Melissa Hutton 21 septembre
ARTICLE EN REFECTION
Pour en savoir plus sur cette artiste: Melissa Hutton.
Bien à vous,
Saint-Sulpice
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Bien à vous,
Saint-Sulpice
Crédit photo: © Jamie Cook
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Pour en savoir plus sur cet artiste: Jamie Cook.
Bien à vous,
Saint-Sulpice
Voir aussi:
Rue de Vaugirard vers 1910 – Crédit photo: © Paris Avant
Rue Saint-Vincent vers 1910 – Crédit photo: © Paris Avant
Rue Scribe vers 1910 – Crédit photo: © Paris Avant
Rue Sarrette vers 1910 – Crédit photo: © Paris Avant
Hôpital Armand Trousseau – Avenue du Docteur Arnold-Netter vers 1910 – Crédit photo: © Paris Avant
La Gare du Nord et le Boulevard Denain vers 1910 – Crédit photo: © Paris Avant
Eglise saint-Julien le pauvre – Rue Saint-Julien le pauvre vers 1910 – Crédit photo: © Paris Avant
Place de la République vers 1910 – Crédit photo: © Paris Avant
Boulevard de Ménilmontant en 1909 – Crédit photo: © Paris Avant
Rue Saint-Georges vers 1910 – Crédit photo: © Paris Avant
Bien à vous,
Saint-Sulpice
Voir aussi:
Ladyboys du Cambodge – Crédit photo: © Sarah Caron
La galerie Chambre avec Vues présente son exposition de rentrée consacrée à Sarah Caron, voyageuse infatigable, au cœur de l’actualité avec ses derniers reportages au Pakistan présentés à Perpignan dans le cadre de Visa pour l’Image.
Du 10 septembre au 31 octobre, « Un monde fragile » , tour du monde plein d’humanité mettra en valeur le travail très personnel de Sarah Caron. Cette exposition a déjà été présentée à New York en 2008 à l’initiative de la Fondation Jean-Luc Lagardère. Rappelons que Sarah Caron travaille régulièrement pour Le Monde, le New York Times magazine, Paris-Match, Newsweek, El Mundo, Le Figaro, Elle, Géo …
Veuves Blanches en Inde – Crédit photo: © Sarah Caron
Les reportages de Sarah Caron la conduisent depuis plusieurs années sur le terrain de violences et d’affrontements qui font souvent la une des journaux et influent sur le destin de régions du monde comme le Moyen-Orient ou l’Asie méridionale. Elle se retrouve face à des sociétés appauvries et déstabilisées par d’incessants conflits, eux-mêmes attisés par des différences de religion et de culture ; elle traverse des paysages désolés, mutilés. Elle témoigne d’incidents qui se répètent comme sur la frontière entre Palestine et Israël, de regains de tensions en Afghanistan et plus récemment au nord-ouest du Pakistan.
Sarah Caron – Crédit photo: © François Louchet
Mais ce qui l’intéresse, ce n’est pas tant l’actualité immédiate, le fait de guerre, que des situations humaines, sociales qui durent, s’enracinent. Son regard est entraîné vers des êtres dont le sort qui leur est réservé se résume souvent à une seule alternative : supporter silencieusement ou fuir. Et ce sont souvent des femmes, dont on imagine les épreuves qu’elles traversent, et qui continuent d’être mères malgré tout. Elle sait aussi déceler chez les hommes, soldats ou rebelles, des failles, dans le sens où durant les temps « faibles » de l’action, certains laissent transparaître des sentiments : de la solitude, de l’inquiétude, pour ne pas dire de la peur. Sur le terrain des conflits que Sarah Caron traverse, les gestes de la vie quotidienne ne s’arrêtent pas pour autant, et elle est sensible à cette continuité de la vie. Ce sont des moments d’intimité qu’elle parvient à retenir, souvent saisis dans la pénombre.
Veuves Blanches en Inde – Crédit photo: © Sarah Caron
Cette exposition réunit des photographies de facture différente (noir et blanc, couleur, 35mm, moyen format), mais toutes portées par la même écriture, habitées par une même vision. Elles ont été réalisées dans le cadre de travaux de commande échelonnés sur les dix dernières années, au milieu des paysages et des sociétés les plus divers, de l’Europe à l’Afrique, en passant par l’Amérique. Elles portent en elles une part de document, mais certaines sont esquissées avec fébrilité et chargées de vibrations, de tensions. Sarah Caron nous dévoile ainsi un monde fragile, incertain, alors que les sociétés en question semblent être régies par des principes et des valeurs extrêmement rigides. Sans doute un homme n’aurait-il pas regardé cette fragilité avec la même attention et la même sensibilité. Source Texte: Gabriel Bauret
Pour en savoir plus sur Sarah Caron.
Pour en savoir plus sur la Galerie Chambre avec Vues.
Bonne exposition,
Saint-Sulpice
- Sarah Caron – Galerie Chambre avec Vues - 3, Rue Jules Vallès – 75011 Paris – Tél : 01.40.52.53.00 – Métro Charonne ligne 9 & Faidherbe-Chaligny ligne 8 – Bus ligne 56 arrêt Charonne, ligne 76 arrêt Charonne-Voltaire, ligne 46 arrêt Charonne-Chanzy – Du 10 Septembre au 31 Octobre 2009 - Ouvert du mardi au samedi, de 14h à 19h, et sur rendez-vous – Entrée Libre.
A lire aussi:
Voyage avec les migrants clandestins, du Sahara à la Grande bleue. On aperçoit parfois leur visage au détour d’un reportage, lorsqu’ils sont refoulés dans leur pays d’origine ou noyés sur les plages du Sud. Mais on imagine rarement l’odyssée qu’ils ont vécue pour parvenir en Europe et les raisons multiples qui les ont jetés sur les routes. Celle du Sahara est une des plus folles et des plus dangereuses. Pour mettre pied sur notre vieux continent, des dizaines de milliers de jeunes Africains subsahariens risquent chaque année leur peau dans le feu du désert, avant d’affronter une Méditerranée salement naufrageuse. Nous avons suivi leur voyage, du sud de l’Algérie aux côtes marocaines, un mélange d’aventure pure, de souffrance et de parcours initiatique.
- Odyssée Moderne par Sarah Caron & Isabelle Fougère aux éditions Images en Manoeuvres – 112 pages – 39€
A voir aussi:
Elle est photographe. Les plus grands journaux internationaux publient ses reportages. Dans chacun de ses clichés transparaît sa vision du monde à travers le regard des autres. Elle ne se lasse pas de parcourir la planète à la recherche de l’insaisissable afin de mieux comprendre les histoires de chacun. Lui aussi est photographe. Reporter de guerre, pour être exact. Il est aussi écrivain et auteur de documentaire. Il a frôlé la mort, plusieurs fois, mais n’y pense pas. La passion l’emporte : surtout celle de témoigner, de raconter l’histoire des autres. Elle s’appelle Sarah Caron. Lui : Patrick Chauvel.
Dès leur rencontre, la personnalité de Sarah Caron et son travail, entre art et reportage, marquèrent Patrick Chauvel. Passion commune, même enthousiasme face à l’engagement, même quête de l’absolu, même envie de parcourir le monde… Patrick Chauvel décida d’accompagner Sarah Caron. Pour une fois, il ne s’agissait pas de fi lmer les confl its, mais de suivre sans compromis une photographe dans sa recherche d’histoires derrière l’Histoire. Cambodge, Thaïlande, Égypte, Palestine, Mexique… cinq voyages en douze mois, retracés en une heure et demie dans le documentaire de Patrick Chauvel. Une façon d’interroger le travail d’une vie et le sens d’une quête jamais achevée.
- Les Yeux de Sarah, documentaire de Patrick Chauvel – Durée 1h35 – disponible à la vente chez: Java Films – 4-6, villa Thoreton – 75015 Paris – Tél : 01 4060 2600 – E-mail : rbozino@javafilms.fr