Léon Gimpel

 Léon Gimpel  dans Photographie: Grands Photographes 20080413_DNA024244

 Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

ea3cdbc3702c304bc5bbfbdc250cbfa1_ph dans Photographie: Grands Photographes

 Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

paris04

 Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

1fb294f78b41d885b0cce9417f80cf6e_ph

 Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

paris06

 Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

806A259

Rue Grenata – Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

ww1color2

Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

d2170f239b610bed22b1f45e9e41c803_ph

 Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

gimpel-municipaux-arc-triomphe.1202947847

Garde Républicaine à L’Arc de Triomphe -  Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

Gimpel2

L’Avenue du Bois le dimanche matin, 7 Mai 1910 -  Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

Gimple+2+%5B800x600%5D

La Rue du Pont Neuf – 18 Décembre 1910 – Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

img-3-small491

Le président de la République et M. André Fallières à bord du cuirassé Vérité - 1 Août 1909 – Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

 Préparatifs de départ du dirigeable Zodiac III, Bétheny – 28 août 1909 – Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

Gimpel3

Départ du dirigeable militaire “Le Temps” pour la revue, 14 Juillet 1911 -  Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

Gimpel1

Le dirigeable “Ville de Bruxelles” en cours de gonflement – 22 Mai 1910 - Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

img-8-small491

Un biplan Voisin virant autour d’un pylône ; vue prise à bord du dirigeable Zodiac III à 150 mètres d’altitude environ, Bétheny » – 29 Août 1909 - Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

806A131

Usine d’avion Farman – 1917 – Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

3700425601987

Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

LeonGimpel%2BEffectsOfTheMistOnTheIlluminatedFacade)fTheGrandPalais%2BSPF

Effet de brouillard sur la facade illuminée du Grand Palais – 21 Décembre 1912 – Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

Leon+Gimpel+%5B800x600%5D

Néons, Boulevard des Italiens – 3 Décembre 1925 – Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

gimpel-galeries-lafayette.1202947835

Illuminations de Noël aux Galeries Lafayette – Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

 Illuminations de Noël au Bazar de l’Hôtel de Ville – Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

gimpel

Illuminations de Noël à la Samaritaine – 1925 - Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

Gimpel4

Illuminations de la salle Wagram à Paris – 5 Décembre 1925 - Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

gimpel-parvis-notre-dame.1202947874

Parvis de Notre-Dame - Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

2436662962_478d86fcb9_o

 Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

gimpel_02

Tout va bien – Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

img-13-small491

Un autobus noyé, Paris – 27 septembre 1911 - Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

img-14-small491

Un autobus noyé, Paris – 27 septembre 1911 - Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

Gimpel5

Amanita phalloïdes ouamanite phalloïde, champignon mortel, 18 Septembre 1912 – Crédit photo: © Léon Gimpel – SFP

N

 Amanite phalloïde - Crédit photo: © Léon Gimpel

 

.

Biographie de Léon Gimpel

N

 Léon Gimpel Autoportrait au Palais des Glaces de l’Exposition universelle – Crédit photo: © Léon Gimpel

 

Bien que tombé dans l’oubli de la mémoire du XXIe siècle, Léon Gimpel peut se prévaloir de son vivant d’une belle renommée, liée à sa contribution photographique pour le journal L’Illustration.Dès 1897, Gimpel réalise des reportages photographiques pour la presse avec un appareil Belek (9 x 12 cm), puis avec un Spido Gaumont, dont il est plus facile de manier les paramètres.

D’après les mémoires du photographe, Quarante ans de reportages photographiques. Souvenirs de Léon Gimpel, collaborateur à L’Illustration, c’est la beauté des paysages méridionaux qui l’aurait incité à s’approprier la technique photographique. Pour s’aider dans la tâche, il s’abonne – comme tous les photographes amateurs de l’époque – à Photo-revue, mensuel créé par Charles Mendel en 1888. Sans appartenir à aucun des photos-clubs bourgeois qui bourgeonnent suite aux inventions de Nicephore Niépce (1765-1833) et Louis Daguerre (1787-1851), Léon Gimpel se sent porté par le souffle d’invention et l’esprit de liberté qu’agitent ces associations d’amateurs de la fin du XIXe siècle.

Léon Gimpel travaille alors pour l’entreprise familiale de draps et tissus, gérée par son frère aîné, Eugène (1856-1937). En tant que commercial, il sillonne “les plus belles régions du midi de la France et enthousiasmé par les sites et les monuments remarquables de cette contrée, [il ne tarde pas] à regretter de ne pouvoir en garder le fidèle souvenir”. D’où l’achat de son premier appareil chez les Demaria Frères le 31 août 1897.

A partir de 1900, la photographie prend une place primordiale dans la vie de Gimpel. Il est assigné pour la première fois “photoreporter” à l’occasion de l’incendie du Théâtre français (place du Palais Royal) du 8 mars.
Puis, il est chargé de suivre les événements liés à l’Exposition Universelle. La Vie illustrée est la première revue française à publier ses photographies, après le King of Illustrated Papers – revue anglaise à laquelle Léon avait transmis son travail par l’intermédiaire de Paul Géniaux (1873-1914).

photographe amateur, Léon Gimpel devient donc un professionnel, qui aborde ce nouveau médium avec un esprit expérimental. Il réalise des séries d’images destinées à la vulgarisation scientifique, étant l’un des premiers à extraire le sujet de son contexte. Tels ses champignons, sortis de leur environnement et posés sur un fond neutre.

D’esprit curieux et imaginatif, Gimpel crée des images aux formes nouvelles. Il découvre la vue en plongée lorsqu’il s’embarque sur un dirigeable (meeting aérien de Bétheny). Avant de succomber à la vue en contre-plongée.
Léon aime repousser les limites du medium: “Les difficultés, loin de me rebuter, ont toujours exercé sur moi une attraction irrésistible”.

A partir de 1904, le photographe commence sa collaboration avec le journal L’Illustration, enregistrant l’évolution de Paris, notamment la mise en place de l’éclairage au néon, qui permet de faire des photographies de nuit (cf. les enseignes des grands magasins).

Si l’homme laisse par écrit des souvenirs de sa carrière professionnelle, il ne s’étale pas sur sa vie privée. Il est né à Strasbourg dans une famille d’origine juive de quatre enfants – il est le dernier. En 1870, ses parents, patriotes, quittent l’Alsace, perdue au profit de l’Allemagne, pour rejoindre Paris. En 1878, ils habitent au 38, boulevard de Strasbourg (Paris, 10e). En 1939, Léon épouse Marguerite Bouillon; le couple n’aura pas d’enfants. Les époux quittent Paris, pour une raison inconnue (probablement pour gagner la zone libre) et s’installent en Béarn. D’abord à Pau, puis Jurançon, et enfin Sérignac-Meyracq, où le photographe meurt.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

A lire:

N

1564-1566-large

 

Aujourd’hui méconnu, Léon Gimpel fut pourtant un célèbre photographe amateur de la Belle Epoque. Animé d’une insatiable curiosité technique, il essaya de pousser au plus loin les possibilités du médium. Sa pratique amateur devint alors virtuose : il enregistra en noir et blanc la foudre s’abattant sur la tour Eiffel, l’évolution d’un Paris nocturne désormais éclairé à l’électricité ou encore la vision en plongée que les premiers aviateurs perçoivent de leurs nouveaux engins.

Gimpel est également associé à la présentation de l’autochrome, premier procédé commercialisé de photographie en couleurs. Il en exploite de façon magistrale les possibilités, réalise des reproductions en couleurs de paysages de montagne, d’éclairages de façades ou de scènes de la vie parisienne, magnifie en somme l’univers chatoyant de la Belle Epoque.

- Leon Gimpel (1873-1948) – Les audaces d’un photographe par Dominique De Font-reaulx & Thierry Gervais aux éditions 5 continents - 40€



Dans les pas de Charles Darwin – Exposition-promenade à Bagatelle – Paris

Dans les pas de Charles Darwin - Exposition-promenade à Bagatelle - Paris dans EXPOSITIONS

 

C’est à Bagatelle que se tient l’événement majeur de cette manifestation. Depuis le 29 mai 2009, l’exposition vous invite à suivre les chemins empruntés par Darwin. «Dans les pas de Charles Darwin» ne se contente pas de retracer la vie du naturaliste, elle évoque son voyage à bord du «Beagle», qui détermina sa vocation, et présente sa démarche scientifique d’une façon simple et accessible à tous. Outre les salles d’exposition du Trianon et de la galerie côté Seine, qui vous permettent de mieux comprendre la vie et l’œuvre de Darwin, la cour d’honneur vous entraîne dans le sillage du «Beagle», à la découverte des continents et des étapes qui ont fondé la théorie de l’évolution. Le végétal devient alors le fil conducteur qui guide le visiteur d’escale en escale.

 dans EXPOSITIONS

Les thèmes présentés à Bagatelle sont développés dans  «Charles Darwin et la botanique» au jardin des Serres d’Auteuil, «le Chemin de l’évolution» du règne végétal au parc Floral de Paris, et «Espèces invasives» dans l’arboretum de l’École Du Breuil.

Trois grandes étapes ponctuent le parcours. Dans le Trianon, sa vie est retracée tandis que dans la cour d’honneur, vous êtes invités au voyage à bord du Beagle. La galerie côté Seine est consacrée à son œuvre scientifique, notamment à l’écriture de l’Origine des Espèces et à son immense retentissement. 

Tour à tour historique, scientifique, pédagogique ou ludique, le récit invite adultes et enfants à suivre une aventure exceptionnelle, une œuvre unique. 

De son enfance dans le Shropshire jusqu’à sa mort dans sa maison du Kent, l’exposition promenade vous mène à la rencontre d’un homme qui a révolutionné l’histoire de la science.

L’histoire de sa vie est racontée avec émotion, au plus près de l’homme. L’œuvre s’écrit sous nos yeux, avec ses choix, ses hésitations, ses fulgurances. Le voyage du Beagle est une invitation à observer le monde qui nous entoure. Le retour en Angleterre, la vie familiale retirée du monde, la publication des ouvrages, le combat contre la maladie, les interrogations, les doutes, la mort et la reconnaissance par ses pairs, sont évoqués dans des « tableaux » où des documents, des écrits et des spécimens naturalisés, des objets de marine, des fossiles, des herbiers … se font écho.

Patrick Tort, spécialiste de Charles Darwin et Directeur fondateur de l’Institut Charles Darwin International est le commissaire scientifique de cette exposition.

Bonne exposition,

Saint-Sulpice

 

Dans les pas de Charles Darwin – Exposition-promenade à Bagatelle – Trianon, Cour d’Honneur et Galerie du parc de Bagatelle (Bois de Boulogne) – Route de Sèvres à Neuilly – Bois de Boulogne – 75016 Paris – Métro pont de Neuilly, puis autobus 43, Métro porte Maillot, puis autobus 244, Métro Porte d’Auteuil, puis autobus 241 – Du 29 Mai au 1 Novembre 2009 - Horaires : tous les jours de 11h00 à 19h00 du 29 Mai au 30 Septembre et de 11h00 à 17h30 du 30 Septembre au 1er Novembre 2009 – Tarifs : entrée du parc 5€ et tarif réduit 2,50€.



Andreas Feininger – Partie 6

Andreas Feininger - Partie 6 dans Photographie: Grands Photographes m197806060105

Crédit photo: © Andreas Feininger – George Eastman House Foundation

m197806060101 dans Photographie: Grands Photographes

Crédit photo: © Andreas Feininger – George Eastman House Foundation

m197806060102

Crédit photo: © Andreas Feininger – George Eastman House Foundation

m197806060110

Crédit photo: © Andreas Feininger – George Eastman House Foundation

m197806060104

Crédit photo: © Andreas Feininger – George Eastman House Foundation

m197806060106

Crédit photo: © Andreas Feininger – George Eastman House Foundation

m197806060108

Crédit photo: © Andreas Feininger – George Eastman House Foundation

m197806060109

Crédit photo: © Andreas Feininger – George Eastman House Foundation

m197806060115

Crédit photo: © Andreas Feininger – George Eastman House Foundation

m197806060117

Crédit photo: © Andreas Feininger – George Eastman House Foundation

 

Biographie d’Andreas Feininger

Andreas Feininger (né à Paris le 27 décembre 1906, mort à New York le 18 février 1999) est un photographe. Andreas Feininger est le fils du peintre Lyonel Feininger.

Né à Paris d’une famille américaine d’origine allemande. Son père, le peintre Lyonel Feininger étant né à New York en 1871 et son grand père étant un émigrant allemand de Durlach en Bade-Wurtemberg, ayant rejoint New York en 1848. Il suit une éducation d’architecte à Hambourg en Allemagne et se passionne très vite pour la photographie et suit les cours du Bauhaus à Weimar et à Dessau-Roßlau. En 1936 il devient architecte et émigre en Suède et se consacre véritablement à la photographie. En 1939 avant le début de la Seconde Guerre mondiale il émigre à New York où il s’établit en tant que photographe freelance. En 1943 il rejoint le magazine Life auquel il participera jusqu’en 1962.

Feininger sera connu pour ses photographies de New York. Il a également participé à la rédaction de livres de vulgarisation sur la photographie.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

- Andreas Feininger – Partie 1.

- Andreas Feininger – Partie 2.

- Andreas Feininger – Partie 3.

- Andreas Feininger – Partie 4.

- Andreas Feininger – Partie 5.

 

A regarder aussi:

 

Image de prévisualisation YouTube

 

Image de prévisualisation YouTube

 

Image de prévisualisation YouTube

 

Image de prévisualisation YouTube

 

A lire aussi:

 

51P796RQP1L._SL160_

 

Ce livre est une succession de superbes photographies des Etats-Unis prises par Andreas Feininger entre les années 1940 et 1960. Chaque image est un hommage à la qualité esthétique inimitable qui est devenue la signature de son travail. Plusieurs illustrent sa recherche incessante pour réduire au minimum la différence entre l’idée et la réalité, son désir de permettre aux sujets banals de glisser dans l’Utopie. L’Amérique de Feininger est une épopée photographique, traversant Chicago jusqu’à la Nouvelle Orléans, Hollywood jusqu’aux Pignons de Corail… 

- America par Andreas Feininger aux éditions Gingko Press – 96 pages – 15€

51X547W15NL._SL500_AA240_

 

L’ancien photographe de Life photographie la tempête de neige de 1947, le combat de Louis-Walcott au Madison Square Garden, l’épave du Normandie, etc… 162 photographies de légende!

- New York in the Forties par Andreas Feininger aux éditions Dover Publications Inc – 181 pages – 11€



Marie ne peut plus fleurir les tombes du cimetière de Montmartre!

Marie ne peut plus fleurir les tombes du cimetière de Montmartre! _Mont6

 

Elle se nomme Marie et depuis 1981, chaque jour, elle vient fleurir les tombes du cimetière de Montmartre. Tout le monde la connaît dans le quartier. Personne n’y trouve à redire. Grâce à elle le cimetière à des allures de jardin d’Eden. Munie de son arrosoir et de son sécateur, Marie plante, arrose et entretien toute cette flore avec amour et tendresse pour le plus grand plaisir des tous, enfin presque.

Marie dérange! Vers la mi-juin, la Mairie de Paris envoie une lettre recommandée à la vieille dame exigeant qu’elle cesse ses activités et ce dans les plus brefs délais car le règlement des cimetières parisiens interdit de fleurir les allées et les rebords des tombes! Sidérant!

Fin Juin après la parution d’un article relatant l’affaire dans le Parisien, une médiation entre la Ville, la direction des espaces verts et la septuagénaire à lieu mais ne débouche sur aucun accord. Entre-temps les riverains Montmartrois et autres défenseurs de Marie se mobilisent et lancent une pétition.

Il y a quelques jours, la ville a procédé à l’arrachement et l’enlèvement de la majorité des fleurs et plantes apportées par cette vieille dame arguant que celles-ci pouvaient être dangereuses pour le commun des mortels et provoquer des chutes ou des accidents. On lui reproche aussi d’entraver les allées avec de vieux pots ou autres artifices. Elle a pourtant promis que désormais elle ferait attention à bien ranger ses ustensiles.

Ce ne sont pas seulement des plantes qui s’en vont, c’est surtout la raison de vivre de Marie qui n’est plus et cela est grave. C’est pourquoi je me rallie à cette cause qui ne peut vous laisser insensible.

Voici ci-dessous le lien pour signer la pétition permettant à cette personne âgée de pouvoir reprendre sa « coupable » activité:

- La pétition pour Marie. 

Vous pouvez aussi vous rendre à la boutique Anis, 19, Rue Houdon – 75018 Paris.

Bien à vous,

Saint-Sulpice



123456...10

Photos Passion |
stella-x-hudgens |
laeticia972et77 |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Captures d'écrans de la gui...
| harleyquinn
| Snow et rando en montagne