Icônes – Partie 1 14 avril
Dans ce type de Vierge les visages de la Mère et du Fils se rejoignent avec une douce expression d’intimité. Comme toutes les icônes de Marie, elle porte l’incription « Mère de Dieu » en grec. Sur son front et ses épaules, les trois étoiles brillantes sont l’expression du dogme qui dit qu’elle est vierge avant, pendant et après la naissance de son Fils. La tunique dorée de l’Enfant indique que tout est lumineux en lui. Il est, selon la définition du concile de Nicée : « Dieu né de Dieu, lumière née de la lumière, vrai Dieu né du vrai Dieu ».
Dans ce type de Vierge Hodiguitria « qui montre le chemin », la Mère montre de la main la seule voie à suivre : le Christ. Comme toutes les icônes de Marie, elle porte l’incription « Mère de Dieu » en grec. Sur son front et ses épaules, les trois étoiles brillantes sont l’expression du dogme qui dit qu’elle est vierge avant, pendant et après la naissance de son Fils. La tunique dorée de l’Enfant indique que tout est lumineux en lui. Il est, selon la définition du concile de Nicée : « Dieu né de Dieu, lumière née de la lumière, vrai Dieu né du vrai Dieu ».
Très vénérée en Russie, l’icône de la Mère de Dieu de Kazan nous présente une Vierge du type « Hodiguitria » (qui montre le Chemin) dont le Fils se tient debout dans une attitude frontale.
L’enfant Jésus, dans l’iconographie byzantine, n’est jamais représenté à la manière d’un poupon, car il est aussi le Verbe. Il est toujours revêtu du vêtement des adultes et seule sa taille réduite indique qu’il s’agit d’un enfant.
L’archange Michel dont le nom signifie « Qui est comme Dieu » est le chef des Milices Céleste.
Représenté terrassant le Dragon, il personnifie de façon saisissante le combat de l’homme contre ses passions.
Appelée « Acheiropoiète », c’est-à-dire: « non faite de main d’homme », cette icône, selon la tradition rapportée par Nicéphore Caliste, remonte à l’originale qui fut envoyée par le Christ Lui-même au roi Abgar V Oukhama, prince d’Osroeme, dont la capitale est Edesse. Le roi Abgar V étant lépreux, demanda à son archiviste Hannan de lui amener le Christ. Ce dernier ne pouvant se déplacer, Hannan essaya, mais en vain, de réaliser le portrait de Jésus. Alors le Christ Lui-même prit un linge et l’appliqua sur Son Visage. Sur le linge s’imprima alors le visage du Seigneur. On appelle ce linge Mandylion, c’est-à-dire « mouchoir ». A la vue de ce visage, le roi Abgar V guérit.
Archange Messager, saint Gabriel apparait à Anne et Joachim pour leur annoncer la naissance de la Mère de Dieu, à Elisabeth et Zacharie pour les prévenir de la venue de saint Jean Baptiste. Il nourrit de la manne céleste la Mère de Dieu pendant douze ans, dans le temple et est envoyé par Dieu auprès d’elle pour lui annoncer la naissance du Sauveur. Lors de la Résurrection, Gabriel descend des cieux, revêtu d’une robe blanche et rassure les femmes myrrophores en disant: « Ne craignez pas, Je sais que c’est Jésus, le Crucifié, que vous cherchez. Il n’est pas ici: Il est ressuscité comme Il l’avait dit. » (Matt. 28, 5).
Icône réalisée d’après les oeuvres de Théophane le Grec et d’Andrei Roublev.
L’Annonciation est l’Annonce faite par l’Archange Gabriel à la Vierge Marie du mystère qui va s’accomplir en Elle : le Verbe de Dieu, né du Père avant tous les siècles, le Vrai Dieu né du Vrai Dieu, va s’incarner en Elle sans intervention humaine.
L’icône présente l’Archange-Messager dans un mouvement descendant suggéré par la courbe que forme l’aile terminée par le bras. Il transmet son message céleste à la Mère de Dieu qui est dans une attitude d’humilité toute réceptive.
Et voilà que l’étoile qu’ils avaient vue à l’orient allait devant eux, jusqu’à ce que, venant au-dessus du lieu où était l’enfant, elle s’arrêta. A la vue de l’étoile, ils eurent une très grande joie. Ils entrèrent dans la maison, trouvèrent l’enfant avec Marie, sa mère, et, se prosternant, ils l’adorèrent; puis, ouvrant leurs trésors, ils lui offrirent des présents : de l’or, de l’encens et de la myrrhe. Et ayant été avertis en songe de ne point retourner vers Hérode, ils regagnèrent leur pays par un autre chemin.
Saint Mathieu, II, 9 – 12
Icône inspirée de la mosaïque de la Nativité de l’Eglise byzantine de la Martorana, Palerme, Italie
Bien à vous,
Saint-Sulpice
lucaerne 14 avril
Quand on regarde ces visages, on se dit que les cubistes ont fait une bien longue ellipse. Nécessaire : revenir aux sources pour créer du nouveau.
Mais dis-donc, nous ferais-tu quelques petites génuflexions pour expier tes péchés ???
saintsulpice 14 avril
Plusieurs alors seraient nécéssaires
lucaerne 15 avril
Hé ben au boulot !!!
saintsulpice 15 avril
Suis déjà fatigué