Annie Leibovitz – Partie 6 8 juin
Crédit Photo: © Annie Leibovitz
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Biographie d’Annie Leibovitz
Anna-Lou (Annie) Leibovitz (née le 2 octobre 1949 à Westport, Connecticut, États-Unis) est une photographe américaine.
Elle est spécialisée dans les portraits de célébrités. Son style est caractérisé par une collaboration étroite entre le sujet et le photographe. Annie Leibovitz est devenue célèbre alors qu’elle travaillait pour le magazine Rolling Stone de 1970 à 1983. En 1975, elle suit la tournée des Rolling Stones. Depuis 1983, elle est photographe au magazine Vanity Fair. En 1991, elle expose à la National Portrait Gallery de Washington. Elle a partagé la vie de Susan Sontag de la fin des années 1980 jusqu’au décès de cette dernière en 2004.
Bien à vous,
Saint-Sulpice
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Annie Leibovitz décrit la façon dont ses photos ont été faites, à commencer par la photo de Richard Nixon, une histoire pour la couverte de Hunter S. Thompson, et puis les photos et les histoires avec la campagne de Barack Obama.
Au milieu il ya une tournée des Rolling Stones, John Lennon et Yoko Ono, Demi Moore, Whoopi Goldberg, The Blues Brothers, Arnold Schwarzenegger, Keith Haring, Mikhail Baryshnikov, Patti Smith, George W. Bush, William S. Burroughs, Kate Moss et la Reine Elizabeth.
Une des plus célèbre photographe de notre temps, discute de portrait, reportage, photographie de mode, l’éclairage et les appareils photo numériques.
- Annie Leibovitz at Work aux éditions Random House – 240 pages - 38€
» Je n’ai pas deux vies distinctes. J’ai une vie, et les photos personnelles en font partie au même titre que les œuvres de commande « , écrit Annie Leibovitz dans l’introduction de sa nouvelle monographie La Vie d’une photographe, 1990-2005. Cet ouvrage rassemble les quinze dernières années de son travail et forme un incroyable journal où se mêlent les portraits de célébrités – Johnny Cash, Demi Moore, George W. Bush… -, sa vie privée, la naissance de ses trois filles, le mort de son père et, comme fil rouge qui tisse la trame de ce livre, sa relation avec sa compagne, Susan Sontag, décédée en 2004. Un livre fort en émotion où le bonheur du quotidien se heurte à la brutalité de la mort, et aux rencontres d’une photographe dont l’œuvre est le reflet de sa vie.
- La vie d’une photographe 1990-2005 aux éditions de la Martinière – 500 pages - 105€
lucaerne 8 juin
La première me plait beaucoup. Celles avec les cheval et le lion aussi. Du végétal, de l’animal, ça me parle plus que ses « reconstitution » un peu trop froide à mon goût.
saintsulpice 9 juin
reconstitution (s)
froide (s)
bref le pluriel
Signé » SOS PLURIEL » hum
lucaerne 9 juin
Pfff… tu serais sympa, t’aurais corrigé sans rien dire…
saintsulpice 9 juin
Tu aurais et non pas t’aurais!!!! Merci de réviser sérieusement avant ton brevet des collèges ton orthographe de plus en plus défaillante. Ne te relâche pas sous peine de redoublement qui dans ton cas perdure depuis plus de huit ans!!!!
lucaerne 9 juin
Et « tu me fais chier », ça c’est français, orthographe et grammaire parfaites ! C’est beau !!!
saintsulpice 9 juin
Je te suggère d’aller racheter du papier toilette triple épaisseur pour torcher ton honorable postérieur autrement qu’avec tes mains crottées chère Lucaerne. En effet un minimum de propreté et d’hygiène me semble nécéssaire désormais.
Saint-Monsieur propre
lucaerne 10 juin
Pardonnez-moi, mon cher Saint-Sulpice, il n’est pas dans mes habitudes de me laisser aller à de telles vulgarités.
Mais justement, c’est en constatant que cela devenait très « de bon ton » dans la « bonne société » que j’ai décidé de prendre des cours. En effet, cette fameuse vulgarité est en train de devenir la référence dans notre paysage culturel… euh… non… politique (et encore, je ne vous ai pas assommé du célèbre « Casse-toi pôv’ con » de votre bien-aimé nabot). J’ai donc eu l’idée d’embaucher un coach en vulgarité afin de rester quelque peu moderne, ayant des enfants à qui je me dois d’enseigner un minimum de savoir-vivre. Coach qui, soit dit en pensant, se fait payer la peau du c… oups… j’ai failli… mais fallait-il ? oui, peut-être… Voyez, il reste encore fort à faire pour que cela me devienne spontané. Mais je garde espoir… Avec votre aide bienveillante, si vous le voulez bien, j’y arriverai !