Andrew Wyeth 18 janvier
Article en cours de réfection, veuillez m’en excuser.
Saint-Sulpice
Christina’s world – 1948
Le peintre de la mémoire Américaine est décédé à 91ans, à Philadelphie, ville de sa rétrospective en 2006.
Braids – 1977
Helga’s face
Pour les Français, Andrew Wyeth est le peintre d’un seul tableau, champêtre et cérébral, doux et hanté, classique et précurseur. Christina’s World, grande huile (81,9 × 121,3 cm) de 1948, ouvre le nouvel accrochage du MoMA depuis sa métamorphose.
Refuge – 1985
La composition à la fois suppliante et gracieuse de la jeune fille en rose frais, la minutie du rendu de l’herbe et des cheveux volant au vent, la maison hitchcockienne qui se découpe en haut de la colline comme dans Psychose frappent plus les mémoires que le nom du peintre dont c’est à la fois le chef-d’œuvre et le seul tableau au Museum of Modern Art de New York.
In the orchard – 1973
Atteinte par la poliomyélite, Christina était la voisine du peintre dans le Maine, «diminuée physiquement, pas spirituellement», expliqua le maître du réalisme magique.
«Le défi pour moi était de rendre justice à son extraordinaire conquête de la vie, alors que tous la privaient d’espoir.»
Woman at door
Chantre de la nature américaine, mais aussi de ses valeurs et de sa mémoire, Andrew Wyeth est mort dans la ville de sa rétrospective, hommage du Philadelphia Museum of Art en 2006.
Adrift – 1982
Airborne – 1996
Winter – 1946
Up in the studio – 1965
Marriage – 1993
Maga’s daughter – 1966
Saint-Sulpice
lucaerne 18 janvier
Merci pour la découverte ! Je ne connaissais pas ce peintre mais j’adore ce que tu nous en montres ici. Il me rappelle Edward Hopper, en mieux (plus de vie, de drame, de rides, de… je ne sais trop mais quand même, plus de…).
saintsulpice 18 janvier
Il vient de passer l’arme à gauche et c’est toujours dans ces moments tragiques que l’on prend conscience du talent d’un homme, de son importance, du manque qu’il nous procure, de notre envie de le découvrir enfin! ( d’une femme aussi rassures-toi
).