Andreas Feininger – Partie 12

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Crédit photo: © Andreas Feininger – George Eastman House Foundation

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Crédit photo: © Andreas Feininger – George Eastman House Foundation

 

Biographie d’Andreas Feininger

 

Andreas Feininger (né à Paris le 27 décembre 1906, mort à New York le 18 février 1999) est un photographe. Andreas Feininger est le fils du peintre Lyonel Feininger.

Né à Paris d’une famille américaine d’origine allemande. Son père, le peintre Lyonel Feininger étant né à New York en 1871 et son grand père étant un émigrant allemand de Durlach en Bade-Wurtemberg, ayant rejoint New York en 1848. Il suit une éducation d’architecte à Hambourg en Allemagne et se passionne très vite pour la photographie et suit les cours du Bauhaus à Weimar et à Dessau-Roßlau. En 1936 il devient architecte et émigre en Suède et se consacre véritablement à la photographie. En 1939 avant le début de la Seconde Guerre mondiale il émigre à New York où il s’établit en tant que photographe freelance. En 1943 il rejoint le magazine Life auquel il participera jusqu’en 1962.

Feininger sera connu pour ses photographies de New York. Il a également participé à la rédaction de livres de vulgarisation sur la photographie.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

- Andreas Feininger – Partie 1.

- Andreas Feininger – Partie 2.

- Andreas Feininger – Partie 3.

- Andreas Feininger – Partie 4.

- Andreas Feininger – Partie 5.

- Andreas Feininger – Partie 6.

- Andreas Feininger – Partie 7.

- Andreas Feininger – Partie 8.

- Andreas Feininger – Partie 9.

- Andreas Feininger – Partie 10.

- Andreas Feininger – Partie 11.

 

A regarder aussi:

 

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A lire aussi:

 

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Ce livre est une succession de superbes photographies des Etats-Unis prises par Andreas Feininger entre les années 1940 et 1960. Chaque image est un hommage à la qualité esthétique inimitable qui est devenue la signature de son travail. Plusieurs illustrent sa recherche incessante pour réduire au minimum la différence entre l’idée et la réalité, son désir de permettre aux sujets banals de glisser dans l’Utopie. L’Amérique de Feininger est une épopée photographique, traversant Chicago jusqu’à la Nouvelle Orléans, Hollywood jusqu’aux Pignons de Corail… 

- America par Andreas Feininger aux éditions Gingko Press – 96 pages – 15€

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L’ancien photographe de Life photographie la tempête de neige de 1947, le combat de Louis-Walcott au Madison Square Garden, l’épave du Normandie, etc… 162 photographies de légende!

- New York in the Forties par Andreas Feininger aux éditions Dover Publications Inc – 181 pages – 11€



Les Buddhas du Shandong – Musée Cernuschi – Paris – Du 18 Septembre 2009 au 3 Janvier 2010

Les Buddhas du Shandong - Musée Cernuschi - Paris - Du 18 Septembre 2009 au 3 Janvier 2010 dans EXPOSITIONS image

 

 

 

Cette exposition de buddhas et bodhisattva trouvés en 1996 dans la ville chinoise de Qingzhou (Province du Shandong) est présentée pour la première fois en France au musée Cernuschi. Toutes les statues datent du VIe siècle, apogée de la statuaire bouddhique en Chine. Encore inconnues du grand public, les pièces par leur taille, le raffinement de leur traitement, leur état exceptionnel de conservation et les restes de leur polychromie, constituent l’un des sommets de la statuaire asiatique. Une des expositions phares de la rentrée…

 

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En 1996, lors d’aménagements urbains dans la ville chinoise de Qingzhou, dans la province du Shandong*, des terrassiers ouvraient dans une fosse de soixante mètres carrés et profonde de deux, plusieurs centaines de fragments de statues bouddhiques de grande taille soigneusement rangés, la plus haute mesurant plus de trois mètres.

 

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Un délicat travail de restauration a permis d’en reconstituer un nombre important. Toutes ces oeuvres datent du VIe siècle, apogée de la statuaire bouddhique en Chine.

 

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Des stèles en haut relief présentent le Buddha (L’Eveillé) entouré de deux Bodhisattva (Etres promis à l’éveil). Stylistiquement, elles sont caractéristiques de la fin des Wei du Nord (386-534) et de la période des Wei de l’Est (534-550).  Des statues de buddha et de bodhisattva en ronde bosse, au visage intériorisé et au vêtement caractérisé par un subtil drapé moulant le corps, sont l’oeuvre des ateliers des Qi du Nord (550-577).

Ces pièces, encore inconnues du grand public, par leur taille, le raffinement de leur traitement, leur état exceptionnel de conservation et les restes de leur polychromie, constituent l’un des sommets de la statuaire asiatique. Elles sont présentées pour la première fois en France au musée Cernuschi.

 

* La province du Shandong est située dans la partie nord-est de la Chine, au sud de Beijing. Une partie de ses côtes nord et est  orde la mer de Chine et fait face à la Corée. Le Shandong est avec 90 millions d’habitants l’une des plus importantes provinces de Chine. Située dans la riche partie est du pays, elle abrite plusieurs fiertés de l’Empire du milieu. On peut d’abord évoquer Qingdao, plus grand port de la province et qui pour beaucoup est l’une des plus belles villes du monde.Le Shandong (que l’on pourrait traduire par montagnes de l’est), est aussi célèbre pour être la patrie de Confucius, le célèbre sage chinois étant originaire de Qufu. N’oublions pas les arts martiaux, la célèbre et tout autant mystérieuse Boxe de la Mante Religieuse étant née ici. De nombreux maîtres des différentes variantes de ce style de Kung Fu vivent d’ailleurs dans les quatres coins de la province.Mais le Shandong, c’est avant tout un haut lieu de la culture pluri-millénaire chinoise. Sa capitale, Jinan (5 millions d’habitants) regorge de lieux magnifiques mais souvent méconnus des touristes occidentaux.Célèbre pour ses sources d’eau, Jinan abrite également ce qui représente un trésor pour la culture et la religion bouddhiste : Qianfoshan, la Montagne des 1000 Bouddhas. Appelé Lishan à son origine, l’endroit s’est métamorphosé sous le règne de Kai Huang (581-600 après JC) de la dynastie Sui (581-618 après JC), période de grand essor pour le Bouddhisme en Chine et dans le Shandong.A cette époque, de nombreux moines érigèrent des temples et des statues bouddhistes, tandis que des monastères étaient fondés dans les alentours. Haute de 285 mètres, Qianfoshan domine la ville de Jinan.Beaucoup de touristes y affluent pour admirer les différentes reliques mais aussi profiter de la luxuriante végétation présente. Malheureusement, des nombreuses statues originelles beaucoup ont été victimes de la Révolution culturelle, bien que d’autres monuments plus récents ont pris leur place pour redonner tout son intérêt au site.Parmi les principaux points d’attraction de la montagne, on peut citer le parc du Bouddha Maytreya. Construit en 2000, il s’étend sur 25000 mètres carrés et y siège la plus large statue de Boudha de tout le nord de la Chine (20 mètres de haut pour 30 mètres de diamètre).Depuis 1996, une statue de Bouddha dormant enrichie également le patrimoine de Qianfoshan, dont un autre élement important reste le temple de Qian Yin, ou Padma-Pani en sanskrit, divinité souvent comparée à la Vierge Marie pour avoir refusé son droit d’entrer au Nirvana préférant se consacrer à aider les humains dans le besoin.Une chose est certaine au vu de la richesse culturelle siégeant éparpillée aux différents coins de la montagne : vouloir tout voir en une journée relève de l’utopie. Si vous passez par Jinan, n’oubliez surtout pas d’aller rendre visite aux 1000 moines de Qianfoshan.
 

 

Bonne exposition,

Saint-Sulpice

 

- Musée Cernuschi – 7, Avenue Vélasquez – 75008 Paris - Tél : 01.53.96.21.50 – Métro 2 Monceau, Métro 2 Villiers, Métro 3 Villiers, Bus 30 , Bus 94 -Du Mardi au Dimanche de 10h à 18h sauf jours fériés (fermé le 1er novembre, le 11 novembre, le 25 décembre) - Du 18 septembre 2009 au 3 janvier 2010Tarifs: Plein 9€ – Réduit : 7€ pour les familles nombreuses, enseignants, chôm., pers. de + 60 ans… 4,5€ pour les 14 à 26 ans inclus. Gr. pour les – de 14 ans et pour les hand. et leurs accomp..

A lire aussi:

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Lors d’un premier voyage en Chine, en 1983, à l’invitation de la Fédération des femmes chinoises, Marie-Madeleine Flambard découvre un pays grand comme un continent et vieux de 5 000 ans. Des voyages qui suivront, elle rapportera croquis et aquarelles : paysages de rizières, femmes Miao ou Naxi, tissus indigo et costumes traditionnels, ambiance des marchés, maisons et ponts de bois du pays Dong, brumes des montagnes sacrées, jardins et pagodes… A travers une centaine d’aquarelles, En terres de Chine est le fruit de cette fréquentation complice d’un pays qui, aujourd’hui, conserve une grande part de son mystère et continue d’irriguer nos rêves.

- En Terres de Chine: du Yunnan au Shandong, des montagnes jusqu’à la mer… par Marie-Madeleine Flambard aux éditions Siloë  - 111 pages – 29€ 

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Une introduction aux 45 grandes déités bouddhistes pour retrouver paix et sérénité. Une aide précieuse dans la quête de sa voie personnelle. Vous trouverez dans la bouddha box : un livre sur les différentes manifestations du Bouddha et les moyens de bénéficier de sa sagesse ; des cartes magnifiquement illustrées de chaque bouddha, avec des méditations, des visualisations et des prières.

- Bouddha Box : Le livre de Bouddha + 45 cartes de mantras par Lillian Too aux éditions Marabout (Poche) – 159 pages - Tarif: Voir éditeur.

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Cet ouvrage est consacré à l’iconographie du bouddhisme. Il est un véritable dictionnaire du panthéon, des symboles et des objets rituels bouddhistes. Il présente les trois mystères, les symboles et objets de rituel, les bouddhas et bodhisattvas, les dieux et déesses, les pères fondateurs, etc. Très nombreuses illustrations N&B.Il y a 2500 ans naissait Siddharta Gautama, le Bouddha historique. Considérée aujourd’hui comme l’une des grandes religions mondiales, la Doctrine bouddhiste suscite, en Occident, un intérêt toujours croissant. Cet ouvrage ne cherche pas à expliquer les fondements de l’enseignement de Bouddha – il existe d’excellents titres sur le sujet – il se veut plutôt un  » itinéraire initiatique  » à travers l’iconographie bouddhiste, particulièrement riche en symboles, notamment au Tibet. Par-delà leur beauté, les représentations des divinités bouddhistes constituent une remarquable voie d’accès à l’essence même de la Doctrine. Ce livre, véritable dictionnaire du panthéon et des objets rituels bouddhistes, en décrivant chaque dieu, chaque attribut, nous permet de décoder la mythologie toujours vivante et indissociable du vécu quotidien. Cette approche  » inusitée  » permettra au lecteur occidental, profane ou disciple, de découvrir et d’assimiler les facettes riches et complexes du bouddhisme. La symbolique, ainsi vécue  » de l’intérieur « , véritable support de méditation, éclairera le chemin de la sagesse et du salut.- Livre du Bouddha par Eva Ruday Jansen aux éditions Binkey – 11.50€

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A regarder aussi:

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Un peu hors sujet mais si beau à voir! Regardez plutôt:

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Le Quatorzième arrondissement de Paris d’autrefois – Partie 7

Le Quatorzième arrondissement de Paris d'autrefois - Partie 7 dans Photographies du Paris d'hier et d'aujourd'hui 15682-5

Paris VIème arr.. Circulation boulevard du Montparnasse, à la hauteur de l’actuelle place du Dix-huit juin 1940. Vers 1930.

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Paris. « The Jockey », café fréquenté par les artistes, boulevard du Montparnasse.

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Guerre 1939-1945. Paris sous l’Occupation. Panneaux de signalisation allemands, boulevard Montparnasse.

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Paris (XIVème arrondissement). La Coupole, boulevard Montparnasse.

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Paris (XIVème arrondissement). La Coupole, boulevard Montparnasse.

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Paris (XIVème arrondissement). Music-hall Bobino, rue de la Gaité. 1936.

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Paris (XIVème arr.). Rue du Faubourg Saint-Jacques. 1944-1945

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Paris (XIVème arr.). Villa Seurat. 1946.

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Paris (XIVème arr.). Impasse de Vanves.

 

Histoire du Quatorzième arrondissement de Paris 

 

Le “Quatorzième” s’étend sur 562.1 hectares (9ème arrondissement de la capitale par sa superficie).

C’est un arrondissement modérément peuplé avec 132 822 habitants. Découle de ces données une densité brute moyenne de 23 554 habitants au km (l1ème densité de la capitale) située légèrement en dessous de la moyenne parisienne (24 430 habitants au km hors bois de Boulogne et de Vincennes).

Le relief est peu marqué et n’influe pas sur la physionomie de l’arrondissement. Il est constitué par un plateau qui descend progressivement vers la Seine tandis que la Vallée de la Bièvre et les coteaux de Vaugirard le limitent à l’Est et à l’Ouest.

Longtemps, le territoire de l’actuel 14ème arrondissement est resté peu urbanisé. C’était un lieu de transit, surtout emprunté par des hommes et des biens suivant le passage de l’axe historique Nord-Sud. Celui-ci épouse la voie romaine qui poursuivait le cardo maximus de la Lutèce romaine et reliait Paris à Orléans (actuelle rue du Faubourg Saint-Jacques prolongée par la rue de la Tombe-Issoire). La voie était également sillonnée par de nombreux fidèles partant en pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle, ce qui explique l’implantation de plusieurs congrégations religieuses (Capucins, Bénédictins, Frères de la Charité) sur de vastes emprises.

Au XVIIIème siècle, le noyau urbain du Petit-Montrouge se forme autour de l’église Saint-Pierre de Montrouge située au croisement de la route d’Orléans (qui deviendra l’actuelle avenue du Général Leclerc) et de la chaussée du Maine. A la fin du siècle, la Place Denfert-Rochereau est recomposée et monumentalisée.
Jusqu’à la Révolution, le territoire est encore peu urbanisé malgré le lotissement des abords de la route d’Orléans. Au début du XIXème siècle,

les emprises occupées par les ordres religieux mutent en établissements hospitaliers (Cochin et Port-Royal sur les terrains des Capucins et des Bénédictins) ou en cimetière (Montparnasse en lieu et place des Frères de la Charité). Par la suite, le Sud de l’arrondissement se lotit autour du Nouveau Village d’Orléans, du lotissement de Plaisance, du Village des Thermopyles et du Nouveau Village de la Chaussée du Maine.
 

L’actuel l4ème arrondissement naît en 1860 de l’annexion par la commune de territoires des communes comprises entre l’enceinte des Fermiers Généraux et les fortifications de Thiers (que longent les boulevards des Maréchaux et le Périphérique). Les Grands Travaux du Second Empire vont entraîner le. prolongement du boulevard de Montparnasse par celui de Port-Royal jusqu’aux Gobelins, ainsi que l’éclatement de la Place Denfert-Rochereau en boulevard Arago et en avenue du Parc Montsouris (actuelle avenue René Coty). Dans le même temps est livré le Parc Montsouris. l’Ouest.

La fin du XIXème siècle et la première moitié du XXème siècle seront une période de lente urbanisation s’appuyant sur le réseau viaire constitué. Le Sud connaît les plus importantes mutations avec la construction des hôpitaux Saint-Joseph, Broussais et Notre-Dame de Bon-Secours, tandis que la destruction de l’enceinte de Thiers permet de libérer des emprises vierges utilisées pour bâtir la ceinture d’immeubles HBM et la Cité Universitaire. La seconde moitié du XXème siècle voit s’implanter le boulevard périphérique, infrastructure routière qui établit une césure profonde et toujours vivace entre le l4ème et ses communes périphériques.

A cette époque se développent des barres HLM le long des voies SNCF du réseau Montparnasse (secteur Porte de Vanves et Raymond Losserand). Les années 1970 sont marquées par la percée du secteur Maine-Montparnasse (Gare, tour de bureaux et centre commercial). La décennie suivante voit débuter les travaux de rénovation du quartier Plaisance avec la création de la Zone d’Aménagement Concerté (ZAC) Guilleminot-Vercingérorix. Aujourd’hui, le l4ème apparaît densément urbanisé et les emprises exploitables pour des opérations de construction sont désormais peu nombreuses. On citera les perspectives que peut offrir le site de l’hôpital Broussais, ainsi que les ZAC (Zones d’Aménagement concerté) Didot et Alésia-Montsouris.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

- Le Quatorzième Arrondissement de Paris – Partie 1.

- Le Quatorzième Arrondissement de Paris d’autrefois – Partie 2.

- Le Quatorzième Arrondissement de Paris d’autrefois – Partie 3.

- Le Quatorzième Arrondissement de Paris d’autrefois – Partie 4.

- Le Quatorzième Arrondissement de Paris d’autrefois – Partie 5.

- Le Quatorzième Arrondissement de Paris d’autrefois – Partie 6.



Liu Zhen

Liu Zhen  dans Artistes: Peintres & sculpteurs, etc... lz016

Autumn – Crédit Peinture: © Liu Zhen - Zee Stone Gallery

lz023c dans Artistes: Peintres & sculpteurs, etc...

Landscapes of the Mind No. 4C – Crédit Peinture: © Liu Zhen - Zee Stone Gallery

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4 Panel Screens No.5 – Crédit Peinture: © Liu Zhen - Zee Stone Gallery

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Landscapes of the Mind No.41  – Crédit Peinture: © Liu Zhen - Zee Stone Gallery

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Landscapes of the Mind No. 5B  – Crédit Peinture: © Liu Zhen - Zee Stone Gallery

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Abstract No. 45B – Crédit Peinture: © Liu Zhen - Zee Stone Gallery

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Landscapes of the Mind No. 2B – Crédit Peinture: © Liu Zhen - Zee Stone Gallery

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Landscapes of the Mind No.6  – Crédit Peinture: © Liu Zhen - Zee Stone Gallery

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Landscapes of the Mind No.9  – Crédit Peinture: © Liu Zhen - Zee Stone Gallery

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Landscapes of the Mind No.14 – Crédit Peinture: © Liu Zhen - Zee Stone Gallery

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Pour en savoir plus sur cet artiste: Liu Zhen

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice



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