Martin Johnson Heade 20 juin
Newburyport Meadows - 1872~1878 - Crédit Peinture: © Martin Johnson Heade ~ The Metropolitan Museum of Art, New-York
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Lake George – 1862 - Crédit Peinture: © Martin Johnson Heade ~ Museum of Fine Arts, Boston
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Brazilian Forest - 1864 - Crédit Peinture: © Martin Johnson Heade ~ Museum of Art, Rhode Island, School of design
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Blue Morpho Butterfly - 1864~1865 - Crédit Peinture: © Martin Johnson Heade ~ Manoogian Collection
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Approaching Storm, Beach near Newport - 1866~1867 - Crédit Peinture: © Martin Johnson Heade ~ Museum of Fine Arts, Boston
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Thunder Storm, Narragansett Bay - 1867 - Crédit Peinture: © Martin Johnson Heade ~ Amon Carter Museum, Fort Worth
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View for Fern-Tree Walk, Jamaica - 1870 - Crédit Peinture: © Martin Johnson Heade ~ Private Collection
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Orchids and Hummingbird - 1875~1883 - Crédit Peinture: © Martin Johnson Heade ~ Museum of Fine Arts, Boston
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Approaching Thunderstorm - 1859 - Crédit Peinture: © Martin Johnson Heade ~ Metropolitan Museum of Arts – New-York
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Magnolia on Red Velvet - 1885~1895 - Crédit Peinture: © Martin Johnson Heade ~ Private Collection
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NNBiographie de Martin Johnson Heade
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Peintre américain (Lumberville, Pennsylvanie, 1819 – Saint Augustine, Floride, 1904).
Il étudia avec E. Hicks, voisin de sa famille en Pennsylvanie, puis, après un voyage en Europe, où il visita l’Angleterre, la France et l’Italie (1837-1840), il commença à se faire connaître par des scènes de genre et des portraits. Il résida un peu partout dans l’est des États-Unis et se fixa à New York à la fin des années 1850. Lié avec Church, il se tourna vers le paysage sous l’influence de Kennett et de Lane. Il n’avait en effet pas encore, à ce moment, véritablement manifesté son originalité ; il allait la trouver en traitant les paysages côtiers, les marécages et les marais salants de la Nouvelle-Angleterre. Il se différencie cependant des peintres de la Hudson River School par la prééminence qu’il accorde à la composition et à l’effet, particulièrement la lumière, aux dépens de la véracité et de l’exactitude topographique. Il est en cela l’un des représentants éminents du « luminisme ».
Un voyage au Brésil (1863) apporta un renouvellement dans ses sujets, avec une série de toiles représentant des colibris sur fond de nature tropicale. Il échoua cependant à les faire reproduire en chromolithographie à Londres (1865) mais poursuivit ce thème après de nouveaux séjours en Amérique du Sud (1866, 1870), combinant cette fois dans ses compositions oiseaux et orchidées. Il s’établit en 1885 en Floride, où il avait trouvé un mécène en la personne de l’entrepreneur Henry M. Flager. Il se consacra alors à des natures mortes ou des paysages de cette région.
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Bien à vous,
Saint-Sulpice
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