Ogawa Kazumasa 17 décembre
Jardin Okano - Negishi – Tokyo – Crédit photo: © Ogawa Kazumasa
Jardin Okano - Negishi – Tokyo – Crédit photo: © Ogawa Kazumasa
Jardin Okano - Negishi – Tokyo – Crédit photo: © Ogawa Kazumasa
Jardin Okano - Negishi – Tokyo – Crédit photo: © Ogawa Kazumasa
Jardin Satake – Mukojima – Tokyo – Crédit photo: © Ogawa Kazumasa
Jardin Satake – Mukojima – Tokyo – Crédit photo: © Ogawa Kazumasa
Maison de thé à Tonosawa – Crédit photo: © Ogawa Kazumasa
Parc Ueno – Tokyo - Crédit photo: © Ogawa Kazumasa
Phare de Kudanzaka – Tokyo – Crédit photo: © Ogawa Kazumasa
Grande porte de shinyoshiwara – Yoshiwara – Tokyo - Crédit photo: © Ogawa Kazumasa
Biographie d’Ogawa Kazumasa
Ogawa Kazumasa (1860-1929), également connu sous le nom de Kazuma Ogawa ou Ogawa Isshin, a été photographe ainsi qu’imprimeur et éditeur. Il est un pionnier de l’impression photomécanique et de la photographie dans l’ère Meiji.
Ogawa est né à Saitama au Matsudaira. Il commence à étudier l’anglais et la photographie à l’âge de 15 ans puis en 1880 il s’installe à Tokyo afin d’affiner ses compétences en anglais. Un an plus tard, Ogawa est embauché comme interprète dans la police de Yokohama. En parallèle il débute l’apprentissage de la photographie Shimooka Renjō à Yokohama.
En 1882, il s’installe à Boston où il se perfectionne dans l’art du portrait et du processus de « plaque sèche ». Il étudie également la collotypie dans l’entreprise Albert Type.
À son retour au Japon en 1884, Ogawa ouvre un studio de photographie dans Iidabashi (Kojimachi), la première à Tokyo. Quatre ans plus tard, il crée la Tsukiji Kampan Seizo Kaisha qui fabrique des plaques sèches utilisées par les photographes. En 1889, il met en place au Japon la première entreprise de collotypie, l’Ogawa Shashin Seihan jo également dénommée imprimerie K. Ogawa. Dans la même année, Ogawa devient éditeur pour Shashin Shinpo le seul journal photographique disponible à l’époque, ainsi que pour Kokka magazine.
Ogawa a été un membre fondateur de la Société de photographie du Japon, qui a réuni les amateurs de photographie de tous les coins du Japon. En 1891, il fut accusé de prendre les cent photos les plus attrayantes de geisha Tokyoïtes pour commémorer l’ouverture de la Ryōunkaku.
Bien à vous,
Saint-Sulpice
lucaerne 25 décembre
Je t’avais déjà dit ce que j’en pensais : je les trouve très impressionnante. Et je t’assure que si tu regardes bien la septième, on peut y voir une lueur qui part du bassin et qui rejoint le ciel. Effet d’optique, un peu comme une âme qui s’élèverait… ça me laisse bien rêveuse.
saintsulpice 26 décembre
En effet cela est du à la photo elle-même et non pas à un effet divin! Cela n’empêche nullement de rêver néanmoins!
lucaerne 26 décembre
Je n’ai jamais cru à un effet divin, tu me connais ! Du vin, ça peut s’envisager…
saintsulpice 26 décembre
Tu me sembles picoler pas mal en ce moment!