Saint-Sulpice – Partie 1

 Saint-Sulpice - Partie 1 dans Photographies du Paris d'hier et d'aujourd'hui 1358-15

 Paris. La rue Saint-Sulpice en 1889-1890.

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L’église Saint-Sulpice vue de la rue du Vieux-Colombier. Paris VI - 1906.

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Paris, panorama pris des tours de l’église Saint-Sulpice avec la Sorbonne, l’église Saint-Etienne-du -Mont, le lycée Henri-IV, le Panthéon et le Sénat.

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Guerre 1914-1918. Sirène électrique sur la tour nord de l’église Saint-Sulpice, à Paris.

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Guerre 1914-1918. Le séminaire Saint-Sulpice transformé en refuge de guerre. Paris, 1915.

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Ecclésiastiques expulsés des séminaires, sur la place Saint-Sulpice, à Paris, à l’époque de la séparation de l’Eglise et de l’Etat.

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Ordination à l’église Saint-Sulpice. Paris, 1940

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Certificat de première communion. 1881. Gravure de Ch.de Lalaissé représentant la chapelle de la Sainte-Vierge de l’église Saint-Sulpice, à Paris.

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Certificat de confirmation de première communion. 1881. Gravure de Ch. de Lalaissé représentant la nef de l’église de Saint-Sulpice, à Paris.

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Foule de badauds célèbrant le dernier voyage du dernier omnibus à chevaux sur la ligne Villette – place Saint-Sulpice.

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Rue Saint-Sulpice. Magasins d’articles religieux aux environs de l’église. 1930.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

 



Saint-Eustache

Saint-Eustache dans Photographies du Paris d'hier et d'aujourd'hui 11157-12

L’église Saint-Eustache (fin du XVIème siècle). Années 1930.

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L’église Saint-Eustache vue du marché des Prouvaires au début du XIXème siècle.

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Paris. Chantier à la place des pavillons des Halles. Mai 1973.

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L’église Saint-Eustache vers 1900

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Arrivée du poisson sur le carreau des Halles, Paris, 1870-1871.

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Paris. Aménagement du quartier des Halles (Ier arr.). Excavations sur l’emplacement des anciens pavillons Baltard. Au fond, l’église Saint-Eustache, à gauche la Bourse du commerce. Juin 1974.

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Nef de l’église Saint-Eustache, vers 1930

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Les Halles, devant l’église Saint-Eustache fin 1944

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l’église Saint-Eustache.

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La halle au blé et l’église Saint-Eustache, à Paris (Ier arr.). Lithographie d’Arnoult d’après Chapuy, vers 1840.

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Paris. Vue panoramique prise de la tour Saint-Jacques, côté Montmartre, vers 1865. Au centre : les halles et l’église Saint-Eustache.

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Paris. Construction du forum des Halles, près de l’eglise Saint-Eustache.

 

Je voudrai remercier profondément la Parisienne de Photographie qui m’a permit d’accéder à se fabuleuse ‘mémoire’ Parisienne et au photographe Roger Viollet ( né le 30 avril 1869, mort le 6 mars 1946 à Paris), par l’intermédiaire de sa fondation, qui a pris ces superbes clichés!

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 



Il fallait imaginer Sisyphe heureux…heureux?

 Il fallait imaginer Sisyphe heureux...heureux? sisyphe

Qui est donc ce Sisyphe?  

Dans la mythologie grecque, Sisyphe, fils d’Éole et fondateur de Corinthe, a dénoncé Zeus qui avait enlevé une jeune vierge, fille d’Asope. Pour le punir, Zeus l’a condamné à pousser éternellement un rocher au sommet d’une montagne sans jamais y parvenir : à peine Sisyphe est-il arrivé près de son but que le rocher roule vers le bas, et tout est à recommencer…

Sisyphe est aussi le principal « ennemi »Sourire de Saint-Sulpice représenté sous l’apparence de « lucaerne » éternelle femme emplie de rebéllion, opposante farouche des idéologies politico-religieuses de votre serviteur. Néanmoins c’est une femme de talent qui mérite même si je n’approuve pas du tout sa façon de concevoir les choses d’être lue, contredite, qui sait lancer, relancer, provoquer, animer des débats pour la plupart qui m’irritent ou m’amusent mais qui nullement ne me laisse indifférent. Notre joute verbale, respectueuse, est loin de parvenir à son terme et tant mieux.

Âmes peu sensibles, amoureux du Prozac, provocateurs nés ou simples curieux allez-donc lui rendre visite mais je vous en prie ne pas être d’accord ne signifie nullement manquer de respect alors méfiez-vous car Saint-Sulpice en bon Saint qu’il est veille à ses ouailles et peu abattre ses foudres sur les manants qui oseraient braver les règles de courtoisie!

 

voici le lien de mon opposante farouche: http://lucaerne.unblog.fr/

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 



Hong-Kong d’autrefois – Partie 6

Hong-Kong d'autrefois - Partie 6 dans Photographies du monde d'autrefois

Le tramway du Peak – Hong-Kong

 dans Photographies du monde d'autrefois

Panorama de Hong-Kong

Le port vu du Tramway du Peak – Hong-Kong

Aberdeen – Hong-Kong

Restaurants flottants – Aberdeen – Hong-Kong

Station du tramway au Peak – Hong-Kong

Colporteurs de rue – Hong-Kong

Hollywood Road – Hong-Kong

Front de mer – Victoria à Hong-Kong

 

Histoire de Hong-Kong

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Bien qu’occupé depuis le néolithique au moins, le territoire de ce qui constitue aujourd’hui Hong Kong est resté hors de la plupart des événements majeurs de la Chine impériale pendant toute son histoire. Il ne commença à devenir un point d’attraction mondiale qu’à partir des années 1840, lorsqu’il devint un avant poste européen en Extrême-Orient. Possession anglaise à partir de 1842, Hong Kong est revenu à la Chine en 1997. Il est depuis le territoire le plus riche de la république populaire.

À partir des années 1840, les Anglais occupent le territoire pour des raisons stratégiques : il se situe à la sortie du delta de la rivière des perles, une grande région commerciale. Plus précisément, sa position lui permet de contrôler Canton, qui était dans la première moitié de XIXe siècle le principal port de commerce chinois, sur la rivière des perles situé 170 kilomètres en amont sur le fleuve.

En 1841, l’île compte environ 7500 habitants, pêcheurs surtout, et producteurs de charbon de bois. Lors de la première guerre de l’opium, les anglais prennent possession de l’Île de Hong Kong, d’une superficie de 80km². Située à proximité de Canton, elle assure aux commerçants britanniques une plus grande indépendance vis à vis du pouvoir politique chinois. La cession est officialisée l’année suivante par le traité de Nankin. Dix ans plus tard, l’île compte 33 000 habitants. À partir des années 1850, la rébellion Taiping entraîne l’arrivée de nombreux réfugiés.

À l’issue de la Seconde guerre de l’opium, le territoire de Hong Kong s’agrandit : la Chine doit abandonner la péninsule de Kowloon, qui se trouve au nord de l’île (convention de Pékin, 1860) : Le recensement de 1865 compte 125 504 résidents, dont 2 000 européens ou américains.

En 1898, l’Allemagne, la France et la Russie acquièrent des droits sur différents territoires chinois. Par réaction, le Royaume-Uni cherche à agrandir leur colonie de Hong Kong. Ils signent avec la Chine la « deuxième convention de Pékin », qui leur attribue un bail de 99 ans sur des zones adjacentes à Kowloon et sur quelques îles. Ces espaces, connus sous le nom de Nouveaux Territoires, restent longtemps peu utilisés. Les projets de développement importants ne datent que des années 1970.

La croissance démographique se poursuit, et différentes activités économiques se développent. La population reste pourtant assez pauvre en moyenne. Hong Kong compte 1,6 millions d’habitants en 1941. Le territoire souffre très fortement lors de l’occupation japonaise après l’attaque de Hong Kong par le Japon, et la population redescend à 600 000. Avec l’arrivée au pouvoir des communistes en Chine (1949) se produit un afflux de réfugiés.

Hong Kong connaît à partir des années 1960 un essor économique. Celui-ci est d’abord fondé surtout sur le textile, puis, à partir des années 1970, la finance prend une place prépondérante.

À partir de 1979, le président chinois Deng Xiaoping entreprend d’ouvrir économiquement la Chine avec l’étranger. L’expérience se limite d’abord à des zones économiques spéciales. Hong Kong, qui devient alors un point stratégique pour les échanges étrangers en Chine : presque tous viennent de la colonie anglaise, ou tout au moins transitent par elle. Parmi les premières zones à bénéficier de ces investissements, une connaît un développement spectaculaire, Shenzhen, située aux portes de Hong Kong.

Les Nouveaux Territoires ayant été cédé pour 99 ans, ils doivent revenir à la Chine en 1997. L’île de Hong Kong et Kowloon en revanche peuvent théoriquement rester anglaise. Cependant, par Déclaration commune sino-britannique, signée le 19 décembre 1984, le Royaume-Uni s’engage à remettre à la Chine l’ensemble de la colonie en 1997. La République populaire quant à elle s’engage à garder le régime économique et le mode de vie hongkongais pendant 50 ans. C’est la politique dite « un pays, deux systèmes ». Le 1er juillet 1997, Hong Kong devient la première région administrative spéciale chinoise. L’événement donne lieu à une cérémonie retransmise dans le monde entier.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

- Hong-Kong d’autrefois – Partie 1.

- Hong-Kong d’autrefois – Partie 2.

- Hong-Kong d’autrefois – Partie 3.

- Hong-Kong d’autrefois – Partie 4.

- Hong-Kong d’autrefois – Partie 5.

- Shangaï Années 30 – La Ville Chinoise.

- Shangaï Années 30 – La Pagode de Longhua.

- Chine – 1900 – Partie 1.

- Chine – 1900 – Partie 2.

- Chine – 1900 – Partie 3.

- Chine – 1900 – Partie 4.



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