New-York vu par Alvin Langdon Coburn – Partie 2

 New-York vu par Alvin Langdon Coburn - Partie 2 dans Photographie: Grands Photographes m198121430002

 Station Roofs – 1910 – Crédit photo: © Alvin langdon Coburn - George Eastman House Foundation

 

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 Times Square (The Christmas Tree) – 1950 – Crédit photo: © Alvin langdon Coburn - George Eastman House Foundation
 

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Unfinished Building, New York – 1911 - Crédit photo: © Alvin langdon Coburn - George Eastman House Foundation
 

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Broadway and Fifth Avenue  – 1912 - Crédit photo: © Alvin langdon Coburn - George Eastman House Foundation
 

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New York from its Pinnacles – 1912 - Crédit photo: © Alvin langdon Coburn - George Eastman House Foundation


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Trinity Church – 1912 - Crédit photo: © Alvin langdon Coburn - George Eastman House Foundation
 

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The Tunnel Builders – 1912 - Crédit photo: © Alvin langdon Coburn - George Eastman House Foundation


 

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New York Harbor, the Singer Building, steamship – 1912 - Crédit photo: © Alvin langdon Coburn - George Eastman House Foundation
 

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The Flat Iron Building, Evening – 1912 - Crédit photo: © Alvin langdon Coburn - George Eastman House Foundation
 

 

Biographie d’Alvin Langdon Coburn

 

Alvin Langdon Coburn a créé dans une période relativement brève, du début du XXe siècle jusqu’au début des années 1920, une œuvre riche qui représente un apport important à la photographie artistique.

Il commença à photographier à l’âge de huit ans en 1890 et a exposé dès 1898. Dans le journal de Stieglitz, Camera Work, apparaissent pour la première fois en 1904 des photos de Coburn. Coburn photographie surtout des personnes de la vie publique, en particulier des écrivains (par exemple une série de portraits de George Bernard Shaw).

En 1912, il part en Angleterre et participe, sous l’influence de son ami Ezra Pound au vorticisme. À cette période, Alvin Langdon Coburn réalise des photographies abstraites, qu’il nomme « Vortographies ».

Dans les années 1960, il lègue ses quelque 20 000 photographies et négatifs à la George Eastman House, New York.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

- New-York vu par Alvin Langdon Coburn – Partie 1.

- Edimbourg vu par Alvin Langdon Coburn – Partie 1.

- Edimbourg vu par Alvin Langdon Coburn – Partie 2.

- Edimbourg vu par Alvin Langdon Coburn – Partie 3.

L’Europe vu par Alvin Langdon Coburn.

 

A lire:

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Michel Frizot historien de la photographie dresse son portrait et son parcours en onze pages passionnantes. Il nous apprend qu’il devient orphelin dès l’age de 7 ans. Ses oncles lui offrent un appareil photo quand il a 8 ans. Il réalise sa première exposition à 15 ans. Il quitte définitivement les Etats Unis à 30 ans pour vivre à Londres avec sa femme. Il travaille avec une chambre noire de moyen format, les négatifs sont des plaques de verre de 20 x 25 cm. Il réalise des tirages « gum-platinium » sur du papier au platine par contact. Les tirages peuvent ensuite, être virés et recouverts de gomme bichromatée colorée (aquarelle brune légère) pour subir enfin une seconde insolation du même négatif. Ce genre de pratique donne des images qui n’ont jamais une couleur strictement identique. Il obtient des variations de ton dans la gamme des bruns et des orangés. Comme bon nombre de ses contemporains, il utilise un objectif « soft-focus » de la société Smith de Boston, qui donne comme résultat un léger flou sur toute l’image. Il se passionne pour la photogravure et publie six livres de photographies et une trentaine d’ouvrages illustrés. Coburn est un photographe des villes il fait le « portrait » de New York et de Londres. En 1913 il rentre dans un groupe d’artistes post-cubistes, futuristes et va réaliser des photographies abstraites, sous le nom de vortographs. Pour les réaliser, il prend en photo des morceaux de verre cassés en forme de triangle, dans lesquels sont disposés des morceaux de bois et de verre. A la façon d’un kaléidoscope les différents éléments se reflètent et se répliquent. Après la guerre il s’engage dans une quête spirituelle au sein des francs-maçons pour finir en 1960, Grand officier. Il meurt en 1966.

Ce livre de poche présente 64 photos, on s’attardera sur les portraits de Bernard Shaw (1904) et d’Auguste Rodin (1906), cadrés dans un coin de l’image. Alvin Langdon Coburn est parvenu à donner un rendu très personnel à ses images. Il dépasse largement le simple tirage d’un négatif en utilisant des méthodes de laboratoire très élaborées. Ces cadrages sont aussi très recherchés et pour l’époque révolutionnaire. Il n’hésite pas, par exemple, à couper le haut de la tête de ses modèles quand il réalise un portrait. On admirera également une photo remarquable, celle est intitulée flat Iron Bulding, le soir, New York (1912). Elle nous plonge dans une atmosphère mystérieuse avec au premier plan des branches d’arbres, au fond le flat Iron Bulding qui se dégage dans le ciel et au milieu dans une lumière incertaine, des hommes vêtus de noir qui avancent d’un pas décidé, comme si quelque chose de grave venait de se passer. Source texte: Photosapiens

- Alvin Langdon Coburn de Michel Frizot aux éditions Acte sud, collection photo poche – 130 pages – 13€



Maggie Taylor – Partie 4

Maggie Taylor - Partie 4 dans Photographie: Grands Photographes maggie_taylor_surrounded

Surrounded - Crédit photo: © Maggie Taylor

 

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 Woman with a stone skirt - Crédit photo: © Maggie Taylor

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Crédit photo: © Maggie Taylor

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 Optimist’s dress - Crédit photo: © Maggie Taylor

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Garden – Crédit photo: © Maggie Taylor

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Tadrift – Crédit photo: © Maggie Taylor

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 Distracted Cats - Crédit photo: © Maggie Taylor

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Good girls - Crédit photo: © Maggie Taylor

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An invitation – 2006 - Crédit photo: © Maggie Taylor

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Will you walk a little faster – 2006 - Crédit photo: © Maggie Taylor

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Cloud sisters - Crédit photo: © Maggie Taylor.

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Biographie de Maggie Taylor

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 Maggie Taylor est née à Cleveland, l’Ohio, en 1961 et a terminé ses études à l’Université d’Yale en 1983 avec un BA en philosophie. En 1987 elle a reçu un MFA en photographie de l’Université de la Floride. Cette Artiste illustratrice pratique le photomontage numérique. Elle travaille à partir de daguerréotypes dénichés sur E-bay et d’objets qu’elle numérique pour créer un unviers subtile, mélange d’onirisme et de surréalisme. Elle est mariée à Jerry Uelsmann qui pratique aussi le photomontage mais à partir de négatifs. Elle fait appel au logiciel Adobe Photoshop pour manipuler et retoucher les oeuvres numériques. Elle utilise aussi énormément son scanner à plat. Artiste pionnière explorant un genre relativement nouveau, ouverte à toutes les solutions technologiques susceptibles de servir son art. ‘Les remaniements deviennent tellement insignifiants que personne d’autre que moi ne les distingue’.

 

Pour en savoir plus sur cette Artiste: Maggie Taylor.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

- Maggie Taylor – Partie 1.

- Maggie Taylor – Partie 2.

- Maggie Taylor – Partie 3.

 

A regarder:

 

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A lire:

 

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Les collages de photos numériques de Maggie Taylor ont été décrits comme une exploration contemporaine d’un mondeSurréaliste. Dans l’univers étrange, parallèle de MaggieTaylor, il se trouve des bicyclettes sur lequelles se juchent des hommes-oiseaux, des  femmes Victoriennes tirées à quatre épingles et plein d’autres étonnantes découvertes. Le début, ce sont les objets qu’elle trouve sur eBay, dans des marchés aux puces et dans son environnement propre, Taylor utilise alors son scanner, Adobe et une imprimante pour produire ces images étonnantes de beauté et d’un riche impact émotionnel.

- Landscape of dreams par Amy Standen & Maggie Taylor aux éditions Adobe Press – (En langue Anglaise)- 158 pages – 50$



Willy Ronis, une poétique de l’engagement – Monnaie de Paris – 16 Avril au 22 Août 2010

Willy Ronis, une poétique de l'engagement - Monnaie de Paris - 16 Avril au 22 Août 2010 dans EXPOSITIONS willy-ronis2010

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Cette exposition montre les images un peu nostalgiques d’un Paris oublié, mais aussi des images inédites de voyages, notamment en Europe de l’Est, où l’artiste s’est intéressé au monde ouvrier.

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Carrefour de la rue des Couronnes et de la rue Henri Chevreau - 1947 - Crédit Photo: © Willy Ronis

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Son travail fait alors écho à ses convictions communistes et entre en résonnance avec une entreprise publique, la Monnaie de Paris, fortement marquée par les luttes sociales depuis le XVIIIe siècle et où le progrès de la condition ouvrière a un sens particulièrement fort.

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 Volendam, Hollande - 1954 - Crédit Photo: © Willy Ronis/Ministère de la Culture & Stéphane Kovalsky ~ Rapho

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 » Mes photos ne sont pas des revanches contre la mort et je ne me connais pas d’angoisse existentielle. Je ne sais même pas où je vais, sauf au-devant plus ou moins fortuitement de choses ou de gens que j’aime, qui m’intéressent ou me dérangent. « 

Willy Ronis

Afin d’honorer la volonté de Willy Ronis qui, dans les semaines précédant son décès survenu le 11 septembre 2009, imaginait lui-même une grande exposition à Paris pour fêter son centenaire, le Jeu de Paume et la Monnaie de Paris se sont associés à la Médiathèque de l’architecture et du patrimoine, sous l’égide du ministère de la Culture et de la Communication, pour concrétiser ce voeu de manière posthume.

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Marché aux Puces - 1948 - Crédit Photo: © Willy Ronis/Ministère de la Culture & Stéphane Kovalsky ~ Rapho

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L’exposition « Willy Ronis » regroupe environ 150 photographies célèbres ou inédites, tirages d’époque et tirages modernes supervisés par le photographe, extraites du fonds de la donation faite par Willy Ronis, à l’État Fançais en 1983.

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Usine de textile du Haut-Rhin - 1947 - Crédit Photo: © Willy Ronis/Ministère de la Culture & Stéphane Kovalsky ~ Rapho

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Elle s’organise autour de cinq grands axes : la rue, le travail, les voyages, le corps et sa propre biographie.

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Lorraine en Hiver - 1954 - Crédit Photo: © Willy Ronis/Ministère de la Culture & Stéphane Kovalsky ~ Rapho

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Exposition coproduite par le Jeu de Paume et la Monnaie de Paris, avec le concours de la Médiathèque de l’architecture et du patrimoine, Ministère de la Culture et de la Communication

Commissaire : Marta Gili, assistée de Nathalie Neumann

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Bonne exposition,

Saint-Sulpice

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- Monnaie de Paris – 11 Quai de Conti – 75006 Paris – Tel: 01.40.46.56.66 – Métro 7 Pont Neuf – Bus 24, Bus 27, Bus 58, Bus 70 – Du 16 Avril au 22 Août 2010 - Mardi au Dimanche de 11h à 19h00, Nocturne le Jeudi jusqu’à 21h30 ( Fermeture le Lundi et le 1er Mai ) - Tarifs: Plein 7€, Réduit 5€.



Robert et Shana ParkeHarrison – Partie 6

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Promisedland – Crédit photo:  © Robert&Shana ParkeHarrison

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Restauration – Crédit photo:  © Robert&Shana ParkeHarrison

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Reliquary – Crédit photo:  © Robert&Shana ParkeHarrison

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Mending the Earth - Crédit photo:  © Robert&Shana ParkeHarrison

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CloudCatcher – Crédit photo:  © Robert&Shana ParkeHarrison

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Second Harvest - Crédit photo:  © Robert&Shana ParkeHarrison

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Tree Symphony - Crédit photo:  © Robert&Shana ParkeHarrison

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The Navigator - Crédit photo:  © Robert&Shana ParkeHarrison

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Crédit photo:  © Robert&Shana ParkeHarrison

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Cloud Burst - Crédit photo:  © Robert&Shana ParkeHarrison

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Dream Fall – Crédit photo:  © Robert&Shana ParkeHarrison

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Biographie de Robert et Shana ParkeHarrison

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Robert ParkeHarrison emploie le négatif de papier et le collage pour construire des récits de guérison et de restauration parmi des paysages dévastés par la technologie et la surexploitation. Il est né au Missouri en 1968, et son épouse Shana est née en Oklahoma en 1964. Après plusieurs années de collaboration, les ParkeHarrison ont commencé à exposer leur travail en tant que co-créateurs en 2001. Leur première exposition muséale importante intitulée The Architect’s Brother, est présentement en circulation; une monographie a été publiée pour accompagner l’exposition. Leur travail a été exposé aux États-Unis et en Europe; il est représenté dans plusieurs collections. Les ParkeHarrison vivent au Massachusetts.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

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- Robert et Shana ParkeHarrison – Partie 1.

- Robert et Shana ParkeHarrison – Partie 2.

- Robert et Shana ParkeHarrison – Partie 3.

- Robert et Shana ParkeHarrison – Partie 4. 

- Robert et Shana ParkeHarrison – Partie 5.

 

Voir en vidéo:

 

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