Paris et ses expositions universelles – 1855-1937 – Conciergerie

Paris et ses expositions universelles - 1855-1937 - Conciergerie  dans EXPOSITIONS actualite_img_fr_1900.Quai.des.Nations.MA.diathA.que.de.l.architecture.et.du.patrimoine

 

Bien qu’éphémères, les expositions universelles successives ont profondément tranformé le paysage parisien et son développement urbanistique. Elles ont légué des monuments qui font aujourd’hui la fierté des parisiens et la spécificité de la capitale : la Tour Eiffel, le Grand et le Petit Palais, le Pont Alexandre III, les palais de Chaillot et de Tokyo.

Deux cents tirages photographiques, réalisés à partir de clichés originaux issus des collections de la Médiathèque de l’architecture et du patrimoine et des Archives nationales, sont ainsi réunis et illlustrent l’édification de bâtiments insolites et grandioses, pour beaucoup aujourd’hui disparus.

Cinq sections sont dédiées aux expositions universelles de 1855, 1867, 1878, 1889 et 1900, une complémentaire traite les trois expositions parisiennes non universelles, qui en raison de leur caractère historique ou artistique majeur, restent indissociables des expositions universelles: 1925, 1931 et 1937.

Bonne exposition,

Saint-Sulpice

Voir aussi les liens suivants avec de sublimes photographies des expositions universelles de 1900 à 1937;

 Paris- Exposition Universelle de 1900. 

Paris – Exposition Universelle de 1937. 

 

La Conciergerie – 2, Boulevard du Palais – 75001 Paris -Tel: 01.53.40.60.80 – Du 12 décembre 2008 au 12 mars 2009 – Tlj de 9h à 17h. Du 1 Mars au 12 Mars 2009: Tlj de 9h30 à 18h. Fermé les jours fériés – Tarifs: Plein tarif : 11,50 € (réduit : 6,50 € ; gratuit moins de 18 ans et demandeurs d’emploi). Billet jumelé avec la Sainte-Chapelle : 12 € (réduit : 9,50 €) – Métro : ligne 1, station Châtelet, ligne 4, stations Saint-Michel ou Cité, lignes 7, 11 et 14, station Châtelet – Bus : 21, 24, 27, 38, 58, 81, 85 et Balabus - RER : ligne B, stations Châtelet ou Saint-Michel, ligne C, station Saint-Michel, Suivre les quais de la Seine jusqu’à l’Ile de la Cité



Chers terroristes kamikazés…

 Chers terroristes kamikazés... dans chronique satirique

 

 

Chers terroristes Kamikazés,

 

Je prend ma plume pour vous signifier ma plus profonde désapprobation. Vous manquez cruellement d’imagination. Certes vous n’êtes pas très évolués et c’est bien pour cela que l’on vous emploie comme « chair à canon » ( Pour les plus abrutis, merci de vous munir, d’un dictionnaire, d’une encyclopédie et du soutien d’un professeur agrègé). Au nom d’une religion ( Elle a bon dos la religion mais là j’avoue que cela frise la sciatique!) vous vous permettez de sacrifier la vie de milliers d’innocents. C’est pour cela, pauvres de vous, qu’une idée humaniste, en moi, a germé!

Soyez utiles!

 Non n’ayez aucune réticence, nous allons faire de vous de formidables  »outils » des plus utiles! 

1/ Engagez-vous dans l’armée Française au service du déminage et des démineurs. Nous vous promettons une carrière des plus passionnante, des voyages à foison et l’assurance de vous faire exploser en beauté sur les multiples champs de mines du monde entier. Vous finirez comme vous le souhaitiez, en bouillie, tout en préservant la vie de nos valeureux soldats!

2/ Arrétons de faire appel à de pauvres hères venus de pays démunis, pour en cas de fuite radioactive, se jeter la gueule en premier dans l’arène nucléaire afin de colmater pour quelques misérables roupies  »ces petits incidents mineurs ». Nous vous embauchons bénévolement pour faire office de compteur Geiger et de technicien de maintenance premier niveau. Oui soyez heureux vous mourrez dans d’atroces souffrances mais au moins nos braves travailleurs immigrés clandestins, eux sauverons, pour cette fois-ci leur peau.

3/ Brigitte bardot, tous les amis des animaux ainsi que les patients de maladies mortelles mais dites « mineures » ( Donc inintéressantes pour les labos car pas rentables) vous remettrons une médaille à titre posthume quand ils apprendront que volontairement vous avez remplacés les animaux cobayes des plus grands laboratoires pharmaceutiques!

4/ Le suicide étant des plus élevés dans nos Européennes contrées, nous avons l’intense plaisir de vous annoncer que vous pouvez devenir « suicidé de substitution ». cela évitera à nos nombreux déprimés de faire leur malheur, la tristesse de leur entourage et réduira sensiblement le trou de la sécu, améliorera la régularité de nos transports en commun et j’en passe!

5/ Une attaque à main armée, un sérial killer hyper-actif, des policiers ou des jeunes de quartiers un peu trop éméchés ou excités, vous pourrez tous les satisfaire en devenant avec élégance « victime à contrat à durée déterminée et définitive ».

6/ Devant la recrudescence des drogues dures, devenez  » Testeur à échantillon unique » pour les toxicomanes et overdosé d’office ( même système que pour les avocats [ pas les fruits crétins!]. un toxico achète sa dose avec 25% en sus (Oui, oui c’est une promo, vous avez pour une fois, bien compris) Vous prenez l’échantillon modèle ( Ben les 25% rappelez-vous!!! Suivez que diable, je vous prie), injectez-le vous. Bon là je vous l’avoue, trois solutions sont possibles! Deux pas terribles et une qui vous ravira;

a) rien ne se passe et vous vous sentez un brin lésé.

 b) La drogue est de piètre qualité et vous terminez dans un irréversible coma ( Ennuyeux pour vous, je le conçois!)

 c) C’est le top de la merde vendue sur le marché, vous décédez joyeusement et sauvez pour cette fois la vie du malade toxicomane pour qui vous vous êtes sacrifiés. Allez, tentez… vous ne le regretterez-pas!

 

Donc voyez-vous pourquoi, banalement et stupidement, vous acharner à détruire la vie d’une multitude de vos congénères alors que nous vous donnons désormais l’extraordinaire et unique ( C’est important pour eux, les pauvres bênets!) possibilité de vous réduire à néant tout en préservant l’existence d’autrui. Pour les formalités, la marche à suivre, ne vous inquiétez-pas, nous allons vous créer des agences spécialisées les A.N.P.E à savoir les Agences Nationales Pour l’Eternité…

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

  



La Grande Barrière de Corail – Australie

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La grande barrière de corail (Great barrier reef en anglais) est le plus grand récif corallien du monde. Il est situé au large du Queensland, en Australie.

Il s’étend sur 2 600 kilomètres, de Bundaberg à la pointe du Cape York. D’une superficie de 350 000 km², il peut être vu de l’espace. À titre de comparaison, l’Allemagne a une superficie de 357 000 km². La Grande barrière de corail compte plus de 2 000 îles et près de 3 000 récifs de toutes sortes. On peut en apercevoir près des côtes, mais les plus spectaculaires se trouvent à quelque 50 km du large. Elle est inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 



Histoire de l’Afrique des origines à nos jours – Bernard Lugan Ellipses

 Histoire de l'Afrique des origines à nos jours - Bernard Lugan Ellipses masque-africain-afrique

 

Raconter l’Afrique depuis sa préhistoire, voici plus de douze mille ans, jusqu’à nos jours : telle est l’ambition de ce livre de 1 300 pages qui retrace l’aventure d’un continent méconnu du fait de son extraordinaire complexité. Une performance réalisée par l’africaniste Bernard Lugan. Après avoir évoqué les premiers peuplements de cette région, il développe de manière chronologique les grandes périodes qui ont façonné le visage multiple de l’Afrique, de la civilisation égyptienne à l’islamisation des royaumes berbères du Nord, en passant par le développement des empires africains de l’Ouest (Ghana, Mali, Songhay), les débuts de l’intrusion européenne au début du XVIe siècle, et bien sûr la colonisation et ses conséquences.

Ce récit aussi linéaire qu’érudit aurait pu être monotone, mais Lugan, qui a vécu sa jeunesse au Maroc et longtemps travaillé au Rwanda, est un passionné. Il insiste particulièrement sur des épisodes que nous avons quelquefois oubliés. Par exemple l’histoire de ces anciens esclaves noirs revenus vivre en Afrique de l’Ouest au XIXe siècle, au Liberia ou en Sierra Leone. Ou encore la guerre des Boers, au début du XXe, en Afrique australe où l’Angleterre de Cecil Rhodes, fondateur de la Rhodésie, et les Afrikaners du Transvaal se sont combattus : un conflit qui, par sa cruauté – les Anglais créèrent les premiers camps de concentration du siècle -, est comme un prélude aux déchaînements à venir en Europe.

Bernard Lugan nous rappelle l’épopée des aventuriers de légende que furent Livingstone et ­Stanley à la recherche des sources du Nil et revient très longuement sur la tragédie de l’esclavage. L’auteur, qui enseigne depuis vingt ans l’histoire de l’Afrique, ne cache rien de ses partis pris. Opposé à toute forme de repentance historique, tout en étant plus que critique à l’égard de l’impérialisme, il considère que la colonisation, si elle a bouleversé la vie de ce continent, n’a été qu’une parenthèse : « La période coloniale, qui débute véritablement après la conférence de Berlin, organisée par Bismarck, et s’achève dans les années 1960, représente la durée de vie d’un homme. Ce n’est qu’un bref éclair dans la longue histoire africaine, et c’est pourquoi il est faux de lui attribuer tous les malheurs de ce continent. » À ses yeux, le modèle d’une relation réussie entre Européens et colonisés fut le protectorat de Lyautey au Maroc, parce qu’il était respectueux des traditions de ce pays. Son antimodèle fut la colonisation de l’Algérie fondée sur le mépris de la population et l’utopie de l’assimilation.

Plus généralement, pour Bernard Lugan, il est absurde de vouloir que l’Afrique nous ressemble au nom d’un universalisme censé être favorisé par la mondialisation. « La colonisation au nom du développement, idée totalement occidentale, a voulu modifier le socle social et familial de l’Afrique. Donc tout a été fait pour développer les villes. Ce qui était insensé. En Europe, la ville ou la cité fait depuis toujours partie de notre réalité. Au sud du Sahara, à l’exception de l’Éthiopie, il n’existait pas de ville. Les exemples de villes africaines précoloniales sans influence arabe ou européenne sont très rares  », explique l’universitaire.

Pour lui, l’Afrique fascine justement parce qu’elle est « autre », irréductible et foisonnante depuis toujours. Un point de vue évidemment contestable, mais qui mérite le détour, à travers ce livre que l’on peut lire tout à la fois comme un essai et une encyclopédie.

Histoire de l’Afrique des origines à nos jours de Bernard Lugan Ellipses, 1 300 p., 49 €.

bonne lecture, 

Saint-Sulpice 


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