Harold Feinstein – Partie 3

Harold Feinstein - Partie 3 dans Photographie: Grands Photographes 6572

Magnolia, Magnolia cultivar - Crédit photo: © Harold Feinstein 

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 Tapestry Turban - Crédit photo: © Harold Feinstein 

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 Asiatic Lily, Lilium cultivar - Crédit photo: © Harold Feinstein 

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 Paper Nautilus - Crédit photo: © Harold Feinstein 

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 Black-Eyed Susan, Yellow Cornflower, Rudbeckia fulgida « Goldsturm »- Crédit photo: © Harold Feinstein

 

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Nautilus - Crédit photo: © Harold Feinstein 

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 Pink Roses - Crédit photo: © Harold Feinstein 

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Polished Clam - Crédit photo: © Harold Feinstein 

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 Lesser Butterfly Cone - Crédit photo: © Harold Feinstein 

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Maculated Top - Crédit photo: © Harold Feinstein 

 

 

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Biographie d’Harold feinstein

 

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Harold Feinstein a commencé sa carrière photographique en 1946 à l’âge de quinze ans. A 19 ans, Edward Steichen avait acheté ses photographies pour la collection permanente du Musée d’Art Moderne et l’a exposé. Au début de sa carrière, Feinstein était connu pour ses photos documentaire en noir et blanc et particulièrement pour son celles de Coney Island, que l’on a , régulièrement depuis, exposé dans des galeries, des musées et des journaux.

En 2000, Feinstein a commencé a maîtriser la technologie numérique et s’en est servi comme d’un moyen artistique, aboutissant à six livres colorés publiés aux éditions .  »One Hundred Flowers » (2000) a été réédité trois fois depuis sa parution prouvant le succès d’estime du public vis à vis de son travail.

Les photographies de Feinstein ont été exposées dans et sont représentées dans les collections permanentes des plus prestigieux musées dont the International Center of Photography, the George Eastman House, the Museum of Photographic Arts, the Musee d’Art Moderne, the Museum for the City of New York and the Smithsonian National Museum of American History.. Ses phtographies et des articles ont été publiés dans des les plus grands journaux dans le monde entier. Pour n’en citer que quelques-uns: LIFE, Aperture, Audubon, Connoisseur, L’Illustriazione, and Popular Photography…

 W. Eugene Smith, avec qui Feinstein a collaboré étroitement au début de sa carrière, a dit de son travail : « il est un des rares photographes que j’ai connu qui a eu la capacité de me révéler le quotidien avec beauté, force et honnêteté.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

 

- Harold Feinstein – Partie 1.

- Harold Feinstein – Partie 2.

 

A regarder:

 

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A lire:

 

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Une collection de 100 photographies florales par le photographe Harold Feinstein. Le livre dévoile les fabuleuses couleurs de dahlias, de roses, d’anémones, de pavots, de pensées, d’orchidées, de tulipes, d’azalées, de pivoines et de bien d’autres fleurs en détail. Pour chaque variété est indiquée une brève description de l’espèce, rendant cet ouvrage aussi utile que séduisant.

- One Hundred Flowers par Harold Feinstein aux éditions Little Brown & Company ( En langue Anglaise ) – 160 pages – 35€



Indhira Nunez – Le Sentier des Halles – Paris – 28 Mai 2010 à 19H45

Indhira Nunez - Le Sentier des Halles - Paris - 28 Mai 2010 à 19H45 dans Evenementiel l_b0dc246b4ef54162bd755ca758b71890

 

Indhira, c’est un sacré petit bout de femme au tempérament des plus forgé, qui faisant preuve d’une incroyable ténacité avance inexorablement vers la reconnaissance de sa musique, de son talent. Ses chansons sont à moitié des créations, à moitié des reprises. Sa voix m’a séduit, son personnage aussi. J’ai assisté à un concert « privé » il y a une dizaine de jours et je me suis dit qu’il fallait, avec mes modestes moyens, faire parler d’elle. Un coup de pouce est toujours le bienvenue dans le parcours de nos vies. Le mien, vis à vis d’elle, ce sont ces quelques lignes. Je vous invite donc à aller l’écouter et la soutenir au « Sentier des Halles » ce Vendredi 28 Mai 2010 à 19h45.

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- Indhira Nunez – Sentier des Halles - 50, Rue d’Aboukir – 75002 Paris - Concert le 28 Mai 2010 à 19h45 - Tarif sur place: 18€, Préventes – FNACCarrefour: 16€.

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Biographie d’Indhira Nunez

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Indhira Nuñez est une chanteuse, auteur-compositeur vénézuélienne. Elle fait ses premiers pas dans la chanson très tôt à Caracas (Vénézuela) à l’âge de 12 ans. Plus tard, en 1999 elle décide de venir en France pour nous faire partager son univers musical. Elle fusionne le classique avec la pop-latine/ballade en passant par des rythmes multiculturels tels que le boléro. Et elle tombe rapidement sur le charme de la ville lumière. A partir de l’année 2000, elle nous enchante avec ses mélodies en France et un peu partout en Europe.

 En 2004, elle remporte le prix de Visa Francophone parrainé par Francis Cabrel. En 2008, elle enregistre son premier opus « Paris te quiero », pas encore dans les bacs, en 2010 Indhira revient en force avec des nouvelles compositions en français et en espagnol, ainsi qu’un hommage à Michael Jackson en interprétant I just can’t stop loving you et Beat it à sa façon…

Après dix ans de travail sans relâche Indhira continue à nous enchanter plus que jamais avec sa voix d’ange et son tempérament du feu. Indhira Nuñez est actuellement à la recherche d’une production ou bien un tourneur afin de pouvoir montrer son univers au niveau international. En attendant elle se produit à Paris et partout en France car le public est sa plus grande récompense. Indhira Nuñez la nouvelle artiste latine pop en Europe, sans frontières à entendre sans modération

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Bon concert,

Saint-Sulpice

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pour en savoir plus sur cette tenace et agréable chanteuse: Indhira Nunez.

Et aussi sur Myspace: Indhira Nunez.

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A écouter:

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Louis-Emile Durandelle – La Gare Saint-Lazare

Louis-Emile Durandelle - La Gare Saint-Lazare dans Photographie: Grands Photographes bc2a98e029238098-grand-gare-saint-lazare-cour-rome-escalier-bois-2-mars-1885-durandelle-louis-emile 

Cour de Rome, escalier en bois, Gare Saint-Lazare – 2 Mars 1885 – Crédit photo: © Louis-Emile Durandelle - Statut domaine public

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Groupe d’Auteuil et rue de Rome, Gare Saint-Lazare – 2 Mars 1885 – Crédit photo: © Louis-Emile Durandelle - Statut domaine public

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Grande salle des pas perdus de la Banlieue, Gare Saint-Lazare – n.d – Crédit photo: © Louis-Emile Durandelle - Statut domaine public

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Départ de Normandie, salles des bagages, escalier des salles d’attente, Gare Saint-Lazare – n.d – Crédit photo: © Louis-Emile Durandelle - Statut domaine public

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Cour de Saint-Germain, angle de gauche, écuries,  Gare Saint-Lazare – n.d – Crédit photo: © Louis-Emile Durandelle - Statut domaine public

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Cour de Saint-Germain, angle de droite, Gare Saint-Lazare – n.d – Crédit photo: © Louis-Emile Durandelle - Statut domaine public

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Hémicycle de Saint-Germain, départ, Gare Saint-Lazare – n.d – Crédit photo: © Louis-Emile Durandelle - Statut domaine public

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Cour de Saint-Germain, Gare Saint-Lazare – n.d – Crédit photo: © Louis-Emile Durandelle - Statut domaine public

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Passage entre la cour Bori et la cour Saint-Germain, les écuries, Gare Saint-Lazare – n.d – Crédit photo: © Louis-Emile Durandelle - Statut domaine public

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Escalier de sortie et monte-charge de la banlieue, Gare Saint-Lazare – n.d – Crédit photo: © Louis-Emile Durandelle - Statut domaine public

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Salle du conseil d’administration ( dernière séance le 27 Octobre 1887 ), Gare Saint-Lazare – n.d – Crédit photo: © Louis-Emile Durandelle - Statut domaine public

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Cour de Rome, escalier en bois, Gare Saint-Lazare – 2 Mars 1885 – Crédit photo: © Louis-Emile Durandelle - Statut domaine public

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Sans titre, Gare Saint-Lazare – n.d – Crédit photo: © Louis-Emile Durandelle - Statut domaine public

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Rue Saint-Lazare entre la cour Saint-Germain et la cour de Rome, Gare Saint-Lazare – n.d – Crédit photo: © Louis-Emile Durandelle - Statut domaine public

 

 

 

 

Biographie d’Emile-Louis Durandelle

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Louis-Emile Durandelle nait à Verdun en 1839. Associé à Hyacinthe César Delmaet (1828-1862), Louis-Emile Durandelle poursuit son activité de photographe avec la femme de ce dernier, Clémence Jacob, qu’il ne tarde pas à épouser. En 1868, ils se présentent comme  » Photographes du Nouvel Opéra « . De 1865 à 1872, Durandelle suit toutes les phases de cette construction et photographie aussi les éléments décoratifs. Son œuvre s’organise autour de plusieurs reportages documentant les grands chantiers de cette seconde moitié du XIXe siècle : la construction du nouvel Hôtel-Dieu en 1868, de l’église du Sacré-Cœur de 1877 à 1890, de la tour Eiffel entre 1887 et 1889, la restauration du Mont-Saint-Michel sous la direction de Corroyer, architecte des Monuments historiques chargé de ce chantier de 1874 à 1889, les fouilles du Louvre entre 1882 et 1884. Tous ces motifs imposent des compositions d’une grande rigueur formelle et Durandelle réussit des photographies tout à fait neuves qui anticipent sur la vision constructiviste de l’après-guerre. Devenu veuf en 1890, Durandelle abandonne la photographie et cède son atelier à son assistant Paul-Joseph-Albert Chevojon pour décéder à Bois-Colombes en 1917.

 

Histoire de la Gare Saint-Lazare

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L’histoire de la gare Saint-Lazare commence en 1837 avec l’ouverture du chemin de fer de Paris à Saint-Germain. À cette époque, on édifie une gare provisoire en bois, l’« embarcadère de l’Ouest », sur la place de l’Europe, au débouché du tunnel des Batignolles, à l’emplacement de l’ancien parc Tivoli. La ligne dessert alors pour les voyageurs les gares actuelles de Pont-Cardinet, Clichy – Levallois, Asnières, La Garenne-Colombes, Nanterre – Ville et Le Vésinet – Le Pecq.

En 1841, une seconde gare provisoire, en maçonnerie couverte d’un enduit jaune, est édifiée rue de Stockholm, juste devant la place de l’Europe selon les plans de l’architecte Alfred Armand. Le bâtiment est construit à cheval sur les voies, à l’embouchure du tunnel de l’Europe. Deux rampes découvertes donnent accès aux quais. L’intention des frères Pereire, promoteurs de ce chemin de fer, est de prolonger la ligne vers le centre de Paris jusqu’à la rue Tronchet qui mène à l’église de la Madeleine. Mais devant l’opposition de la municipalité et des propriétaires concernés, ce projet est abandonné en 1841.

La troisième gare est construite par l’architecte Alfred Armand et l’ingénieur Eugène Flachat sur le site actuel, rue Saint-Lazare, dont elle prend le nom. Les travaux s’échelonnent sur une longue période de 1842 1853.

En 1867, devenue la plus importante de Paris, avec vingt-cinq millions de voyageurs par an, la gare Saint-Lazare reçoit de telles extensions que l’on peut parler d’une quatrième gare, inaugurée d’ailleurs le 2 juin, à l’occasion de l’exposition universelle, par Napoléon III accompagné de l’empereur d’Autriche et du tsar de Russie. La même année, le tunnel de l’Europe est supprimé et remplacé par un pont métallique en forme de « X », reconstruit plus tard en béton, en 1931.

De 1885 à 1889, un important agrandissement donne à la gare Saint-Lazare sa physionomie actuelle. Les travaux sont menés par l’architecte Juste Lisch pour le compte de la Compagnie des chemins de fer de l’Ouest à l’occasion de l’exposition universelle. C’est à cette époque qu’est construit l’hôtel Terminus, juste devant la façade principale de la gare à laquelle il est relié par une passerelle couverte (désaffectée). Le Café Terminus sera la cible d’un attentat anarchiste le 12 février 1894 fomenté par Émile Henry qui sera rapidement arrêté par la suite. Restaurée en 1936, la gare présente toujours, côté cour de Rome, son bel escalier double auquel on a ajouté un escalier mécanique. En 1907, un projet de gare souterraine dédiée aux trains banlieue est mis à l’étude, mais il demeure sans suite.

En 1972, la ligne de Saint-Germain-en-Laye, intégrée à la ligne A du RER est transférée à la RATP et aboutit à la nouvelle gare souterraine de la rue Auber dans le quartier de l’Opéra, située à environ 500 mètres au sud-est. La gare Saint-Lazare perd alors sa ligne historique et un important flux de voyageurs. Ce détournement augmente encore avec le raccordement de la ligne de Cergy, ouverte en mars 1979, au RER A le 29 mai 1988, suivie par la ligne de Poissy en 1989.

De nos jours, la gare Saint-Lazare dispose de 27 voies à quai et est en correspondance avec plusieurs lignes de transport urbain (métro, bus et RER).

La SNCF a engagé un plan d’envergure baptisé Demain Saint Lazare pour rénover la gare d’ici à 2011 dans la cadre du programme Gares en mouvement représentant 123 millions d’euros d’investissements. Alors que le premier coup de pioche a été donné le 17 novembre 2003, les façades ont déjà bénéficié d’un toilettage en 2002. La salle transversale au rez-de-chaussée est en cours de rénovation pour intégrer des commerces supplémentaires (10 000 m² contre 6 000 auparavant) et des escaliers roulants facilitant l’accès à la gare souterraine entre 2005 et 2010. Le parvis de la gare a été réaménagé début 2009, la cour du Havre devenant piétonne et la cour de Rome recevant une seconde station de taxis.

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

Louis-Emile Durandelle – La construction de la Tour Eiffel.



Dennis Stock – Partie 3

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Ernst Miller - 1958 – Crédit photo: © Dennis Stock~Hackelbury Gallery

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William Orval, ‘Bill’ Crow – New-York - 1958 – Crédit photo: © Dennis Stock~Hackelbury Gallery

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Earl Hines, James H. ‘Jimmy’ Archey, Francis Joseph ‘Muggsy’ Spanier, Earl Watkins- 1958 – Crédit photo: © Dennis Stock~Hackelbury Gallery

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Miles Davis - Birdland - 1958 – Crédit photo: © Dennis Stock~Hackelbury Gallery

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Miles Davis - 1958 – Crédit photo: © Dennis Stock~Hackelbury Gallery

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Charlie Parker – Mercury recording session - 1949 – Crédit photo: © Dennis Stock

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L’ attente du Trompettiste- 1958 – Crédit photo: © Dennis Stock~Hackelbury Gallery

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Louis Amstrong – L’ultime minute de concentration - 1958 – Crédit photo: © Dennis Stock~Hackelbury Gallery

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Louis Amstrong dans sa loge - Latin Casino, Philadelphie - 1958 – Crédit photo: © Dennis Stock~Hackelbury Gallery

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 Ella Fitzgerald – Las Vegas – 1958 – Crédit photo: © Dennis Stock

 

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Biographie de Dennis Stock

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Dennis Stock est né à New York en 1928 et apprend la photograhie aux côtés de Gjon Mili en 1947. Il entre à l’agence Magnum en 1951. Il a entre autres exposé au Chicago Art Institute, dans des galeries et des musées en France, Italie, États-Unis et Japon. Ses photographies se trouvent dans les plus grandes collections de musées. Dennis Stock vit aujourd’hui dans le Connecticut.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

 

- Dennis Stock – Partie 1.

- Dennis Stock – Partie 2.

 

A regarder:

 

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A lire:

 

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L’image de James Dean est toujours présente dans les esprits depuis sa brutale disparition en 1955 à l’âge de 24 ans. Le mystère qui enveloppe la star, symbole de l’adolescence rebelle, a fasciné le photographe Dennis Stock dès sa rencontre avec l’acteur durant l’hiver 1954. Pendant plusieurs mois, il a suivi James Dean, de la ferme familiale de l’Indiana aux cours d’art dramatique à New York, jusqu’au plateau de tournage de La Fureur de vivre. Les photographies de Dennis Stock, images inoubliables qui ont façonné la figure mythique de l’acteur, témoignent de sa fulgurante ascension et livrent un portrait intime et humain de cette légende du cinéma.

- James Dean par Dennis Stock et  Joe Hyams aux éditions de la Martinière – 128 pages – 25€



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