Bernard Plossu 7 juillet
Route – Oklahoma – 1983 - Crédit photo: © Bernard Plossu
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Crédit photo: © Bernard Plossu
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Jaisalmer, Inde - 1989 - Crédit photo: © Bernard Plossu
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Agadès , Niger - 1975 - Crédit photo: © Bernard Plossu
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Crédit photo: © Bernard Plossu
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Villa Noaïlles, Hyères – 1997 - Crédit photo: © Bernard Plossu
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Saint-Nizier, Dauphiné – 1971 - Crédit photo: © Bernard Plossu
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Montagne Basque - Crédit photo: © Bernard Plossu
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Hirondelles Andalouses - Crédit photo: © Bernard Plossu
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Biographie de Bernard Plossu
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Bernard Plossu (né le 26 février 1945 à Đà Lạt, sud du Viêt Nam) est un photographe français. La plus grande partie de son travail est constituée de reportages de voyages.
De 1951 à 1962, il étudie à Paris. Il commence la photographie très tôt : en 1958, il voyage au Sahara avec son père, muni d’un Kodak Brownie Flash, et en 1965, part pour le Mexique dans le cadre d’une expédition anglaise pour photographier la jungle du Chiapas. S’ensuivent de nombreux reportages en couleurs chez les indiens Mayas, en Californie, dans l’ouest américain, le Nevada, le Middle West.
En 1970, il réalise un travail sur l’Inde, où naît l’idée de séquences « surbanalistes » : séquences banales qui sont en fait surréalistes.
Il continue à voyager énormément, réalisant de nombreux reportages couleurs, et en 1975, part pour son premier voyage au Niger. Dès lors, il ne fait plus que des photos noir et blanc prises avec une focale de 50 mm pour se placer en marge de la photographie commerciale. Il participe à l’aventure de Contrejour avec Claude Nori qu’il retrouve à la fondation des Cahiers de la Photographie avec Gilles Mora, Jean-Claude Lemagny et Denis Roche.
En 1978 naît son fils Shane, qu’il photographie aussi régulièrement. En 1983, il commence à peindre et à travailler avec l’agence Fotowest. Son deuxième fils, Joaquim naît en 1986.
En 1987, grâce à l’institut français de Naples, il effectue un séjour photographique dans l’île Stromboli (Îles Éoliennes). L’année suivante, il s’installe dans l’ île Lipari avec Françoise Nunez, rejoint ensuite par d’autres photographes.Auparavant, il a réalisé une série d’images de l’archipel éditée par Arte. Naissance de sa fille, Manuela, en 1988.
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Bien à vous,
Saint-Sulpice
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A lire:
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À travers les photographies de ce livre, Bernard Plossu nous plonge au coeur d un calme irréel, une nouvelle harmonie surprenante d où se dégage un charme presque oriental. Paysages, scènes champêtres, des images qui nous renvoient au grand romantisme du XIXe siècle. Véritable «état des lieux» sensible des sites situés sur les rivages des lacs d Annecy, du Bourget et du Léman, cet ouvrage reflète l atmosphère si particulière des lacs de Savoie et de Haute-Savoie. Les photographies ont été réalisées pour le Conservatoire du Littoral, organisme qui a pour mission de conduire une politique foncière permettant d assurer la conservation des sites naturels et de valoriser son patrimoine paysager.
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- Littoral des lacs par Bernard Plossu aux éditions Images en Manoeuvres – 98 pages – 16€
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Lorsque Paul Martin part sur les chemins de Haute Provence le 16 juillet 1872, il succombe comme beaucoup d’artistes de son époque à la mode du voyage pittoresque qui se multiplie depuis la fin du XVIIIe siècle. Il s’agit pour ces artistes de familiariser le public avec la richesse du patrimoine rural, dans la tradition du félibrige. Paul Martin est un ami de Mistral. L’aquarelle, procédé rapide, permet de saisir dans l’instant les lueurs du crépuscule et convient à l’idée romantique de l’artiste vagabond qui tire sa force du contact avec la nature. En 15 jours, l’aquarelliste Paul Martin gagne les confins du territoire bas-alpin, la lisière italienne et revient. Il nous a laissé 56 instantanés, impressions fugitives et nostalgiques d’un voyage lent vers l’Italie. En 2002, le voyage photographique de Bernard Plossu sur les mêmes terres de Haute Provence, propose une expérience vivante et contemporaine de la traversée des Alpes. Ici le voyage vers l’Italie s’effectue en voiture et l’expérience du paysage est vécue à travers les vitres du véhicule dont on ne descend qu’à de brèves et rapides reprises. La traversée du paysage n’est plus qu’une ode à la lenteur mais construit une esthétique de la rupture : aux courbes douces des prairies alpines succèdent les angles droits des constructions industrielles de la vallée du Pô. A travers l’objectif photographique de Bernard Plossu, le parcours vers l’Italie devient net, épuré de toute émotion. Le photographe nous permet de partager son expérience : il nous livre ses planches-contacts intégralement signifiant son souhait de montrer les lignes de forces de son voyage.
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- Voyages vers l’Italie par Bernard Plossu, Paul Martin, Marc Ceccaldi, Nadine Gomez-Passamar & Andrea Busto aux éditions Images en Manoeuvres – 127 pages – 25€
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Le livre En photographie, on croit aller très vite, en tout cas dans ce style de photo « snapshots », faits à l’instinct, très rapidement, dès qu’on les « voit », et même quelquefois plus vite qu’on ne l’a cru !… Les hirondelles : toujours fascinantes surtout par leur incroyable agilité à se diriger pourtant à toute vitesse, sans se cogner entre elles… Je photographie la plupart du temps au millième de seconde, me moquant éperdument de la sacro-sainte profondeur de champ : je m’en moque ! et même je l’évite sciemment sans doute ! Millième de seconde, incroyable vitesse ! Alors avec les hirondelles andalouses, quand je reste quelques jours à me reposer là-bas, s’établit cette sorte de jeu, comme « qui est le plus rapide » ! ? (elles, surement !) Voila, le challenge ultime : la vraie épreuve du millième de seconde, la rencontre entre nos deux agilités, quelle passionnante aventure.
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- Hirondelles Andalouses par Bernard Plossu aux éditions Filigranes – 54 pages – 20€
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À la fin des années 60, Bernard Plossu découvre les États-Unis depuis le Mexique où ses grands-parents ont émigré. Bill Coleman, qui deviendra ensuite un de ses plus fidèles amis, sera son passeur et son guide. Alors qu’il est déjà un photographe reconnu en France, il s’y installe en 1977 et y fonde sa famille. Et c’est durant toutes ces années dans l’Ouest américain que sa pratique photographique va prendre toute son ampleur face à l’immensité et la diversité des paysages qui s’offrent au regard de l’artiste qu’il est en train de devenir. Ce livre en traduit à sa façon les parcours successifs jusqu’à son retour définitif en France en 1985. Sans lieu, ni date, près de trois cents images se succèdent ainsi librement selon quinze chapitres qui se présentent comme autant de road-movies sans début ni fin où le réel américain se confond avec sa propre mythologie. Mais s’y dévoile surtout cette écriture du sensible et de la rencontre qui va devenir la signature de Bernard Plossu, référence incontestée aujourd’hui de la photographie française contemporaine.
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- So long par Bernard Plossu & Lewis Baltz aux éditions Yellow Now – 320 pages – 20€
OLIVIER Nicolas 7 octobre
Je ne connais pas l’artiste mais ses photos dégagent à la fois la simplicité et beaucoup d’emotion.
Une simplicité complexe et tres etudiée
J’adore …
Merci Bernard
Active Release Chiropractic 13 mars
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