Salon Emmaüs – Dimanche 14 Juin 2009 – Parc des Expositions – Porte de Versailles – Paris

Salon Emmaüs - Dimanche 14 Juin 2009 - Parc des Expositions - Porte de Versailles - Paris dans Evenementiel logo-emmaus

 

 

Sur 27 000 mètres carrés, vous pourrez  chiner vêtements, CD, livres, meubles, électroménager, et autres objets à des prix très intéressants. Les bénéfices de ces ventes iront à des actions menées par Emmaüs International pour le logement, l’éducation et la santé.

 

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Bon salon,

Saint-Sulpice

 

Salon Emmaüs -  Dimanche 14 juin 2009 - Parc des expositions de Paris – Porte de Versailles (Hall 2.1 – 2.2 – 2.3) – de 9h30 à 19h00 – Entrée : 3 euros – Entrée gratuite pour les moins de 15 ans et pour les chômeurs.



Annie Leibovitz – Partie 7

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Crédit Photo: © Annie Leibovitz

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Crédit Photo: © Annie Leibovitz

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Crédit Photo: © Annie Leibovitz

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Crédit Photo: © Annie Leibovitz

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Crédit Photo: © Annie Leibovitz

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Crédit Photo: © Annie Leibovitz

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Crédit Photo: © Annie Leibovitz

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Crédit Photo: © Annie Leibovitz

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Crédit Photo: © Annie Leibovitz

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Crédit Photo: © Annie Leibovitz

 

Biographie d’Annie Leibovitz

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Anna-Lou (Annie) Leibovitz (née le 2 octobre 1949 à Westport, Connecticut, États-Unis) est une photographe américaine.

Elle est spécialisée dans les portraits de célébrités. Son style est caractérisé par une collaboration étroite entre le sujet et le photographe. Annie Leibovitz est devenue célèbre alors qu’elle travaillait pour le magazine Rolling Stone de 1970 à 1983. En 1975, elle suit la tournée des Rolling Stones. Depuis 1983, elle est photographe au magazine Vanity Fair. En 1991, elle expose à la National Portrait Gallery de Washington. Elle a partagé la vie de Susan Sontag de la fin des années 1980 jusqu’au décès de cette dernière en 2004.

 Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

- Annie Leibovitz – Partie 1.

- Annie Leibovitz – Partie 2.

- Annie Leibovitz – Partie 3.

- Annie Leibovitz – Partie 4.

- Annie Leibovitz – Partie 5.

- Annie Leibovitz – Partie 6.

 

A regarder aussi:

 

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A lire aussi:

 

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Annie Leibovitz décrit la façon dont ses photos ont été faites, à commencer par la photo de Richard Nixon, une histoire pour la couverte de Hunter S. Thompson, et puis les photos et les histoires avec la campagne de Barack Obama.

Au milieu il ya une tournée des Rolling Stones, John Lennon et Yoko Ono, Demi Moore, Whoopi Goldberg, The Blues Brothers, Arnold Schwarzenegger, Keith Haring, Mikhail Baryshnikov, Patti Smith, George W. Bush, William S. Burroughs, Kate Moss et la Reine Elizabeth.

Une des plus célèbre photographe de notre temps, discute de portrait, reportage, photographie de mode, l’éclairage et les appareils photo numériques.

 

- Annie Leibovitz at Work aux éditions Random House – 240 pages - 38€

 

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 » Je n’ai pas deux vies distinctes. J’ai une vie, et les photos personnelles en font partie au même titre que les œuvres de commande « , écrit Annie Leibovitz dans l’introduction de sa nouvelle monographie La Vie d’une photographe, 1990-2005. Cet ouvrage rassemble les quinze dernières années de son travail et forme un incroyable journal où se mêlent les portraits de célébrités – Johnny Cash, Demi Moore, George W. Bush… -, sa vie privée, la naissance de ses trois filles, le mort de son père et, comme fil rouge qui tisse la trame de ce livre, sa relation avec sa compagne, Susan Sontag, décédée en 2004. Un livre fort en émotion où le bonheur du quotidien se heurte à la brutalité de la mort, et aux rencontres d’une photographe dont l’œuvre est le reflet de sa vie.

- La vie d’une photographe 1990-2005 aux éditions de la Martinière – 500 pages - 105€



Diane Arbus – Partie 2

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Crédit photo: © Diane Arbus

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Crédit photo: © Diane Arbus

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Crédit photo: © Diane Arbus

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Crédit photo: © Diane Arbus

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Crédit photo: © Diane Arbus

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Biographie de Diane Arbus

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Diane Arbus, de son vrai nom Diane Nemerov (14 mars 1923, New York – 26 juillet 1971, New York) est une photographe américaine.

Née le 14 mars 1923 à New York, Diane Nemerov rencontre son futur mari, Allan Arbus, à l’âge de 14 ans. Celui-ci apprend la photographie lors de son service militaire et ils ouvrent ensemble un magasin de photo de mode après la Seconde Guerre mondiale. En réalité, c’est Allan qui prend les photos, Diane tient le rôle de styliste et démarche auprès des agences. Ses premières photos personnelles ne datent que de 1957 environ. Elle s’extrait peu à peu du duo qu’elle formait avec son mari au profit de son inspiration. Le couple se sépare en 1960. Elle étudie alors la photographie à la New School de New York avec Marvin Israel et Richard Avedon et rencontre par la suite Lisette Model.

Diane Arbus s’inscrit dans un courant photographique qu’avait inauguré un autre grand photographe américain, Walker Evans, qui avait imposé un style documentaire et urbain dans les années 1930. Mais c’est après 1962, quand elle abandonne le format rectangulaire du 24×36 pour le format carré du 6×6 qu’elle impose son style propre. En 1963, elle obtient une bourse de la fondation Solomon R. Guggenheim qui lui permet de réaliser un travail remarquable intitulé « American Rites, Manners and Customs » (les rites de la société américaine), vaste galerie de portraits d’Américains, pour la plupart inconnus, qui met en exergue les rites sociaux de cette société.

Diane Arbus concentre son activité à New York et ses alentours, photographiant des inconnus dans la rue. Fascinée par les personnages hors-normes, elle photographie également des travestis, des handicapés mentaux, des jumeaux, des personnes de petite taille, etc. En mélangeant le familier avec le bizarre, Diane Arbus dresse un portrait troublant de l’Amérique des années soixante. En 1967, elle participe à l’exposition « New Documents » qui se tient au Musée d’art moderne de New York avec des portraits qui côtoient les vues urbaines de Lee Friedlander et Garry Winogrand. Là encore, son travail apparaît comme un événement qui contribue à imposer la photographie documentaire comme un genre artistique propre, se distinguant du reportage. Dépressive, elle se donne la mort le 26 juillet 1971 à Greenwich Village en avalant une quantité importante de barbituriques puis en s’ouvrant les veines. Son influence sur la photographie américaine est considérable. Elle a contribué à imposer l’idée que la photographie est un art à part entière. Elle travaillait en noir et blanc et développait elle-même ses travaux afin de maîtriser complètement le résultat de ses œuvres. Diane Arbus est la mère de Doon Arbus.

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

- Diane Arbus – Partie 1.

- Diane Arbus – Partie 2.

- Diane Arbus – Partie 3.

 

A regarder aussi:

 

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A lire aussi:

 

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Diane Arbus Revelations a l’intérêt de montrer, pour la première fois, plus de deux cents photographies, mêlant les plus célèbres à d’autres, moins connues, voire jamais exposées auparavant. Cette quasi exhaustivité permet au visiteur de se plonger dans l’univers de l’artiste — univers de monstres (nains, travestis, géants…), de gens vivant en marge de la société, comme de gens « ordinaires » — , de rencontrer de salle en salle des visages devenus familiers aux côtés d’images inédites.

- Diane Arbus Revelations par Doon Arbus aux éditions Random House – 352 pages – 85€



Helen Levitt – Partie 4

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Crédit photo: © Helen Levitt

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Crédit photo: © Helen Levitt

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Crédit photo: © Helen Levitt

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Crédit photo: © Helen Levitt

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Crédit photo: © Helen Levitt

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Crédit photo: © Helen Levitt

 

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Crédit photo: © Helen Levitt

 

 

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Biographie d’Helen Levitt

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Helen Levitt (née le 31 août 1913 et morte le 29 mars 2009) est une photographe (documentaire, portraits) américaine.

Levitt a grandi à Brooklyn, dans l’état de New York. Abandonnant l’école, elle apprend par elle-même la photographie en travaillant avec un photographe commercial. Alors qu’elle enseigne les arts à des enfants en 1937, elle est intriguée par le caractère éphémère des dessins à la craie qui sont, à cette époque, partie intégrante de la culture des gamins des rues de New York. Elle achète un Leica et commence à photographier les dessins dans les rues et les enfants qui les font. Ses photographies rencontrent le succès lorsqu’elles sont publiées en 1987 dans In The Street: chalk drawings and messages, New York City 1938–1948. Cet ouvrage fut désigné comme l’un des 100 meilleurs livres de photos et sa première édition est aujourd’hui recherchée par les collectionneurs.

Elle étudia avec Walker Evans en 1938 et 1939. En 1943, Edward Steichen, au Museum of Modern Art fut commissaire de sa première exposition individuelle, après quoi elle trouva un emploi de photographe documentaire pour la presse. À la fin des années 1940, elle fut brièvement réalisatrice d’un court-métrage en travaillant avec James Agee avec laquelle elle tourna un court-métrage artistique, In the Street. En 1959 et1960, elle reçoit deux bourses de la fondation Guggenheim pour prendre des clichés en couleur des rues de New York mais une bonne part de son travail a été volé dans un cambriolage. Les photos restantes, et d’autres prises dans les années suivantes, ont été publiées dans Slide Show: The Color Photographs of Helen Levitt (mai 2005). Son premier ouvrage important est A Way of Seeing (1965). En 1976, elle devient « Photography Fellow » du National Endowment for the Arts.

Elle est restée une photographe active pendant près de 70 ans et vivait toujours près de New York où elle menait une vie discrète.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

-  Helen Levitt – Hommage.

ainsi que:

- Helen Levitt – Partie 1.

- Helen Levitt – Partie 2.

- Helen Levitt – Partie 3.



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