Leonard Misonne

 Leonard Misonne dans Photographie: Grands Photographes dyn004_original_550_398_pjpeg_2502298_b66e291330063133fbf58d1406e22b38

Dans la tourmente – 1927 – Crédit photo: © Leonard Misonne

 dans Photographie: Grands Photographes

Souvenir de Londres – 1899 – Crédit photo: © Leonard Misonne

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Londres – 1899 – Crédit photo: © Leonard Misonne

Les ornières – 1932 – Crédit photo: © Leonard Misonne

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Mauvais temps – 1909 – Crédit photo: © Leonard Misonne

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Le vieux Bruges – 1941 – Crédit photo: © Leonard Misonne

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Sortie de gare (Brussels Train Station) – 1938 – Crédit photo: © Leonard Misonne

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Untitled – n.d – Crédit photo: © Leonard Misonne

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Le chemin creux – 1931 – Crédit photo: © Leonard Misonne

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La corvée d’eau – 1920 – Crédit photo: © Leonard Misonne

 

 

Biographie de Leonard Misonne

 

 

Leonard Misonne est un photographe belge né en 1870 et décédé en 1943. Étudiant, il prend ses premières photos en 1890. Jeux de lumière et d’ambiance chez ce pictorialiste qui pratique le procédé au charbon depuis 1896. Membre de la « Société Française de Photographie » en 1912 Misonne parcourt la Hollande, la France, la Suisse, l’Allemagne et l’Italie. Entre 1915 et 1935 il utilisa le tirage à l’huile.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice



La révolution à la poursuite du crime « Le justiciable devant les tribunaux criminels à Paris 1790 – 1792″ – Centre Historique des Archives Nationales, Hôtel de Soubise – Paris – 18 Novembre 2009 au 15 Février 2010

La révolution à la poursuite du crime

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Paris, 1790-1792. Les prisons regorgent de détenus. L’ Ancien Régime a vécu, les scellés ont été apposés sur les juridictions abolies, mais de nombreux procès restent pendants. Chaque jour qui passe voit s’ouvrir de nouvelles affaires, car, dans une capitale en plein bouleversement révolutionnaire, le crime ne s’arrête pas !

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 La Guillotine - Crédit photo: © L’Express.fr & Julie Saulnier

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Un dimanche, sur le parvis de Notre-Dame, deux mendiantes stoppent une voiture, s’agrippent à la portière et obligent le passager apeuré à leur donner une aumône qu’elles vont boire aussitôt… Rentré pour dîner dans une échoppe quai du Louvre, un « hussard de la liberté » frappe avec une bouteille la maîtresse des lieux qui succombe bientôt à ses blessures. Une nuit, aux Champs-Elysées, un marchand de grains dévalise et tue un prêtre insermenté. Plus tard, à l’hôtel de la Monnaie, un commis détourne à son profit des objets en or et en argent provenant de maisons religieuses ou de paroisses supprimées…

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Lettre de dépenses de greffier - Crédit photo: © L’Express.fr & Julie Saulnier

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Parfois, le crime se fait organisé : place de la Révolution, une bande de malfaiteurs pille le Garde-Meuble national, s’emparant de deux fabuleux diamants, le Régent et le Sancy. Ailleurs, ce sont des faussaires qui fabriquent des certificats de congés militaires ou de faux assignats…

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Portefeuilles dérobés - Crédit photo: © L’Express.fr & Julie Saulnier

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Commissaires, juges, greffiers enquêtent, interrogent, collectent les pièces à conviction, apposent les scellés. Une partie de leurs archives nous sont parvenues intactes, quelquefois dans leurs sacs de jute d’origine : dossiers d’instruction et de jugement, portefeuilles, faux tampons, lettres anonymes, fioles, couteaux, limes, chapelets, menus objets saisis témoignent de leurs activités, mais aussi de la vie quotidienne des prévenus et des victimes.

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Salle de l’exposition - Crédit photo: © Archives Nationales

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Près de quatre-vingt pièces inédites, en majorité extraites des fonds judiciaires des Archives nationales, font revivre une délinquance ordinaire à Paris que les journées révolutionnaires ont rejetée dans l’ombre. la veille de la Terreur et des grands procès politiques, les affaires crapuleuses continuent d’alimenter les faits divers…

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Faux assignats - Crédit photo: © L’Express.fr & Julie Saulnier

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Bonne exposition,

Saint-Sulpice

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La révolution à la poursuite du crime « Le justiciable devant les tribunaux criminels à Paris 1790 – 1792″ – Hôtel de Soubise – 60, rue des Francs-Bourgeois – 75003 Paris – Tél: 01.40.27.60.96 – du 18 Novembre 2009 au 15 Février 2010 - Du Lundi au Vendredi de 10h à 12h30 et de 14h à 17h30, Samedi et Dimanche de 14h à 17h30 fermée le Mardi et les jours fériés – Tarifs: Plein: 3 €, Réduit: 2,30 €.



Martin Parr – Partie 6

 Martin Parr - Partie 6 dans Photographie: Grands Photographes PAM2008009G00291-3361

Crédit photo: © Martin Parr

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Crédit photo: © Martin Parr

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Crédit photo: © Martin Parr

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Crédit photo: © Martin Parr

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Crédit photo: © Martin Parr

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Crédit photo: © Martin Parr

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Crédit photo: © Martin Parr

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Crédit photo: © Martin Parr

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Crédit photo: © Martin Parr

Biographie de Martin Parr

 

Martin Parr (né en 1952) est un photographe britannique, membre de la coopérative photographique Magnum Photos depuis 1994. Caractérisée par la dérision et l’ironie, l’œuvre de Martin Parr rejoint le domaine de la photographie documentaire. Son travail apparaît comme l’un des témoins privilégiés de la société britannique ayant connu le gouvernement de Margareth Thatcher en Grande-Bretagne. Il a travaillé sur de nombreux projets photographiques et a développé une renommée internationale grâce à son imagination innovante et son approche originale du documentaire. Il a étudié la photographie à l’école Manchester Polytechnic, de 1970 à 1973.

- Série de photographie sur la ville de Boring (États-Unis)

- Série de photographie sur le tourisme. Il a montré le contraste entre l’attente et la réalité.

- Série de photographie de lui-même, prises sur plusieurs années. Il montre la même attitude. Il veut montrer les différentes techniques utilisées par les petites boutiques de photographie pour se faire tirer le portrait.

A partir de 1995, suite au changement d’appareil photo, ses clichés représentent des sujets en gros plan (série Common sense).

 - Série de photographie Think of England. Martin Parr montre l’ambiguïté de son rapport pour son pays, entre admiration et détestation.

En 2004, il est commissaire des Rencontres internationales de la photographie d’Arles.

 Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

 

- Martin Parr – Partie 1.

- Martin Parr – Partie 2.

- Martin Parr – Partie 3.

- Martin Parr – Partie 4.

- Martin Parr – Partie 5.



Robert Doisneau, Du Métier à l’Oeuvre – Fondation Henri Cartier-Bresson – Paris – 13 Janvier au 18 Avril 2010

Robert Doisneau, Du Métier à l'Oeuvre - Fondation Henri Cartier-Bresson - Paris - 13 Janvier au 18 Avril 2010 dans EXPOSITIONS pop_expophoto_1c

Le nez au carreau – 1953 - Crédit photo: © Atelier Robert Doisneau & Fondation Henri Cartier-Bresson

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Longtemps Robert Doisneau a été perçu comme le chantre du pittoresque parisien. Illustrateur de génie, il a su comme personne saisir l’image agréable, l’anecdote inattendue : on a reconnu en lui le professionnalisme et la poésie simple de l’instantané. Mais l’œuvre de Robert Doisneau est infiniment plus complexe.

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Le vélo de Tati – 1949 - Crédit photo: © Atelier Robert Doisneau & Fondation Henri Cartier-Bresson

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L’exposition de la Fondation Cartier-Bresson propose une sélection d’une centaine d’épreuves originales, choisies en majorité parmi les trésors de son atelier et dans diverses collections publiques ou privées. Les images présentées ont été réalisées entre 1930 et 1966 à Paris et dans sa banlieue. Cette relecture tend à montrer comment Robert Doisneau est passé « du métier à l’œuvre »*, avec une gravité insoupçonnée, en inscrivant sur la pellicule un monde dont il voulait prouver l’existence.

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Bidonville à Ivry - 1946 - Crédit photo: © Atelier Robert Doisneau & Fondation Henri Cartier-Bresson

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Le catalogue, publié en français par Steidl est accompagné d’une introduction d’ Agnès Sire et d’une relecture mise à jour de l’étude que le critique d’art Jean-François Chevrier avait consacrée à Doisneau en 1983. Cet ouvrage présente un visage inédit du célèbre photographe qui prétendait photographier pour  survivre  ; l’œuvre ainsi abordée prend un sens différent, par la sélection remarquable, exigeante et sensible qui est proposée. On percevra naturellement que c’est   ce sentiment d’insuffisance de l’enregistrement photographique (..) constitutif d’un art qui procède de l’émotion, qui, allié à un besoin de réalisme, fait la force des images de Doisneau.

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Jeux Africains - 1945 - Crédit photo: © Atelier Robert Doisneau & Fondation Henri Cartier-Bresson

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Une grande complicité le liait à Henri Cartier-Bresson ; aussi enfantins l’un que l’autre dans leurs rires, ils ne manquaient cependant pas de se consulter sérieusement dès que le métier l’exigeait. Notre amitié se perd dans la nuit des temps, écrivait HCB en 1995, nous n’aurons plus son rire plein de compassion, ni les réparties percutantes de drôlerie et de profondeur. Jamais de redite, chaque fois la surprise. Mais sa bonté profonde, l’amour des êtres et d’une vie modeste, est pour toujours dans son œuvre.

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Cachan - 1948 - Crédit photo: © Atelier Robert Doisneau & Fondation Henri Cartier-Bresson

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  Ils n’avaient pas la même conception de la photographie,   l’imparfait de l’objectif  de Doisneau se conjuguant mal avec l’imaginaire d’après nature d’un Cartier-Bresson, plutôt adepte de la rigueur, influencé par la peinture et le dessin et hostile au recadrage.

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Football, Choisy le Roi - 1945 - Crédit photo: © Atelier Robert Doisneau & Fondation Henri Cartier-Bresson

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 La revue Le midi illustré , rapporte que lors des obsèques de Robert Doisneau ,  Cartier-Bresson a jeté dans la tombe de son copain une moitié de pomme, puis a croqué l’autre dans un geste de communion profane, posture qui en dit long sur la fraternité simple des deux hommes.

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La voiture fondue - 1944 - Crédit photo: © Atelier Robert Doisneau & Fondation Henri Cartier-Bresson

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Comme tous les familiers de la rue, Doisneau a su fixer cette gravité rayonnante qui isole un être humain de la foule, ces moments de grâce qui rassemblent des passants dans « l’illusion d’un instant » comme dans une géométrie de rêve. Jean-François Chevrier

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Source texte: Fondation Henri Cartier-Bresson

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Biographie de Robert Doisneau

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Le diplôme de graveur-lithographe en poche, Robert Doisneau est formé à la photographie par André Vigneau. Il devient rapidement photographe indépendant pour l’agence Rapho. Il vend ses clichés à des magazines aussi divers que Le Point, Vogue, La Vie ouvrière… et reçoit le prix Kodak en 1947 et le prix Niepce en 1956. Ce ‘braconnier de l’éphémère’ est célèbre pour ses clichés d’écoliers et d’individus croisés dans les rues de Paris, tel le couple s’échangeant ‘Le Baiser de l’hôtel de ville’. Mais ces oeuvres emplies de légèreté et d’humanisme font parfois oublier le caractère révolté du photographe, s’évertuant à traduire par images sa haine de la guerre, ses inquiétudes vis-à-vis du capitalisme et de ses méfaits dans la banlieue. Il a immortalisé Braque, Picasso, Giacometti, Léger, Carné… Une exposition au MOMA de New York en 1951 le consacre au niveau international. Deux films lui rendent hommage : ‘Le Paris de Robert Doisneau’ de François Porcile en 1973, et ‘Bonjour monsieur Doisneau’ de Sabine Azéma en 1992.

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Robert Doisneau par Henri Cartier-Bresson - Paris, 1986 - Crédit photo: © Magnum Photos & Fondation Henri Cartier-Bresson

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Bonne exposition,

Saint-Sulpice

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- Du Métier à l’Oeuvre – Fondation Henri Cartier-Bresson – 2, Impasse Lebouis – 75014 Paris – Tél: 01.56.80.27.00 – Métro: Gaité, ligne 13, sortie n°1, vers la rue de l’Ouest & Edgard Quinet, ligne 6, vers la rue de la Gaité – Bus: Ligne 28 et 58 arrêt Losserand-Maine & Ligne 88, arrêt Jean Zay – Maine – Vélib: Avenue du Maine, rue de l’Ouest - Du 13 Janvier au 18 Avril 2010Du Mardi au Dimanche de 13h00 à 18h30,  le Samedi de 11h00 à 18h45, nocturne le Mercredi jusqu’à 20h30. Dernière entrée 30 mn avant la fermeture – Tarifs: Plein, 6€ – Réduit, 3€; chômeurs, moins de 26 ans, plus de soixante ans, presse – Gratuit pour les Amis de la Fondation et en nocturne le mercredi (18h30 – 20h30)



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