Roger Ballen

Roger Ballen dans Photographie: Grands Photographes 026

Crédit Photo: © Roger Ballen

042 dans Photographie: Grands Photographes

Crédit Photo: © Roger Ballen

025

Crédit Photo: © Roger Ballen

101

Crédit Photo: © Roger Ballen

106

Crédit Photo: © Roger Ballen

067

Crédit Photo: © Roger Ballen

063

Crédit Photo: © Roger Ballen

088

Crédit Photo: © Roger Ballen

081

Crédit Photo: © Roger Ballen

070

Crédit Photo: © Roger Ballen

055

Crédit Photo: © Roger Ballen

072

Crédit Photo: © Roger Ballen

045

Crédit Photo: © Roger Ballen

112

Crédit Photo: © Roger Ballen

095

Crédit Photo: © Roger Ballen

084

Crédit Photo: © Roger Ballen

022

Crédit Photo: © Roger Ballen

018

Crédit Photo: © Roger Ballen

082

Crédit Photo: © Roger Ballen

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

 

 

 portrait

 

Biographie de Roger Ballen

 

Photographe sud-africain d’origine américaine né en 1950, Roger Ballen construit une œuvre qui dépasse le point de vue documentaire qu’elle
semblait tout d’abord adopter. Entre vision tragique et saisie de l’instant fugace, dérisoire et non-sens, il met en forme un univers dont on trouve l’équivalent dans les textes de Samuel Beckett et d’Antonin Artaud ou dans certaines œuvres de Francis Bacon ou de Jean Dubuffet. Sa conception de la photographie le conduit à une exploration des recoins de l’âme, à la représentation d’un « lieu sombre, étrange et ambigu en même temps que comique […] un lieu que chacun pourrait identifier, tout en étant dans l’impossibilité de le situer clairement ». L’œuvre de Roger Ballen fait appel à des personnages rencontrés sur le territoire sud-africain lors de ses missions de géologue. Mais pour Ballen, les formes sont aussi importantes que les gens. Le vocabulaire esthétique élaboré par Ballen au fil des années trouve son origine dans une saisie directe du réel, tout se nourrissant de références picturales. L’image dépourvue de lignes de fuite, se déploie dans un format carré selon une succession de plans, proches d’aplats picturaux.  fil de fer et le fil électrique, constantes des œuvres de Ballen, se tordent, traversent l’image, se constituent en volume ou en cylindre, guident l’œil du spectateur vers les graffitis, les dessins, les personnages ou les enserrent à la manière d’une cage. L’univers de Ballen rejoint celui de Beckett où l’espace réel se transforme en un espace « où la vraie clarté ne fut jamais, ni l’aplomb, ni la simple assise, mais toujours ces choses penchées glissant dans un éboulement sans fin ».

 



4 commentaires

  1. HUGO 28 février

    Salut Fred,
    Quel plaisir de recevoir un de tes petits messages. Comme tu as pu le constater, je n’écris plus sur mon blog… j’ai été débordé par mon nouveau job.
    Un peu de tri, quelques visites nostalgiques et je dois repartir bosser. Qu’en est il pour toi? comment vas tu?
    Hugo

  2. saintsulpice 28 février

    Salut Hugo. Je vais bien. Je te laisserai un message sous peu plus détaillé sur ta boîte email. Passe un excellent weekend et à très bientôt.

    Fred

  3. lucaerne 8 mars

    Brrr… ça ressemble à mes nuits ton truc ! Pince-moi !!!

  4. saintsulpice 8 mars

    Avec plaisir!!! :P Quand j’étais gosse et que je croisais une 2cv verte, je pincais mes copines…Premier contact…. Hum!!!!!

Laisser un commentaire

Photos Passion |
stella-x-hudgens |
laeticia972et77 |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Captures d'écrans de la gui...
| harleyquinn
| Snow et rando en montagne