Le Paradoxe!!! 23 janvier
L’autre soir alors que je revenais du boulot en métro ( Ça rime!!!) un gaillard aux allures de bûcheron endimanché ( Mes amitiés à ce valeureux corps de métier! Ben oui ne créons pas de différents inutiles en ces temps de crise aiguë…) s’assied sur le strapontin en face de moi. ( Ben oui à Paname « Paris pour les profanes où les jeunes ados analpha…bètes… »on aime poser son auguste postérieur à dix pieds sous terre dans d’étranges cercueils ambulants sur des tabourets sans pieds! Bref on s’habitue avant l’heure à rejoindre la compagnie des vers peu reluisants!). Notre brave homme muni d’une superbe sacoche en cuir des plus crottée sort de la poche de sa vareuse élimée un sachet muni d’une lingette, de celles que l’on emploie lorsque nos montures de binoclards extralucides s’encrassent. Il déchire l’emballage précautionneusement, extirpe la malheureuse future suppliciée et avec une énergie foudroyante et un regard proche de celui de Dutroux entrain d’étrangler une gamine de cinq ans, la langue pendante, frotte avec le tissu imbibé rageusement la vieille et pauvre sacoche, tentant avec énergie et moult allant de faire disparaître à jamais les disgracieuses et génantes impuretés. A peine le bout de tissu entamé qu’il suspend sa croisade hygiénique et d’un geste assuré fait disparaître celle-ci ainsi que l’emballage sous son siège de fortune. Votre serviteur plongé dans la passionnante lecture d’un journal gracieux ( Oui je m’appauvris!) ne peut s’empêcher d’exprimer sur son front fatigué les prémices d’une soudaine et réelle stupéfaction! ( Ben oui je suis expressif et alors!!!!). Notre sérial lingette replonge frénétiquement sa main vengeresse dans sa poche trouée et en ressort une nouvelle victime. Même mode opératoire, même frénésie, même résultat, la lingette part rejoindre sa consoeur sur le sol de la rame. La stupéfaction qui venait ( Ben oui rappelez-vous! Un peu d’assiduité que diable!) de s’éprendre de ma douce et tendre personne ( Oui je me flatte et j’en suis bien content…) prend l’allure d’un panneau lumineux dans un aérogare aux heures de pointe! Le désaxé me jette un regard courroucé mais empli d’arrogance et de dureté préfère ignorer le témoin que je suis et se replonge dans son génocide avéré. Dix lingettes furent sur l’hôtel de la propreté sacrifiées, la sacoche décrottée, l’homme soulagé, le regard apaisé, les mains reposées mais le sol du wagon surchargé de cadavres encrassés…..Quel paradoxe!
Bien à vous,
Saint-Sulpice
Devon Island – Nunavut – Canada 23 janvier
L’Île Devon est une île du nord de l’archipel arctique canadien. 27e île mondiale par la superficie, 6e du Canada et 2e des îles de la Reine-Élisabeth. C’est aussi la plus grande île du monde qui soit entièrement inhabitée. Sa superficie est d’environ 55 000 km².La vie animale et végétale est également faible sur l’île en raison des conditions climatiques dues à la latitude et à l’altitude. On y trouve principalement de petits oiseaux, des bœufs musqués et d’autres petits mammifères arctiques.
L’été la température ne dépasse jamais les 10°C et descend fréquemment à -50° durant le long hiver polaire. Les précipitations y sont également faibles.
Bien à vous,
Saint-Sulpice
New-York – Galerie Dima – Paris 23 janvier
La galerie d’Art Dima expose à partir d’aujourd’hui de multiples artistes sur le thème de New-York. Ceux-ci y présentent des photographies de la ville mythique ainsi que des techniques mixtes sur toile comme « Good Morning Manhattan » de PH7. Excellente nouvelle en cette période de froidure, l’entrée y est libre et la galerie est chauffée!!!!
Bonne exposition,
Saint-Sulpice
New-York – Du 22 janvier au 15 février 2009 - Galerie Dima – 22, Rue de Rosiers – 75004 Paris - Entrée Libre