François Kollar

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Crédit Photo: © François Kollar

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Crédit Photo: © François Kollar

 

Biographie de François Kollar

François Kollar est un jeune photographe, presque inconnu lorsque les éditions Horizons de France lui confient la commande de photographier les Français au travail dans toute leur diversité géographique, professionnelle et culturelle.
Né en Slovaquie en 1904, François Kollar quitte en 1924 la Hongrie pour la France. Il travaille aux usines Renault avant de trouver, en 1927, un emploi dans un studio de reproduction d’œuvres d’art. Il opère ensuite au studio photographique de la prestigieuse imprimerie Draeger, puis dans le studio industriel Chevojon. En 1930, il s’installe à son compte. Il publie quelques photographies dans la presse (Vu, Schweizer Spiegel) et se consacre à la publicité.
En 1931, François Kollar signe un contrat qui le lie pour plusieurs années aux éditions Horizons de France. Il effectue des reportages sur la mine, la sidérurgie, l’automobile, l’aviation, la pêche, les ports et les phares, la batellerie, le rail, l’électricité, le bâtiment, le verre, la céramique, la mode, la filature, la presse, la biologie, la vigne, la forêt, les fleurs, les marchés. Pour réaliser ses reportages, François Kollar visite plus de quarante départements français. De ses reportages, La France travaille présentera 1 358 photographies sur les 2 769 remises à l’éditeur.
En 1932, le ministre des Beaux-Arts inaugure l’exposition des premières photographies de La France travaille à la galerie d’Art contemporain, boulevard Raspail.
De 1934 à 1939, François Kollar collabore à de nombreuses revues illustrées et participe à plusieurs expositions collectives. Il travaille pour la mode et la publicité. Durant la seconde guerre mondiale, il interrompt ses activités de photographe et ouvre un magasin d’électricité à Poitiers. En 1945, de retour à Paris, il s’installe dans un nouveau studio et participe à plusieurs expositions (Paris, Bratislava, New York). Il meurt à Créteil en 1979.

Bien à vous,

Saint-Sulpice


 



Willy Kessels

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Crédit Photo: © Willy Kessels

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Crédit Photo: © Willy Kessels

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Crédit Photo: © Willy Kessels

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Crédit Photo: © Willy Kessels

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Crédit Photo: © Willy Kessels

 

 

Biographie de Willy Kessels

Willy Kessels (1889-1974) est un photographe belge. Après des études d’architecte, Willy Kessels se tourna vers la photographie en 1930. Il prit des vues de villes (Anvers, Bruxelles), mais c’est surtout en tant que photographe documentaire social qu’il est connu. Il accompagna notamment Henri Storck et Joris Ivens sur le tournage de leur film Misère au Borinage. Kessels fut sensible aux idées du nazisme et on lui reprocha après la guerre sa collaboration avec l’occupant.

Bien  à vous,

Saint-Sulpice

 



La Nuit des Musées – Samedi 16 Mai 2009 de 18h à Minuit – Paris

 Pour l’édition 2010 merci de suivre ce lien: La Nuit des Musées 2010.

La Nuit des Musées - Samedi 16 Mai 2009 de 18h à Minuit - Paris dans Evenementiel

 

Avec cette nouvelle édition de la Nuit des Musées le 16 mai 2009, les musées de la Ville de Paris confortent le succès de cet évènement auprès du public depuis sa création en mai 2005. Une formule simple conjuguant gratuité, découvertes et magie de la nuit.

* Horaires variables selon les musées participant : Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris – Maison de Balzac – Musée Bourdelle – Musée Carnavalet, histoire de Paris – Musée Cernuschi, musée des Arts de l’Asie de la Ville de Paris – Musée Cognacq-Jay, musée du XVIIIème siècle de la Ville de Paris – Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris – Musée de la Vie Romantique – Musée Zadkine.

 

 

Au programme cette année: créations éphémères, animations insolites et convivialité qui permettront aux visiteurs nocturnes de découvrir autrement les collections et les expositions temporaires des Musées de la Ville de Paris.

 

Dix des quatorze musées de la Ville rivalisent d’imagination pour offrir aux visiteurs un parcours inédit et ludique.

Il y en aura pour tous les goûts : 

Les férus de musique pourront par exemple arpenter le parcours musical animé par le Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris au Musée d’Art Moderne ou encore écouter de la musique traditionnelle vietnamienne autour de l’exposition « Six siècles de peintures chinoises » au Musée Cernuschi.

Les amateurs de lecture se rendront soit au Musée Balzac où ils pourront écouter une performance d’acteurs interprétant les lettres d’amour écrites par Honoré de Balzac, soit au Musée Cognacq-Jay pour y entendre des contes libertins accompagnés d’intermèdes musicaux autour de l’amour au XVIIIème siècle (public adulte). Un détour par la maison de Victor Hugo pour y entendre une interprétation des poèmes de l’écrivain.

Les plasticiens jetteront quant à eux leur dévolu sur le Musée Zadkine pour une mise en lumière particulière des sculptures d’Ossip Zadkine, sur le Musée Bourdelle pour les performances autour de l’exposition « Ange Leccia et les artistes du Pavillon » ou encore sur l’atelier « Toucher du Bois » animé par l’école Boulle et ouvert aux malvoyants qui pourront exceptionnellement toucher certains meubles des collections à Cognacq-Jay.

 Les aventuriers prendront leur passeport à l’accueil du Petit Palais pour un tour d’Europe en 7 escales ponctuées d’animations.

Enfin, des visites conférences, des concerts et de la danse seront présentés dans le jardin du Musée Carnavalet. 

A ne pas manquer encore, au Musée de la Vie Romantique, Marc Riboud, le célèbre photographe français, sera exceptionnellement présent à l’occasion de son 86e anniversaire et de la rétrospective inédite « Marc Riboud. L’instinct de l’instant ».

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

la Nuit des Musées – le 16 mai 2009 -  Horaires variables selon les musées participant : Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris – Maison de Balzac – Musée Bourdelle – Musée Carnavalet, histoire de Paris – Musée Cernuschi, musée des Arts de l’Asie de la Ville de Paris – Musée Cognacq-Jay, musée du XVIIIème siècle de la Ville de Paris – Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris – Musée de la Vie Romantique – Musée Zadkine – Tarifs: Gratuité complète!



Arielle Dombasle – Glamour à Mort

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Sur la pochette de Glamour à mort ! , Arielle Dombasle apparaît vêtue d’une panoplie de Superwoman. «Les personnages de BD sont les saints modernes», affirme-t-elle. Sur ce nouvel album, confectionné avec Philippe Katerine et Gonzales, la chanteuse a a adopté une esthétique résultant d’un télescopage entre les XVIIe et XXIe siècles.

Si ce disque marque un tournant dans sa carrière, c’est qu’il est le premier sur lequel elle chante en français, après avoir interprété des reprises et des classiques.

«J’ai rencontré Philippe ­Katerine dans les loges du Zénith. Il m’a dit qu’il avait traversé sa timidité naturelle pour me proposer de m’écrire des chansons , explique­-t-elle. Ensuite, il est venu me voir au ­Crazy Horse avec les premières musiques, Monseigneur et Petit chaton, je crois. On a passé un an et demi à se voir régulièrement pour travailler, avec Gonzales aussi. Philippe m’a amené à dire des paroles assez provoc. C’est un homme plein de tact, d’un talent, d’une sensibilité très fine.»

 

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Sa grande force depuis le début de sa carrière est de n’être jamais restée cantonnée à un genre, franchissant les barrières qui séparent le cinéma de Rohmer des comédies populaires. «Je n’ai jamais fait partie d’une secte, ni voulu faire partie de la tribu intello, avoue-t-elle. Je suis passée de Robbe-Grillet à Miami Vice avec une liberté totale dans mes choix. C’est quelque chose qui est parfois déroutant pour les autres, mais, pour moi, c’est une mosaïque interne dans laquelle je me retrouve parfaitement.»

Son autre atout, qui résulte de cet éclectisme, est d’être appréciée par des gens de milieux très variés. «Je me suis rendue compte lors des concerts que j’ai un public très populaire. Ça me fait plaisir : je pense que l’amour et l’émotion passent par autre chose que l’analyse. Si je m’entends avec des gens très différents, c’est parce que j’ai été élevée à l’étranger dans une diversité qui m’a rendue adaptable à toutes sortes de situations.»

Elle est la seule à pouvoir ainsi passer sans crainte du ridicule d’un texte comme À la Néandertal à la tonalité mystique de Sor Juana. «Je travaillais depuis deux ans sur Sœur Juana Inés de la Cruz, figure mexicaine du XVIIe siècle. C’était une carmélite extraordinaire, qui s’est intéressée à la mathématique, à l’astronomie ou à la musique pour essayer de convertir les Indiens au catholicisme. Elle est morte parce qu’elle avait peut-être pris trop de libertés avec l’Église.»

 

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C’est lorsque Arielle Dombasle prend le plus de liberté avec l’image qu’elle projette, lorsqu’elle bouscule les clichés véhiculés par son personnage que le disque Glamour à mort ! est le plus réussi. Les textures électro tissées par Gonzales, collaborateur de Jane Birkin ou de Feist, font mouche sur les paroles souvent fantaisistes de Katerine, voire franchement audacieuses («Prenez-moi n’importe où à la Néandertal / Agrippez mes cheveux / Faites-moi l’amour»).

«On m’a réduite pendant des années à une espèce de poupée ­Barbie, ce n’est pas grave ; mais je suis peut-être moins simple que mon apparence le suggère», avoue-t-elle avec malice, même si elle explique avoir eu du mal à chanter le mot «putain» sur le disque.

«J’espère être à la hauteur de ce qu’attendent les gens qui m’aiment, avec cet album. J’ai été entourée de musiciens merveilleux, d’oreilles fines, on s’est beaucoup amusés.»

Bien à vous,

Saint-Sulpice

Glamour à mort ! (Columbia/Sony Music)



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