 dans Photographies du monde d'autrefois

ca. 1925-1934, Bronx, New York, New York, USA — Date filed 8/6/1961-New York, NY- Full length shot shows Babe Ruth about to hit a baseball, looking up.

 

ca. 1920s-1940s, Harlem, Manhattan, New York, New York, USA — The night spot that best evokes glittering images of Harlem in the 1920s and 1930s is the Cotton Club. While literary urbanites appreciated Harlem Renaissance writers like Langston Hughes, more fun-loving New Yorkers were attracted to the neighborhood’s vibrant cabarets. If you were white and well-heeled, you could enjoy African American entertainers like Louis Armstrong and Bill « Bojangles » Robinson at the elegant Cotton Club.

 

1953, New York, New York, USA — Georgia Hamilton poses in a white chiffon formal for Harper’s Bazaar Magazine. New York City, 1950.

 

27 Jan 1961, Manhattan, New York, New York, USA — Jan Murray (L) sits alongside Rat Pack members Dean Martin, Sammy Davis Jr., and Frank Sinatra as the group unwinds backstage at Carnegie Hall after entertaining at a benefit performance in honor of Dr. Martin Luther King Jr.

 

1960, New York, New York, USA — Stylish couple kissing in the back seat of a car.

 

31 Aug 1954, Brooklyn, New York, New York, USA — A passerby holds on to a tree for support as hurricane swept waves hammer the sea wall adjacent to the Belt Parkway near 72nd Street in Brooklyn. The New York area and the New Jersey coastline were battered by Hurricane Carol as heavy rains and fierce winds disrupted power lines, felled trees and tangled air and highway traffic. The eye of the hurricane, which originated in the Caribbean, passed the Hamptons on Long Island. An estimated 175,000 persons were left without light and telephone service and thousands of persons evacuated summer bungalows along the southern shore. Gusts of 60 mph were reported in New York City, and 48,000 homes were without electricity.

 

ca. 1940, New York, New York, USA — At Miss Cook’s School of Manners, women demonstrate how to walk with a proper posture by carrying books on their heads.

 

1939 — by Lewis Hine

 

 29 Sep 1930, Manhattan, New York, New York, USA — A steel worker hangs stories above the streets of Manhattan while holding onto the end of a crane hook at the construction site of the Empire State Building. The Chrysler Building is viewable in the distance.

 

Thank you enormously to Natasha Rostovtseva  for your magnificent contribution.

Have a nice day

 Saint-Sulpice

 

See also:

- Life in New-York – First part.

- Life in New-York - Second part.

- Life in New-York - Third part.

- New-York – 1930.



Icônes Russes – Partie 2

Icônes Russes - Partie 2

Icône russe :Trinité Rublëv , XV s.

Icône de la Sainte Face

Icône de la Pentecôte

Icône de la Crucifixion

Icône de la transfiguration

Mère de Dieu de Tendresse – Crédit icône: © Celine Magnan

Pour en savoir plus sur cette talentueuse iconographe: Céline Magnan

Vierge à l’enfant

 

Icônes

Le mot icône, du grec eikôn, veut dire image. L’icône est une image du Christ, de la Mère de Dieu ou d’un Saint, vouée à la vénération des fidèles.

Elle s’enracine dans les Écritures et participe, à sa manière, à la Révélation : sur les icônes, l’Église “montre” le Christ, non comme une homme ordinaire, mais comme le “Dieu-Homme” dans sa gloire. “Ecriture” – plus que peinture – elle est le signe d’une présence rayonnant vers les fidèles, elle les enseigne dans la contemplation.

Les premières icônes ont été peintes dès le début de l’ère chrétienne (ex. au Mont Sinaï, 4 ème siècle). Leur culte très prospère dans l’empire byzantin, s’est répandu dans tout le bassin méditerranéen. L’Histoire mentionne la crise iconoclaste ou querelle des Images ( de 726 à 843) qui a suscité beaucoup de violence et de persécutions au sein de l’Église byzantine et qui prit fin grâce au Concile œcuménique de 787, légitimant le culte des Images. Une expansion intense se produisit ensuite en Russie, avec des écoles de peinture d’icônes très célèbres (Novgorod, Kiev, Vladimir, …).

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

- Icônes Russes – Partie 1.

 Ainsi que:

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A lire aussi:

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Le célèbre spécialiste de l’art russe Viktor Lazarev décrit la naissance de la peinture sur bois en Russie, analyse la technique et l’esthétique de l’icône et présente l’art des grands maîtres et le style des différentes écoles, du XIe au XVIe siècle. Spécialiste incontesté de la peinture, en particulier de l’art byzantin et des maîtres italiens, Lazarev voit dans l’icône un art majeur, d’une portée universelle. Son texte est accompagné de plus de 300 illustrations en couleur, de notices iconographiques détaillées et d’une bibliographie quasi exhaustive. Cet ouvrage est l’instrument de travail indispensable à l’étude de l’art russe. Grâce aux notices explicatives situées en fin d’ouvrage, il est également accessible à un public non initié à l’histoire de l’art.

- Icônes, l’Art Russe par Viktor Nikitic Lazarev aux éditiosn Thalia – 403 pages - 59€



Tour Eiffel – Robe diamantée

Tour Eiffel - Robe diamantée dans Photographies du Paris d'hier et d'aujourd'hui

 dans Photographies du Paris d'hier et d'aujourd'hui

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 



Moscou – Du Tsarisme au Communisme – Partie 4

Moscou - Du Tsarisme au Communisme - Partie 4 dans Photographies du monde d'autrefois

Кремль с птичьего полета

 dans Photographies du monde d'autrefois

Шуховская Башня

ул Тверская (Горького)

Тверская (ул Горького)

 

 

 

Histoire de Moscou

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Le plus ancien indice attestant de la présence d’humains sur le territoire de Moscou est le site néolithique de Stchoukinskaïa sur la Moskova et remonte donc à l’âge de pierre. Au sein des frontières modernes de la ville, d’autres preuves furent découvertes (le cimetière de la culture Fatyanovskaïa, le site de la colonie de la culture Dyakovskaïa, sur le territoire du Kremlin, la colline des Moineaux (Воробьёвы го́ры), la rivière Sétoune (Сетунь), le parc forestier Kountsevski…).

À la fin du premier millénaire après le Christ, le territoire de Moscou et l’oblast de Moscou étaient habités par les tribus slaves de Vyatitchi et Krivitchi. À la fin du XIe siècle, Moscou était une petite ville dont le centre féodal et la banlieue commerciale étaient situés à l’embouchure de la rivière Neglinnaïa.

La première référence faite à Moscou date de 1147, quand la ville était une obscure cité d’une petite province habitée principalement par les Meryas, parlant une langue balto-finnoise maintenant disparue. En 1156, le Knyaz Iouri Dolgorouki construit un mur de bois et un fossé autour de la ville. En 1237-1238, le Khanat mongol de la Horde d’Or mit la ville à feu et à sang, massacrant les habitants et brûlant les constructions de la ville.

En 1300, Moscou était dirigée par Daniel Moskovski, fils d’Alexandre Nevski, et membre de la dynastie des Riourikides. Sa position favorable sur la source de la Volga contribua à stabiliser l’expansion. Moscou fut également stable et prospère pendant de nombreuses années, et attira un grand nombre de réfugiés de toute la Russie. En 1304, Iouri le Moscovite contesta le trône de la principauté de Vladimir à Michel de Tver. Ivan Ier vainquit finalement Tver afin de devenir la capitale de Vladimir-Souzdal, et seul collecteur d’impôt auprès des Mongols. En lui payant un cher tribut, Ivan obtint une concession importante du Khan : contrairement aux autres principautés, Moscou ne fut pas divisée et partagée entre ses fils, mais fut transmise intacte à ses aînés.

Alors que le Khan de la Horde d’or essaya d’abord de limiter l’influence de Moscou, quand la croissance du Grand Duché de Lituanie commença à menacer la Russie, celui-ci renforça Moscou pour contrecarrer la Lituanie, faisant de la ville l’une des plus importantes de Russie. En 1380, le prince Dmitri Donskoï de Moscou conduit une armée russe unie à une importante victoire devant les Mongols dans la bataille de Koulikovo. Après cette victoire, Moscou prit la tête de la libération de la Russie de la domination mongole. En 1480, Ivan III libéra finalement les Russes du joug tatar et Moscou devint la capitale d’un empire qui engloba au final toute la Russie et la Sibérie, ainsi que des contrées de beaucoup d’autres pays.

En 1571 les Tatars du Khanat de Crimée prirent et incendièrent Moscou. De 1610 à 1612, des troupes de la république des Deux Nations occupèrent Moscou, et leur commandant Sigismond III essaya d’usurper le trône russe. En 1612, le peuple de Nijni Novgorod et d’autres villes russes, conduit par le prince Dmitri Pojarski et par Kouzma Minine, se dressa contre les occupants polonais, siégea au Kremlin et les en expulsa. En 1613, le Zemski Sobor élit pour tsar Michel III, établissant ainsi la dynastie des Romanov.

Moscou cessa d’être la capitale de la Russie en 1703 quand Pierre le Grand construisit Saint-Pétersbourg sur la côte de la mer Baltique. Quand Napoléon envahit Moscou en 1812, les Moscovites avaient brûlé la ville avant de l’évacuer, alors que les forces napoléoniennes approchaient, le 14 septembre. L’armée de Napoléon, affaiblie par la faim, le froid et des renforts trop pauvres, fut forcée de se retirer.

En janvier de l’an 1905, l’institution de gouverneur de la ville, ou maire, fut officiellement introduite à Moscou, et Aleksandr Andrianov devint le premier maire officiel de la ville. Suite au succès de la Révolution russe de 1917, Lénine, craignant une possible invasion étrangère, rendit à Moscou son statut de capitale, le 5 mars 1918.

Au début du XXe siècle, plusieurs grèves et soulèvements armés à Moscou, pavèrent la voie vers la Révolution russe. En 1918, les Bolchéviques rendirent à Moscou le siège du gouvernement. Pendant la Grande Guerre Patriotique le Comité d’État soviétique de Défense et l’état-major de l’Armée rouge étaient situés à Moscou. En 1941, 16 divisions de volontaires (plus de 160 000 personnes), 25 bataillons (18 000 personnes) et 4 régiments d’ingénieurs furent formés parmi les Moscovites. En novembre 1941, le Groupe d’armées Centre allemand fut stoppé aux abords de la ville puis défait lors de la bataille de Moscou. De nombreuses usines furent évacuées, tout comme la plupart du gouvernement, et à partir du 20 octobre, la ville fut déclarée en état de siège. Les habitants restants construisirent et actionnèrent les défenses anti-tanks, pendant le bombardement aérien de la ville. Le 1er mai 1944, la médaille « Pour la défense de Moscou » et en 1947 une autre médaille « En mémoire du 800e anniversaire de Moscou » furent créées. Le 8 mai 1965, alors qu’on fêtait le vingtième anniversaire de la victoire dans la Seconde Guerre mondiale, Moscou reçut le titre de Ville Héroïque.

En 1980, la ville hébergea les Jeux olympiques.

En 1991, Moscou fut la scène d’une tentative de coup d’État par des conservateurs opposés aux réformes libérales de Mikhaïl Gorbatchev. Quand l’Union soviétique fut dissoute la même année, Moscou devint capitale de la Russie. Depuis, l’émergence de l’économie de marché à Moscou a eu pour conséquence d’immenses changements des commerces, des prestations de service, de l’architecture et des modes de vie.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

- Moscou – Du Tsarisme au Communisme – Partie 1.

- Moscou – Du Tsarisme au Communisme – Partie 2.

- Moscou – Du Tsarisme au Communisme – Partie 3.



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