Evocation du vieux Paris

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Jacques Hillairet

Evocation du Vieux Paris

Illustrations de Boisvert

Les Editions de Minuit, 1951

 

Si vous avez du mal à retrouver cette édition vous pourrez plus facilement trouver celle-ci;

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Connaissance du Vieux Paris

Editions Payot & Rivages, 1993

Sous le titre Connaissance du Vieux Paris, Jacques Hillairet a proposé dès 1956 une édition abrégée de son panorama en trois volumes. Connaissance du Vieux Paris est un ouvrage régulièrement réédité. Jacques Hillairet

 

Bonne lecture,

Saint-Sulpice



Robert Doisneau – Partie 4

Maurice Baquet

Maurice Baquet – 1968 – Crédit photo: © Robert Doisneau

Cavalerie

Cavalerie  - Crédit photo: © Robert Doisneau

Le baiser de la rue Mazarine

Baiser,  Rue Mazarine - Crédit photo: © Robert Doisneau

Les jardins du Champ de Mars

Les Jardins du Champs de Mars -  Crédit photo: © Robert Doisneau

Robert Doisneau - Partie 4 dans Photographie: Grands Photographes 051005181045-format200_1

« Mademoiselle Anita, La Boule Rouge » – Octobre 1951 – Crédit photo: © Robert Doisneau

 

Le baiser de la Valse

« Baisé Valsé » – 1950 -  Crédit photo: © Robert Doisneau

 

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« Boules de neige au Pont des Arts » – 1945  - Crédit photo: © Robert Doisneau
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« Marchande des Halles » – 1953 - Crédit photo: © Robert Doisneau
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« Be-Bop en cave, Saint-Germain-des-Prés, Paris » – 1951 - Crédit photo: © Robert Doisneau

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 Baiser Blottot »- 1950 – Crédit photo: © Robert Doisneau

Biographie de Robert Doisneau

Le diplôme de graveur-lithographe en poche, Robert Doisneau est formé à la photographie par André Vigneau. Il devient rapidement photographe indépendant pour l’agence Rapho. Il vend ses clichés à des magazines aussi divers que Le Point, Vogue, La Vie ouvrière… et reçoit le prix Kodak en 1947 et le prix Niepce en 1956. Ce ‘braconnier de l’éphémère’ est célèbre pour ses clichés d’écoliers et d’individus croisés dans les rues de Paris, tel le couple s’échangeant ‘Le Baiser de l’hôtel de ville’. Mais ces oeuvres emplies de légèreté et d’humanisme font parfois oublier le caractère révolté du photographe, s’évertuant à traduire par images sa haine de la guerre, ses inquiétudes vis-à-vis du capitalisme et de ses méfaits dans la banlieue. Il a immortalisé Braque, Picasso, Giacometti, Léger, Carné… Une exposition au MOMA de New York en 1951 le consacre au niveau international. Deux films lui rendent hommage : ‘Le Paris de Robert Doisneau’ de François Porcile en 1973, et ‘Bonjour monsieur Doisneau’ de Sabine Azéma en 1992.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

Voir aussi:

- Robert Doisneau – Partie 1.

- Robert Doisneau – Partie 2.

- Robert Doisneau – Partie 3.



Georges Dambier – Partie I

Georges Dambier - Partie I dans Photographie: Grands Photographes Travaux_Panneau(Article en cours de réfection, veuillez m’en excuser.)

 Bien à vous,

Saint-Sulpice

 

D’abord une petite Bio de ce grand photographe puis une petite rétrospective de ses oeuvres….

Biographie de Georges Dambier

Né à Paris en 1925, Georges Dambier est pendant la Guerre, l’élève du célèbre peintre et affichiste Paul Colin qui lui enseigne le graphisme et lui donne le goût de la décoration, de la mode, des jolies femmes et de la vie parisienne. Après la Libération, il devient l’assistant de Willy Rizzo, photographe de talent auprès duquel il découvre un nouvel art, dont il apprend bientôt à maîtriser les subtilités et plus particulièrement l’utilisation de la lumière.

Dans le Paris de l’après-guerre, âgé de 20 ans, Georges Dambier photographie la vie nocturne et les réjouissances mondaines désormais en pleine explosion et se fait le témoin de la vie du « Tout-Paris », ses célébrités, ses lieux à la mode, ses fêtes brillantes.

Des clichés de Rita Hayworth négociés contre une place permanente de reporterphotographe à France Dimanche vont lancer sa carrière professionnelle. Bien que passionné par l’actualité, le jeune photographe préfère néanmoins capter le glamour, et saisir la vie dans tout son éclat, son raffinement. Son goût du graphisme et sa capacité à restituer la réalité avec une rare élégance le mènent à la photo de mode. En 1952, il est remarqué par Hélène Lazareff, fondatrice de Elle, qui lui donne sa chance et publie son premier reportage de mode. C’est avec son accord et son soutien qu’il lance le concept avant-gardiste de « touriste-photographe ». Il s’agit de partir avec une équipe complète (mannequins, rédactrice de mode, coiffeur, styliste…) pour photographier des modèles de Haute Couture dans des lieux de villégiature tels que l’Italie, le Maroc, la Corse, la Yougoslavie, le Brésil. Georges Dambier saisit des femmes vêtues de robes magnifiques dans un cadre original : au milieu du désert, dans un marché de village, sur un bateau et surtout dans l’agitation de ce Paris qu’il adore. Il est l’un des premiers en France à faire sortir les modèles des studios et il n’hésite pas à libérer les mannequins des poses figées et des attitudes stéréotypées, en défendant néanmoins une exécution exigeante.

Au début des années 50, Georges Dambier ouvre son propre studio. Indépendant, il travaille toujours pour Elle mais aussi pour les principaux magazines de mode ( Vogue, Marie France…). Il collabore avec Françoise Giroud et Christiane Collange aux pages féminines de l’Express et enchaîne les grandes campagnes de publicité pour Havas ou Publicis et les contrats avec de grandes marques telles que l’Oréal, ou Carita. Il réalise également des affiches de spectacles et des pochettes de disques et tout le show-business des années 60 passe ainsi devant son objectif, de Charles Aznavour à Sacha Distel, mais aussi Catherine Deneuve et Françoise Dorléac et beaucoup d’autres encore.

En 1964, Georges Dambier se lance dans un projet très personnel et crée TWENTY, mensuel destiné aux jeunes et dédié à la mode et à la culture mais cette aventure ambitieuse ne durera que deux ans. Son ami Maurice Siegel fait appel à lui en 1976 et ils créent ensemble VSD pour lequel Georges Dambier se voit confier la direction artistique et réalise le fameux logo.

A la fin des années 80, Georges Dambier abandonne la presse et rejoint sa maison de famille dans la Périgord pour en faire un hôtel de charme et donner libre court à sa passion de la décoration.

 

 Brigite Bardot, Photo de mode
pour Basta Place de la Concorde,
               Paris, 1951

 dans Photographie: Grands Photographes

                     Georges Dambier
Dorian Leigh, Jardin des Tuileries, Paris, 1951

                      Georges Dambier
Brigite Bardot, Place François 1er, Paris, 1951

                       Georges Dambier
Marie Héléne et le Poisson Rouge, Paris, 1957

Georges Dambier – Capucine

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                             Georges Dambier
Suzy Parker, Vitrine Lanvin rue du Faubourg St. Honoré
                        pour ELLE, Paris, 1952

               Georges Dambier
Barbara Mullen pour ELLE, Paris, 1958

Georges Dambier – Capucine

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      Georges Dambier
Suzy Parker pour ELLE, 
           Paris, 1953

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               Georges Dambier
Kermesse Aux Étoiles, Paris, 1953

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice



Brassaï

 Paris- 1933 – Crédit Photo: © Brassaï

 Brassaï dans Photographie: Grands Photographes brassai_paves

Les pavés – 1931 – Crédit Photo: © Brassaï

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Les pavés - 1931 

Crédit Photo: © Brassaï

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Crédit Photo: © Brassaï

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EXP-brassai dans Photographie: Grands Photographes

Paris sous la pluie – Crédit Photo: © Brassaï

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Paris sous la pluie

Notre-Dame de Paris – 1930.1932 – Crédit Photo: © Brassaï

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Notre-Dame de Paris

Crédit Photo: © Brassaï

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Le Vel d’Hiv – Crédit Photo: © Brassaï

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Vel d’Hiv – Crédit Photo: © Brassaï

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Vel d'Hiv

La prostituée de la rue Quicampoix  – Crédit Photo: © Brassaï

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La prostituée

Bijou – 1932  – Crédit Photo: © Brassaï

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Statue du Maréchal Ney dans le brouillard – 1932  – Crédit Photo: © Brassaï

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Maréchal Ney

Brouillard  – Crédit Photo: © Brassaï

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 Crédit Photo: © Brassaï

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Rue de Lappe – 1932  – Crédit Photo: © Brassaï

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Les amoureux de la rue de Lappe

 Crédit Photo: © Brassaï

Pont du Carousel - 1940

Le Pont-Neuf  – Crédit Photo: © Brassaï

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Biographie de Gyula Halász Brassaï

 

 Brassai

 

Etudiant à l’Académie des beaux-arts de Budapest, Brassaï s’installe à Berlin en 1921, puis définitivement à Paris en 1924 pour y être journaliste. Il ne devient photographe qu’en 1930. Peu intéressé par la photographie de mode, de reportage ou de publicité et avouant détester les voyages, il se consacre au Paris interlope et nocturne. Il arpente Montparnasse, les Halles, le canal de l’Ourcq, le canal Saint-Martin, la place d’Italie, Ménilmontant, Belleville… Son premier livre ‘Paris de nuitparaît en 1932 et ‘Paris Secret’ en 1972. Baigné par l’atmosphère surréaliste parisienne où il compte de nombreux amis, il pratique aussi l’écriture: ‘Souvenirs de ma vie‘, ‘Paris secret des années 30‘, ‘Conversations avec Picasso. Brassaï construit et met en scène une oeuvre, sa propre vision du monde, mais reste avant tout ‘l’ oeil de Paris’ comme le surnommait son ami Henri Miller.

 

Bien à vous,

Saint-Sulpice



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