Elyce Abrams

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Crédit Peinture: © Elyce Abrams

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Crédit Peinture: © Elyce Abrams

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Crédit Peinture: © Elyce Abrams

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Crédit Peinture: © Elyce Abrams 

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..Biographie d’Elyce Abrams

Abrams

Elyce Abrams est née à Johannesburg, Afrique du Sud, et vit actuellement à Philadelphie. Elle a reçu son MFA de l’Université des Arts de Philadelphie, et un BA de l’Université Tufts à Medford, MA, et d’un baccalauréat avec une spécialisation en peinture de l’école du Musée des Beaux-Arts, Boston, MA. Elle a eu deux expositions en solo à la Bridgette Mayer Gallery à Philadelphie, et a participé à des expositions de groupe à la ligne principale de Art Center, Abington Art Center, le Musée d’Etat de Pennsylvanie, Minima Gallery, Painted Bride Art Center et le Delaware Center for Contemporary Arts.
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Pour en savoir plus sur cette talentueuse Artiste peintre: Elyce Abrams.

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Bien à vous,

Saint-Sulpice

 



Walker Evans – Partie 4

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Crédit photo: © Walker Evans

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Crédit photo: © Walker Evans

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Crédit photo: © Walker Evans

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Crédit photo: © Walker Evans

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Crédit photo: © Walker Evans

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Crédit photo: © Walker Evans

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Crédit photo: © Walker Evans

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Crédit photo: © Walker Evans

Biographie de Walker Evans

 

Il est né le 3 novembre 1903, à Saint-Louis, Missouri. Il étudie au Williams College en 1922-1923 et à la Sorbonne en 1926. Evans débute la photographie en 1930. Il obtient une bourse de la Fondation John-Simon-Guggenheim en 1940, 1941 et 1959. Il entre au magazine Time en 1945 et à Fortune en 1965. Cette même année, il devient professeur de photographie à l’école d’art de l’université de Yale. Il est décédé le 10 avril 1975, à New Haven, Connecticut.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

- Walker Evans – Partie 1.

- Walker Evans – Partie 2.

- Walker Evans – Partie 3.

 

A regarder aussi:

 

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A lire aussi:

 

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« Ce dont je ne cesse de parler dégage une pureté, une rigueur, une immédiateté qui s’obtiennent par absence de prétention à l’art, dans une conscience aiguë du monde ». La définition est parfaite. Il est vrai que Walker Evans a photographié l’Amérique de la dépression avec un constant souci d’objectivité, dans une sorte de neutralité documentaire. Mais la subtile plasticité de ses images, l’extrême attention qu’il porte aux êtres et aux choses ont marqué toute une génération d’artistes.

- Walker Evans aux éditions Fernand Nathan – 75 pages – 13€



Max Ernst

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Crédit Peinture: © Max Ernst

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Crédit Peinture: © Max Ernst

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Crédit Peinture: © Max Ernst

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Crédit Peinture: © Max Ernst

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Crédit Peinture: © Max Ernst

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Crédit Peinture: © Max Ernst

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Crédit Peinture: © Max Ernst

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Crédit Peinture: © Max Ernst

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Crédit Peinture: © Max Ernst

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Crédit Peinture: © Max Ernst

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Crédit Peinture: © Max Ernst

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Crédit Peinture: © Max Ernst

 

 

Biographie de Max Ernst

 

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Max Ernst, né le 2 avril 1891 à Brühl et mort le 1er avril 1976 à Paris, était un peintre et sculpteur allemand, artiste majeur des mouvements Dada et surréaliste. Il est le fils du peintre Philipp Ernst et de Luise Kop.

En 1909, il commence à étudier la philosophie à l’université de Bonn mais il abandonne rapidement les cours pour se consacrer à l’art. En 1913, il rencontre Guillaume Apollinaire et Robert Delaunay, part pour Paris et s’installe dans le quartier Montparnasse. En 1918, il épouse Luise Straus, historienne d’art. Leur relation tumultueuse ne tiendra pas. L’année suivante, il rend visite à Paul Klee et crée ses premières peintures, impressions à la main et collages ; il expérimente différents supports et matériaux.

Durant la Première Guerre mondiale, il sert dans l’armée allemande. Après celle-ci, rempli de nouvelles idées, il fonde avec Jean Arp et l’activiste social Johannes Theodor Baargeld le groupe dada de Cologne mais deux ans plus tard, en 1922, il retourne à la communauté d’artistes de Montparnasse à Paris. En 1925, Max Ernst invente le frottage : il laisse courir une mine de crayon à papier sur une feuille posée sur une surface quelconque (parquet ou autre texture). Cette technique fait apparaître des figures plus ou moins imaginaires. Elle s’apparente à l’écriture automatique des écrivains surréalistes qu’il côtoyait comme Paul Éluard et André Breton. L’année suivante, il collabore avec le peintre Joan Miró pour la création de décors pour les spectacles chorégraphiques de Sergei Diaghilev. Avec l’aide de Miró, Max Ernst se lance dans l’élaboration d’une nouvelle technique, le grattage du pigment directement sur la toile. En 1933, Max Ernst part en Italie. Là, il compose en trois semaines 182 collages à partir d’ouvrages français illustrés en noir et blanc de la fin du XIXe siècle. De retour à Paris, il les publie dans un ouvrage en cinq volumes appelé Une semaine de bonté ou les sept éléments capitaux, chacun de couleur différente d’avril à septembre 1934 aux éditions de la galerie Jeanne Bucher. En 1934, fréquentant Alberto Giacometti, il commence à sculpter. En 1937, il rencontre Leonora Carrington avec qui il part vivre à Saint-Martin-d’Ardèche. En 1938, l’héritière américaine Peggy Guggenheim achète un bon nombre d’œuvres de Max Ernst qu’elle expose dans son nouveau musée à Londres.

Dès le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, en septembre 1939, Max Ernst est arrêté comme « étranger ennemi » et interné dans le camp des Milles près d’Aix-en-Provence. Avec l’aide du journaliste américain Varian Fry, fondateur du Comité américain de secours à Marseille en août 1940, il réussit à quitter le pays en compagnie de Peggy Guggenheim. Ils arrivent aux États-Unis en 1941 et se marient l’année suivante. Max Ernst vit à New York où, à côté des peintres Marcel Duchamp et Marc Chagall, il aide au développement de l’expressionnisme abstrait parmi les peintres américains comme Jackson Pollock. Son mariage avec Peggy Guggenheim est un échec. En octobre 1946, il épouse Dorothea Tanning à Beverly Hill (Californie). Max Ernst s’installe à Sedona, (Arizona). En 1948, il écrit le traité « Beyond Painting » puis part voyager en Europe en 1950. En 1952, il devient Satrape du Collège de ’Pataphysique.

À partir de 1953, il s’installe définitivement à Paris et l’année suivante reçoit le Grand prix de la biennale de Venise, ce qui lui vaut l’exclusion du mouvement surréaliste. En 1963, il déménage avec sa femme dans une petite ville du sud de la France, Seillans (Var, où il continue à travailler. Il crée les décors d’un théâtre et une fontaine dans la ville d’Amboise (Indre-et-Loire). En 1966, il réalise un jeu d’échec en verre sur un échiquier géant de cinq mètres de coté, qu’il baptise Immortel. En 1975, une rétrospective a lieu au Musée Solomon R. Guggenheim à New York et les Galeries Nationales du Grand Palais de Paris publient un catalogue complet de ses œuvres. Max Ernst est enterré à Paris au cimetière du Père-Lachaise.

Bien à vous,

Saint-Sulpice



Le Quatorzième arrondissement de Paris d’autrefois

 Le Quatorzième arrondissement de Paris d'autrefois dans Photographies du Paris d'hier et d'aujourd'hui 38-13

Paris (XIVème arr.). Le Dôme et le boulevard du Montparnasse, vers 1920.

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Paris, XIVème arrondissement. L’avenue du Maine.

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Paris (XIVème arr.). La rue de l’Ouest, vers 1910.

613-1

L’école d’architecture, boulevard Raspail. Paris (XIVème arrondissement).

680-4

Paris (XIVème arr.). Rue Perceval, dans l’ancien quartier Montmartre, vers 1944-1945.

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Paris (XIVème arr.). La gare Montparnasse.

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Paris (XIVème arr.). La gare Montparnasse, place de Rennes, vers 1905-1910.

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Paris (XIVème arr.). L’ancienne gare Montparnasse.

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Paris XIVème arr., le boulevard Edgar-Quinet avec la sortie du Métro.

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Paris. Cité d’artistes à Montparnasse (XIVème arr.).

 

Histoire du Quatorzième arrondissement de Paris 

 

Le « Quatorzième » s’étend sur 562.1 hectares (9ème arrondissement de la capitale par sa superficie).

C’est un arrondissement modérément peuplé avec 132 822 habitants. Découle de ces données une densité brute moyenne de 23 554 habitants au km (l1ème densité de la capitale) située légèrement en dessous de la moyenne parisienne (24 430 habitants au km hors bois de Boulogne et de Vincennes).

Le relief est peu marqué et n’influe pas sur la physionomie de l’arrondissement. Il est constitué par un plateau qui descend progressivement vers la Seine tandis que la Vallée de la Bièvre et les coteaux de Vaugirard le limitent à l’Est et à l’Ouest.

Longtemps, le territoire de l’actuel 14ème arrondissement est resté peu urbanisé. C’était un lieu de transit, surtout emprunté par des hommes et des biens suivant le passage de l’axe historique Nord-Sud. Celui-ci épouse la voie romaine qui poursuivait le cardo maximus de la Lutèce romaine et reliait Paris à Orléans (actuelle rue du Faubourg Saint-Jacques prolongée par la rue de la Tombe-Issoire). La voie était également sillonnée par de nombreux fidèles partant en pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle, ce qui explique l’implantation de plusieurs congrégations religieuses (Capucins, Bénédictins, Frères de la Charité) sur de vastes emprises.

Au XVIIIème siècle, le noyau urbain du Petit-Montrouge se forme autour de l’église Saint-Pierre de Montrouge située au croisement de la route d’Orléans (qui deviendra l’actuelle avenue du Général Leclerc) et de la chaussée du Maine. A la fin du siècle, la Place Denfert-Rochereau est recomposée et monumentalisée.
Jusqu’à la Révolution, le territoire est encore peu urbanisé malgré le lotissement des abords de la route d’Orléans. Au début du XIXème siècle,

les emprises occupées par les ordres religieux mutent en établissements hospitaliers (Cochin et Port-Royal sur les terrains des Capucins et des Bénédictins) ou en cimetière (Montparnasse en lieu et place des Frères de la Charité). Par la suite, le Sud de l’arrondissement se lotit autour du Nouveau Village d’Orléans, du lotissement de Plaisance, du Village des Thermopyles et du Nouveau Village de la Chaussée du Maine.
 

L’actuel l4ème arrondissement naît en 1860 de l’annexion par la commune de territoires des communes comprises entre l’enceinte des Fermiers Généraux et les fortifications de Thiers (que longent les boulevards des Maréchaux et le Périphérique). Les Grands Travaux du Second Empire vont entraîner le. prolongement du boulevard de Montparnasse par celui de Port-Royal jusqu’aux Gobelins, ainsi que l’éclatement de la Place Denfert-Rochereau en boulevard Arago et en avenue du Parc Montsouris (actuelle avenue René Coty). Dans le même temps est livré le Parc Montsouris. l’Ouest.

La fin du XIXème siècle et la première moitié du XXème siècle seront une période de lente urbanisation s’appuyant sur le réseau viaire constitué. Le Sud connaît les plus importantes mutations avec la construction des hôpitaux Saint-Joseph, Broussais et Notre-Dame de Bon-Secours, tandis que la destruction de l’enceinte de Thiers permet de libérer des emprises vierges utilisées pour bâtir la ceinture d’immeubles HBM et la Cité Universitaire. La seconde moitié du XXème siècle voit s’implanter le boulevard périphérique, infrastructure routière qui établit une césure profonde et toujours vivace entre le l4ème et ses communes périphériques.

A cette époque se développent des barres HLM le long des voies SNCF du réseau Montparnasse (secteur Porte de Vanves et Raymond Losserand). Les années 1970 sont marquées par la percée du secteur Maine-Montparnasse (Gare, tour de bureaux et centre commercial). La décennie suivante voit débuter les travaux de rénovation du quartier Plaisance avec la création de la Zone d’Aménagement Concerté (ZAC) Guilleminot-Vercingérorix. Aujourd’hui, le l4ème apparaît densément urbanisé et les emprises exploitables pour des opérations de construction sont désormais peu nombreuses. On citera les perspectives que peut offrir le site de l’hôpital Broussais, ainsi que les ZAC (Zones d’Aménagement concerté) Didot et Alésia-Montsouris.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice



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