Complots capitaux

Complots capitaux

 

 

 

 

 

 

 

                     Dix-huit chapitres, dix-huit conspirations, dix-huit auteurs qui complotent au coeur d’une anthologie établie par Olivier Delacroix. Marilyn s’est-elle vraiment suicidée ? Quelle machination se cache derrière les événements de Mai 68 ? A-t-on marché sur la Lune en 1969 ? Kennedy a-t-il été assassiné par la mafia, à Dallas ? Nous a-t-on tout révélé sur l’attentat du 11 septembre 2001 ? Quelle vérité émerge de l’affaire du Rainbow Warrior ? Et de l’ahurissant décès du pape Jean-Paul Ier ? Et si la saga Star Wars était l’une des plus énormes conspirations politiques du XXe siècle ? Claude François est-il mort comme on le croit ? Et Diana ? Et Elvis Presley ? Et la Callas ? Amis Juillettistes et Aoûtiens, voilà de quoi vous occuper sur la plage cet été! A dévorer d’une traite….

 

Bonne lecture,

Saint-Sulpice

 

Olivier Delcroix – Complots Capitaux – Editions du Cherche Midi – 408 pages – 21€ 

 



Hong-Kong d’autrefois – Partie 2

Hong-Kong d'autrefois - Partie 2 dans Photographies du monde d'autrefois

Hong-Kong – L’île en 1890

 dans Photographies du monde d'autrefois

Hong-Kong – 1860

Hong-Kong -le parlement – 1930

Hong-Kong – le parlement – 1920

Hong-Kong – Le parlement – 1915

Hong-Kong – le parlement – 1910

Hong-Kong – 1911

Hong-Kong – 1946

Hong-Kong – 1903

Hong-Kong – 1925

 

Histoire de Hong-Kong

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Bien qu’occupé depuis le néolithique au moins, le territoire de ce qui constitue aujourd’hui Hong Kong est resté hors de la plupart des événements majeurs de la Chine impériale pendant toute son histoire. Il ne commença à devenir un point d’attraction mondiale qu’à partir des années 1840, lorsqu’il devint un avant poste européen en Extrême-Orient. Possession anglaise à partir de 1842, Hong Kong est revenu à la Chine en 1997. Il est depuis le territoire le plus riche de la république populaire.

À partir des années 1840, les Anglais occupent le territoire pour des raisons stratégiques : il se situe à la sortie du delta de la rivière des perles, une grande région commerciale. Plus précisément, sa position lui permet de contrôler Canton, qui était dans la première moitié de XIXe siècle le principal port de commerce chinois, sur la rivière des perles situé 170 kilomètres en amont sur le fleuve.

En 1841, l’île compte environ 7500 habitants, pêcheurs surtout, et producteurs de charbon de bois. Lors de la première guerre de l’opium, les anglais prennent possession de l’Île de Hong Kong, d’une superficie de 80km². Située à proximité de Canton, elle assure aux commerçants britanniques une plus grande indépendance vis à vis du pouvoir politique chinois. La cession est officialisée l’année suivante par le traité de Nankin. Dix ans plus tard, l’île compte 33 000 habitants. À partir des années 1850, la rébellion Taiping entraîne l’arrivée de nombreux réfugiés.

À l’issue de la Seconde guerre de l’opium, le territoire de Hong Kong s’agrandit : la Chine doit abandonner la péninsule de Kowloon, qui se trouve au nord de l’île (convention de Pékin, 1860) : Le recensement de 1865 compte 125 504 résidents, dont 2 000 européens ou américains.

En 1898, l’Allemagne, la France et la Russie acquièrent des droits sur différents territoires chinois. Par réaction, le Royaume-Uni cherche à agrandir leur colonie de Hong Kong. Ils signent avec la Chine la « deuxième convention de Pékin », qui leur attribue un bail de 99 ans sur des zones adjacentes à Kowloon et sur quelques îles. Ces espaces, connus sous le nom de Nouveaux Territoires, restent longtemps peu utilisés. Les projets de développement importants ne datent que des années 1970.

La croissance démographique se poursuit, et différentes activités économiques se développent. La population reste pourtant assez pauvre en moyenne. Hong Kong compte 1,6 millions d’habitants en 1941. Le territoire souffre très fortement lors de l’occupation japonaise après l’attaque de Hong Kong par le Japon, et la population redescend à 600 000. Avec l’arrivée au pouvoir des communistes en Chine (1949) se produit un afflux de réfugiés.

Hong Kong connaît à partir des années 1960 un essor économique. Celui-ci est d’abord fondé surtout sur le textile, puis, à partir des années 1970, la finance prend une place prépondérante.

À partir de 1979, le président chinois Deng Xiaoping entreprend d’ouvrir économiquement la Chine avec l’étranger. L’expérience se limite d’abord à des zones économiques spéciales. Hong Kong, qui devient alors un point stratégique pour les échanges étrangers en Chine : presque tous viennent de la colonie anglaise, ou tout au moins transitent par elle. Parmi les premières zones à bénéficier de ces investissements, une connaît un développement spectaculaire, Shenzhen, située aux portes de Hong Kong.

Les Nouveaux Territoires ayant été cédé pour 99 ans, ils doivent revenir à la Chine en 1997. L’île de Hong Kong et Kowloon en revanche peuvent théoriquement rester anglaise. Cependant, par Déclaration commune sino-britannique, signée le 19 décembre 1984, le Royaume-Uni s’engage à remettre à la Chine l’ensemble de la colonie en 1997. La République populaire quant à elle s’engage à garder le régime économique et le mode de vie hongkongais pendant 50 ans. C’est la politique dite « un pays, deux systèmes ». Le 1er juillet 1997, Hong Kong devient la première région administrative spéciale chinoise. L’événement donne lieu à une cérémonie retransmise dans le monde entier.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

- Hong-Kong d’autrefois – Partie 1.

- Shangaï Années 30 – La Ville Chinoise.

- Shangaï Années 30 – La Pagode de Longhua.

- Chine – 1900 – Partie 1.

- Chine – 1900 – Partie 2.

- Chine – 1900 – Partie 3.

- Chine – 1900 – Partie 4.



Paris d’antan – 3ème partie

 

L’écluse de la Monnaie a été construite au XIXe siècle, quand la Seine était encore l’artère principale de Paris. Ce barrage mobile, en relevant le plan d’eau, augmentait considérablement le nombre de jours de navigation par an. A la fin du XIXe siècle, le transport des hommes et marchandises est reporté sur les voies terrestres et la Seine, désertée sur la photo, est dédiée au tourisme.

Paris d'antan - 3ème partie dans Photographies du Paris d'hier et d'aujourd'hui 14244

Cette entrée par le quai Malaquais correspond aujourd’hui à la librairie et au musée de  l’Ecole Nationale des Beaux-Arts. Les étudiants actuels se serrent sur les rangs de cette prestigieuse école installée dans un bâtiment construit au milieu du XIXe siècle par François Debret.

14246 dans Photographies du Paris d'hier et d'aujourd'hui

La gare de Lyon a été construite en 1847, d’après les plans de l’architecte Cendrier. Son campanile de 64 mètres de haut sera rajouté quelques années plus tard. Pour pouvoir réguler l’affluence de voyageurs, la gare passe de 2 à 12 voies  en 1899.

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Contrairement à ce que laisse penser son nom, l’Hippodrome de Paris, construit en 1899 entre la Place de Clichy et la rue Caulaincourt, est une immense salle de spectacle pouvant accueillir jusqu’à 5 000 spectateurs.  Racheté en 1911 par Léon Gaumont, l’Hippo-Palace a été détruit puis remplacé en 1930 par le plus grand cinéma du monde (aujourd’hui disparu).

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A gauche, le Moulin de la Galette sur les hauteurs de la butte Montmartre, dernier moulin à vent en état de marche à Paris. A droite, l’Hôtel de Ville, point de ralliement lors de nombreuses insurrections parisiennes (1830, 1848, 1871), où patrouille tranquillement un groupe de gendarmes.

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La ligne 2 du métro parisien, Dauphine – Etoile, est prolongée en 1903 jusqu’aux stations Anvers puis Stalingrad, dans le nord-est de Paris. Pour la première fois, le métro sort de terre!

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Faisant face au Louvre, la Place du Carrousel tire son nom du carrousel de 1662, fête militaire grandiose donnée en l’honneur de Louis XIV.

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Ornée d’arbres et de jardins, la Place d’Italie se trouve dans le XIIIe arrondissement de Paris. Elle se situe à l’emplacement de l’ancienne barrière d’Italie, au croisement entre le boulevard des Gobelins et l’ex chemin de ronde d’Ivry.

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Commandée par Louis XIV, la porte St-Martin a été érigée entre 1672 et 1674 à l’emplacement d’anciennes fortifications. A la Belle Epoque, le passé militaire est oublié et le quartier St Martin, considéré par la bourgeoisie comme un lieu de débauche, vit au rythme des cafés, guinguettes et théâtres.

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Le Palais-Royal retourne au domaine de l’Etat sous la IIIe République. En 1871, le gouvernement décide d’y installer le Conseil d’Etat qui s’est retrouvé sans bâtiment aprés l’incendie du Palais d’Orsay pendant la Commune.

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Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

- Paris d’Antan – Partie 2.

- Paris d’Antan – Partie 1. 



Hong-Kong d’autrefois – Partie 1

 Hong-Kong d'autrefois - Partie 1 dans Photographies du monde d'autrefois

Sans titre

 dans Photographies du monde d'autrefois

File de rickshaw à Hong-Kong en 1912

Quartier de Central - Victoria - Le Praya – 1898

Incendie de l’Hôtel Edward en 1929

Hôtel Edward – Hong-Kong en 1906

Hong-Kong - L’île Victoria en 1910

Hong-Kong – Victoria vers 1890

Hong-Kong – L’île Victoria - 1946

Wellington Street – 1929

Hôtel Hong-Kong en 1900 – Victoria

Hong-Kong – Victoria en 1853

 

Histoire de Hong-Kong

 75px-Hong_Kong_SAR_Regional_Emblem.svg

Bien qu’occupé depuis le néolithique au moins, le territoire de ce qui constitue aujourd’hui Hong Kong est resté hors de la plupart des événements majeurs de la Chine impériale pendant toute son histoire. Il ne commença à devenir un point d’attraction mondiale qu’à partir des années 1840, lorsqu’il devint un avant poste européen en Extrême-Orient. Possession anglaise à partir de 1842, Hong Kong est revenu à la Chine en 1997. Il est depuis le territoire le plus riche de la république populaire.

À partir des années 1840, les Anglais occupent le territoire pour des raisons stratégiques : il se situe à la sortie du delta de la rivière des perles, une grande région commerciale. Plus précisément, sa position lui permet de contrôler Canton, qui était dans la première moitié de XIXe siècle le principal port de commerce chinois, sur la rivière des perles situé 170 kilomètres en amont sur le fleuve.

En 1841, l’île compte environ 7500 habitants, pêcheurs surtout, et producteurs de charbon de bois. Lors de la première guerre de l’opium, les anglais prennent possession de l’Île de Hong Kong, d’une superficie de 80km². Située à proximité de Canton, elle assure aux commerçants britanniques une plus grande indépendance vis à vis du pouvoir politique chinois. La cession est officialisée l’année suivante par le traité de Nankin. Dix ans plus tard, l’île compte 33 000 habitants. À partir des années 1850, la rébellion Taiping entraîne l’arrivée de nombreux réfugiés.

À l’issue de la Seconde guerre de l’opium, le territoire de Hong Kong s’agrandit : la Chine doit abandonner la péninsule de Kowloon, qui se trouve au nord de l’île (convention de Pékin, 1860) : Le recensement de 1865 compte 125 504 résidents, dont 2 000 européens ou américains.

En 1898, l’Allemagne, la France et la Russie acquièrent des droits sur différents territoires chinois. Par réaction, le Royaume-Uni cherche à agrandir leur colonie de Hong Kong. Ils signent avec la Chine la « deuxième convention de Pékin », qui leur attribue un bail de 99 ans sur des zones adjacentes à Kowloon et sur quelques îles. Ces espaces, connus sous le nom de Nouveaux Territoires, restent longtemps peu utilisés. Les projets de développement importants ne datent que des années 1970.

La croissance démographique se poursuit, et différentes activités économiques se développent. La population reste pourtant assez pauvre en moyenne. Hong Kong compte 1,6 millions d’habitants en 1941. Le territoire souffre très fortement lors de l’occupation japonaise après l’attaque de Hong Kong par le Japon, et la population redescend à 600 000. Avec l’arrivée au pouvoir des communistes en Chine (1949) se produit un afflux de réfugiés.

Hong Kong connaît à partir des années 1960 un essor économique. Celui-ci est d’abord fondé surtout sur le textile, puis, à partir des années 1970, la finance prend une place prépondérante.

À partir de 1979, le président chinois Deng Xiaoping entreprend d’ouvrir économiquement la Chine avec l’étranger. L’expérience se limite d’abord à des zones économiques spéciales. Hong Kong, qui devient alors un point stratégique pour les échanges étrangers en Chine : presque tous viennent de la colonie anglaise, ou tout au moins transitent par elle. Parmi les premières zones à bénéficier de ces investissements, une connaît un développement spectaculaire, Shenzhen, située aux portes de Hong Kong.

Les Nouveaux Territoires ayant été cédé pour 99 ans, ils doivent revenir à la Chine en 1997. L’île de Hong Kong et Kowloon en revanche peuvent théoriquement rester anglaise. Cependant, par Déclaration commune sino-britannique, signée le 19 décembre 1984, le Royaume-Uni s’engage à remettre à la Chine l’ensemble de la colonie en 1997. La République populaire quant à elle s’engage à garder le régime économique et le mode de vie hongkongais pendant 50 ans. C’est la politique dite « un pays, deux systèmes ». Le 1er juillet 1997, Hong Kong devient la première région administrative spéciale chinoise. L’événement donne lieu à une cérémonie retransmise dans le monde entier.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

- Hong-Kong d’autrefois – Partie 2.

- Hong-Kong d’autrefois – Partie 3.

- Hong-Kong d’autrefois – Partie 4.

- Hong-Kong d’autrefois – Partie 5.

- Hong-Kong d’autrefois – Partie 6.

- Hong-Kong dautrefois – Partie 7.

- Shangaï Années 30 – La Ville Chinoise.

- Shangaï Années 30 – La Pagode de Longhua.

- Chine – 1900 – Partie 1.

- Chine – 1900 – Partie 2.

- Chine – 1900 – Partie 3.

- Chine – 1900 – Partie 4.



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