Takahashi Hiroaki Shotei

 Takahashi Hiroaki Shotei dans Artistes: Peintres & sculpteurs, etc... Shotei%20Hiroaki%20%20Snow%20Asakusa

  Snow at Asakusa- 1936 - Crédit Estampe: © Takahashi Hiroaki Shotei~F&R, Fine Arts, Inc

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Mount Fuji from Mizukubo, Evening Scene – Crédit Estampe: © Takahashi Hiroaki Shotei~F&R, Fine Arts, Inc

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  Fireworks, Shubin-Omatsu – 1936 - Crédit Estampe: © Takahashi Hiroaki Shotei~F&R, Fine Arts, Inc

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 Sacred Bridge, Nikko – 1936 - Crédit Estampe: © Takahashi Hiroaki Shotei~F&R, Fine Arts, Inc

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 Night Shower at Izumi Bridge- 1932 - Crédit Estampe: © Takahashi Hiroaki Shotei~F&R, Fine Arts, Inc

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Nishonmatsu – 1920~21- Crédit Estampe: © Takahashi Hiroaki Shotei~F&R, Fine Arts, Inc

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 Plum Blossom in Snow – 1936- Crédit Estampe: © Takahashi Hiroaki Shotei~F&R, Fine Arts, Inc

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 Saru Bridge in Snow- 6 Décembre 1931- Crédit Estampe: © Takahashi Hiroaki Shotei~F&R, Fine Arts, Inc

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Snow at Ayase River – 1915 – Crédit Estampe: © Takahashi Hiroaki Shotei~F&R, Fine Arts, Inc

 

 

 

 

Biographie de Takahashi Hiroaki Shotei

 

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Le destin de Takahashi Hiroaki Shotei est de plus tragique. Quand il avait 52 ans, après le grand tremblement de terre Kanto en 1923, le feu a détruit toutes les 500 estampes qu’il avait créées. A l’âge de 74 ans, à l’aube du 6 Août 1945, il rendit visite à sa fille à Hiroshima. Personne ne le revit. Takahashi Hiroaki Shotei est né à Tokyo le 2 Janvier 1871 sous le nom de Takahashi Katsutaro. Il a été formé dans le Nihonga – la peinture japonaise traditionnelle – par son oncle Matsumoto Fuko. Selon la tradition, Fuko lui a donné son nom d’Artiste « Shotei » une variante de son nom de famille propre « Matsumoto ». Le premier caractère japonais de leurs noms est prononcé « Sho » ou « Matsu ». À l’âge de 16 ans, il est allé travailler au Département Impérial des Affaires étrangères, où son travail était de copier les originaux de médailles étrangères, de vêtements et d’autres objets cérémoniaux. En 1889, avec Terazaki Kogyo, il a fondé la Société de Peinture de la Jeunesse du Japon (Nihon Seinen Kaiga Kyokai). Pendant ses premières années, il a produit et a exposé des peintures originales et a aussi travaillé comme illustrateur de manuels scientifiques, des magazines et des journaux. 
En 1892, il a conçu des copies de woodblock pour un magazine publié par Okura Shoten. En 1896, il a conçu des lithographies pour l’éditeur Hokunkai. Pendant ce temps, il a été fortement exposé à la concurrence. Plus tard, il a travaillé pour l’éditeur Maeba Shoten (aussi connu comme Maehane Shoten) où il a fait le dessin au trait et coloré des séparations pour les reproductions de copies d’Ukiyo-e. En 1907, il a été recruté comme premier artiste à Watanabe Shozaburo. Il a produit beaucoup d’estampes dans le style des paysages d’Edo-ère. En 1921, il a commencé à utiliser le gô « Hiroaki », cependant, beaucoup de ses nouvelles copies ont continué à afficher le cachet de « Shôtei » pendant les années 1930. Jusqu’au grand tremblement de terre Kanto, en septembre 1923, il a produit bien 500 Estampes pour Watanabe. Malheureusement, l’opération de publication entière de Watanabe a été détruite dans l’incendie qui à suivi à la suite du tremblement de terre. Après le désastre, il a produit encore 250 copies pour Watanabe dont certaines étaient les reproductions d’anciennes estampes perdues dans l’incendie. Dans les années 1930, en travaillant toujours pour Watanabe, il a aussi conçu un oban des copies pour l’éditeur Fusui Gabo. Il semble qu’il avait une grande liberté artistique en travaillant pour Fusui et cela lui a permis d’explorer les secteurs qui lui avaient été interdits sous Watanabe. Chez Fusui, il a aussi travaillé comme rédacteur pour leurs reproductions Ukiyo-e. De plus, dans les années 1930, il a produit presque 200 estampes pour l’éditeur Shôbidô Tanaka. La date et les causes de son décés sont l’objet de discordes. Laurance P. Robert un Dictionnaire d’Artistes japonais indique sa mort en 1944. Le catalogue de Watanabe 1951 dit qu’il est mort en avril 1945, à Hiroshima. Toujours une autre source suggère qu’il soit mort le 6 août 1945, victime de l’attaque nucléaire sur Hiroshima, où il visitait avec sa fille. Selon les dires de ses descendants, il est mort le 11 février 1945 d’une pneumonie. 

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice 

 

lire:

 

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 » Vivre uniquement le moment présent, se livrer tout entier à la contemplation de la lune, de la neige, de la fleur de cerisier et de la feuille d’érable… ne pas se laisser abattre par la pauvreté… mais dériver comme une calebasse sur la rivière, c’est ce qui s’appelle ukiyo.  » À cette définition du terme ukiyo, par l’écrivain Asai Ryôi (1612-1691), il a suffi d’ajouter le mot image,  » e  » en japonais, pour désigner un nouvel art qui bouleversa la conception de l’espace et du modelé, celui de l’estampe japonaise. C’est cet art apparu durant l’époque d’Edo (1603.1868) que le présent ouvrage révèle en puisant dans le fonds prodigieux de la Bibliothèque nationale de France. Issues de la nouvelle culture civile et populaire qui s’est développée autour de la ville d’Edo, capitale shogunale et ancienne Tôkyô, les estampes des XVIIIe et XIXe siècles illustrent avec une grande expressivité un large éventail de thèmes liés à l’écoulement de la vie terrestre éphémère : le théâtre et le sumo, la beauté féminine, la parodie, la faune, la flore, le paysage… Au fil de ces thèmes les Œuvres des grands maîtres, de Harunobu à Hiroshige, en passant par Utamaro et Hokusai, sont ici reproduites et commentées. Leur modernisme, l’audace de leurs compositions et de leurs formats étonnent À travers leur style d’un raffinement extrême, c’est la vision hédoniste d’une société qui s’exprime, son mode de vie, ses aspirations et jusqu’à ses fantasmes les plus intimes dans les estampes érotiques ou  » images de printemps « .

- Estampes Japonaises, Images d’un monde éphémère par Gisèle Lambert & Jocelyn Bouquillard aux éditions Bibliothèque Nationale de France – 279 pages – 19€

 

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La cloche du soir à Dôjôji, la vague au large de Tanagawa, pruniers dans la nuit sans lune, promenade parmi les iris, pêcheuses d’abalones, prélude au désir, la belle Kisegawa chez Matsubaya…, l’art de l’ukiyo-e – image du  » monde flottant  » – qui s’épanouit dans le Japon des XVIIIe et XIXe siècles, reflète le style de vie et la culture de la nouvelle bourgeoisie aisée des cités urbaines, à l’ère d’Edo (Tokyo), la capitale shogunale. Théâtre kabuki et acteurs, maisons vertes et courtisanes, maisons de thé et hôtesses, érotisme, paysages, faune, flore et natures mortes inspirent les artistes et les poètes. Les premières estampes monochromes apparaissent dès la fin du XVIIe siècle et cet art connaît son apogée au XVIIIe siècle avec les estampes polychromes ou  » images de brocart  » aux couleurs subtiles, aux fonds micacés, moirés, animés de poudre d’or et d’argent, aux formats audacieux. Une esthétique du plaisir qui engendre un art d’un raffinement extrême, que l’on découvre ici à travers une centaine d’œuvres des plus grands maîtres parmi lesquels Harunobu, Hiroshige, Hokusai, Sharaku, Toyokuni, Utamaro…

- Estampes Japonaises, Mémoires et merveilles de la Bibliothèque nationale de France par Gisèle Lambert aux éditions Bibliothèque Nationale de France - 175 pages – 18

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Ce livre est consacré à l’histoire de l’ukiyo-e: sa naissance, son évolution et ses chefs-d’œuvre. Les « images du Monde flottant » (ukiyo-e) sont l’expression esthétique d’une civilisation. L’imaginaire des estampes japonaises décrit avec raffinement et sincérité l’émergence d’une culture urbaine, essentiellement celle de la capitale, Edo – l’actuelle Tokyo -, dont les habitants recouraient aux plaisirs mondains afin d’échapper à la tristesse de la vie quotidienne. Après les artistes des premiers temps de l’ukiyo (Iwasa, Moronubul Andô…), cet ouvrage s’attache à étudier les œuvres d’Utamaro, Hokusai et Hiroshige. Ils sont en effet les artistes majeurs de ce genre graphique qui a marqué l’histoire de l’art du Japon du XVIIe au XIXe siècle.

- Ukiyo-e ou l’estampe japonaise par Francesco Morena aux éditions Citadelles et Mazenod – 239 pages - 52€

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La paix qui régna au japon à l’époque d’Edo engendra de profondes transformations économiques, sociales et culturelles. L’éducation prit une place primordiale, de même que le jeu, dans le développement harmonieux des enfants. Une nouvelle culture vit alors le jour, d’une diversité sans égale sur le plan littéraire et artistique. L’estampe japonaise qui naquit à cette époque et atteignit, dans les décennies qui suivirent, une virtuosité technique inégalée en dehors de l’archipel, retrace fort bien la vie quotidienne des enfants, de la naissance à l’âge adulte. Ludique, pédagogique, toujours attrayante, elle ne cessa d’enchanter le peuple d’Edo avant de conquérir l’Occident. Miroir de la vie quotidienne, elle enchanta petits et grands. Cet art de vivre aujourd’hui révolu, où les enfants occupaient pour la première fois une place de choix, revit sous nos yeux grâce aux estampes kodomo-e, terme désignant l’ensemble des images consacrées et destinées aux enfants. On y trouve aussi bien des représentations de mères avec leur progéniture que des enfants en train de jouer, de se disputer, d’étudier. Plus encore, l’une des étonnantes particularités de ce livre est de présenter des estampes destinées à servir de jouets sous forme de maquettes, de découpages, de jeux de société, etc. Autant d’occasions, pour le lecteur, quel que soit son âge, de faire revivre ces images du passé en jouant avec elles. Par là, c’est à un véritable bouleversement de nos habitudes de lecture que nous invite Brigitte Koyama-Richard, qui transforme le livre en objet ludique.

- Kodomo-e, l’estampe japonaise et l’univers des enfants par Brigitte Koyama-Richard aux éditions Hermann – 115 pages – 25€



5 commentaires

  1. lucaerne 2 janvier

    Toujours fascinant art japonais…

  2. saintsulpice 2 janvier

    Japonais art moi aimer…

  3. lucaerne 2 janvier

    Oh ! Toi à Tatooine pourtant n’es pas ?

  4. saintsulpice 3 janvier

    pas encore moi y être….être, ne pas être….

  5. lucaerne 3 janvier

    La question est !

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